My Rant Book.

Chapter 46

(25.07.17)

Un extrait de confessions quand je n'avais pas encore repris Wattpad.

Diary

Je n'ai plus Wattpad pour écrire, alors je m'écrirais à moi-même ici, dans mes notes. Quoi de plus bizarre ? S'écrire à sois-même sur son iPhone, faut être parano, je le suis. ‭‭‭‭‬‬Et ici débute mon long parcours, je ne vais pas réécrire mon histoire, non, tout ça c'est derrière.

Parlons de comment la vie peut être dure, parlons de l'amour qui nous détruit malgré le plaisir qu'il nous fait ressentir, parlons de la douleur et de la souffrance que nous ressentons, parlons de nous. (Traduction: parlons de moi.)

Je suis quelqu'un de compliqué, je ne supporte pas l'injustice, les mensonges, je déteste tout ce qui est faux, surtout toi. J'ai peur des illusions, j'ai une phobie bizarre des mascottes, surtout celle du HCC... Je n'ai confiance en personne, sauf en ma sœur et mon copain, que j'ai d'ailleurs très peur de perdre, je n'ai que... 3 amis. Et j'ai un comportement aussi forcé et faux que certaines personnes que je côtoie. Car j'ai peur d'être seule alors je me force à traîner avec des gens "cool", je fais semblant de rire à chacune de leurs blagues, et j'ai l'habitude de hocher la tête quand ils me parlent de leurs vie sans que je leurs ai demandé.

Quoi-que certaines fois certaines histoires et certaines blagues m'ont vraiment intéressé et mon réellement fait rire, certaines personnes du cercle "cool" le sont vraiment mais pas toujours, j'ai la mauvaise habitude de m'attacher à une de ces personnes et par la suite m'ennuyer fortement en sa présence, et donc être déçue de mon choix concernant mon minuscule cercle d'amis.

Je suis une personne sociale en générale, bien sûr je le suis bien plus avec d'autres personnes sociales et qui savent mettre de l'ambiance, socialiser avec quelqu'un qui se classifique "d'anti-social" est assez déprimant, cela étant dis j'étais moi même anti-sociale donc je me pose souvent la même question: Comment ai-je réussis à toujours avoir des amis ?

Peut-être car à nouveau, j'avais peur de me retrouver seule, je sais que j'étais toujours la dernière du groupe, celle toujours en retrait. Celle qui était là juste pour avoir un membre de plus, en réalité j'ai toujours été dans le groupe "cool" mais j'ai toujours du forcé mon amitié, j'ai toujours eu très peur d'être victime de discrimination à l'école, de bullying et donc pour évité cela, je me suis toujours frottée au plus fort, quoi qu'il arrive je serais défendue.. J'ai fais de nombreuses choses que, petite, je me suis toujours promise de ne pas faire. Mais je suis passé au dessus de l'interdit, aux dessus des clichés, et au dessus d'un garçon.. Dans le sens propre du therme.

J'ai un jeune âge, je le sais mais alors pourquoi faire tant de choses si jeune ? Épater la foule ?
J'en suis arrivée à fumer, boire, me balader le soir dans des endroits paumés et laisser un garçons mettre ses mains où il le souhaitait sur mon corps, et moi-même poser les mains dans les moindres recoins du corps d'un garçon, je ne sais pas si je regrette, je sais que je ne devrais pas, mais peut-être voudrais-je montrer ce que ne ne suis pas pour garder les personnes près de moi, comme offrir ma virginité à un garçon qui si ça se trouve n'en vaut même pas la peine, mais l'amour rend fou, je ferais l'impossible pour amour et dire adieu à mon innocence en fait partit. Un jour sur deux j'en ai envie, un jour je me dis que et puis ça ne peut pas faire aussi mal et puis pourquoi je ne le ferais pas, et pourquoi je devrais me privée à cause de mon âge. Et le jour suivant, pourquoi je devrais le faire si tôt d'abord ? Pourquoi je le ferais, pour le satisfaire et ensuite me faire larguer ? Non.

Que devrais-je faire ? Est-ce-que j'en ai vraiment envie ? Malgré ma promesse ? Est-ce-que je le ferais parce que je le veux, ou parce qu'il le veut ?

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J'ai tendance à être négative et dire à tout le monde d'être positif, ça n'a pas de sens mais pas tout est positif dans ma vie et la plupart du temps, le négatif l'emporte. Dans ma tête c'est le chaos, je serais incapable d'expliquer ma manière de penser et d'agir car c'est elle qui décide. Elle me parle, elle me juge, elle critique les autres aussi, elle me détruit. Techniquement, je me détruis seule, ce n'est pas elle, je la laisse faire c'est clair. Malgré toute les fois où je me suis frappée le crâne car elle parlait trop, "mais quelle psychopathe celle-là" hein ? C'est ce qu'on penserais à m'entendre, et c'est ce que je pense.