Ma défaite aura l'odeur du cash [PNL].

62.

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Mélia:Tu connais Claudia ?

Moi:Bah oui c'est son magasin qui commercialise ma marque de vêtements pourquoi ?

Mélia:C'est la future fiancée de mon grand frère.

Moi:Ah oui, Nassim non ?

Mélia:C'est ça.

Moi:Le monde est petit.

Mélia:Très, ce qui m'étonne le plus c'est qu'avec toutes nos connaissances en commun on a jamais été amenée à se rencontrer.

Moi:Ouais c'est vrai.

Mélia:Donc tu préfère qu'on commence par quoi ?

Moi:Bah du coup j'vais vous aider au coin sport alors on fait les activités sportives qui demande beaucoup de physique en premier puis on fait un petit tournoi à la fin.

Mélia:Oui super et vu que les gosses auront bien bouger le goûter arrive au moment parfait.

Moi:Et ils couriront pas de partout non plus.

Mélia:On fait comme ça, je vais communiquer ça au autres.

Moi:Vas-y.

Mélia:On s'capte !

Moi:T'inquiètes.

[...]

#FLASH BACK#

16 Septembre 2013.

Aziz entre dans le local légèrement amoché.

Moi:Qu'est-ce qu'il t'es arrivé ?

Aziz:J'ai mal Dîna, soigne moi s'il te plaît.

Je cours prendre la pharmacie qui se trouve dans l'armoire à côté du bureau.

Je désinfecte ses plaies puis j'applique un peu de crème sur son visage.

Moi:Qu'est-ce qu'il s'est passé Aziz ?

Aziz:Ce fils de pute de Zied m'a pris en traître.

Moi:Mais vous êtes comme des frères c'est pas possible.

Aziz:Y'a plus d'amitié et encore moin de fraternité.

Moi:Quinze putains d'années Aziz.

Aziz:Il a voulu toucher à quelque chose de très chère alors il n'avait plus sa place sur cette putain de terre.

Moi:Tu l'as...

Aziz:Aïe.

Je lache ce que javais en main.

Moi:Non Aziz t'avais pas le droit ! Tu n'a pas à décider si quelqu'un peut rester en vie ou mourrir.

Aziz:Je l'ai fait pour ta putain de gueule Dîna, il allait tout poucave comme il l'a fait pour un gars des Tarterêts. De plus il me l'a mise à l'envers.

Moi:Y'a d'autres façons.

Aziz:T'sais quoi ? J'aurais dû le laisser te dénoncer et j'aurais bien ris devant toi au parloir.

Moi:Tu m'répugnes au plus haut point.

Aziz:Je t'aime aussi ma belle.

Il pose sa main sur ma joue et je l'enlève directement avant de le gifler.

Moi:M'touches pas !

Il relève sa tête, un sourire en coin.

Aziz:Ton putain d'Sofiane ne te donnera même pas la moitié de ce que je peut te donner.