Je me battrait avec ou sans toi...

Chapitre 17

Une fois que Itachi a quitter la salle Kushina examine une nouvelle fois toute la pièce. N'entendant aucun bruit a pars sa respiration elle en déduit qu'il n'y a personne qui la surveille. Ses mains sont attaché dans son dos et ses jambes contre les pieds d'une vielle chaise en bois. D'ailleurs le pied droit et légèrement fragile, trouvant sa utile elle commence a donner des coups vers l'intérieur. Après plusieurs coup il cède enfin et la voilà au sol avec une douleur dans le dos. Elle lâche un juron discret puis essaye de se redresser mais sa ne marche pas. Elle est donc sur le dos toujours attaché mais à une jambe libre. Bon... avec sa jambe gauche elle pousse vers l'intérieur et renforce avec la jambe droite. Par chance étant une vielle chaise elle y arrive sans problème. Les deux jambes libres elle se pousse vers le dossier et pousse l'assise pour la casser. Elle s'arrête quand elle étend du bruit dans le couloir. Après quelque minutes plus rien. Alors elle reprend et le casse enfin, elle glisse son corps et ses mains sont enfin libre. Elle se lève mais ses mains sont toujours attacher dans son dos avec des menottes. Devant la porte elle se tourne et essaye avec ses mains d'ouvrir la porte mais c'est fermer à clé.

- Merde.

Elle regarde autour d'elle mais rien peu l'aider. Elle tient ses mains entre elle en réfléchissant et d'un coup les menottes se détache. Elle les regardes et voit qu'elle sont a bouton.

- Non mais ils sont con ou quoi ? Dit elle en soufflant.

Bon, elle a les mains libres, une arme en main et une porte ferme à clé. C'est déjà mieux que rien. Encore des bruits de pas devant la porte. Elle court prendre un pied de la chaise et attend près de la porte. Quand celle ci s'ouvre un homme entre et se prend un coup en pleine tête. Elle regarde dehors et par chance personne. Kushina le tire vers l'intérieur, récupère le revolver chargé, son téléphone et l'enferme. Elle inspire profondément et cours dans le grand couloir en face d'elle. Tout en restant prudente et sur la défense.

Après plusieurs minutes toujours personne... cela l'inquiète de plus.

Surprise elle sort du bâtiment par la fenêtre seine et sauve, sans une égratignure, sans blessure grave. Entière. Elle marche rapidement quand elle voit une voiture noir passer avec un nuage rouge sur la portière se diriger vers le bâtiment et là elle a un mauvais pressentiment. Elle enlève ses talons et part en courant vers la demeure du clan Namikaze.

Sur le chemin elle rencontre Hinata qui pleure et qui tourne en rond.

- Hinata !
- Kushina...
- Mais qu'est ce qui t'arrives ? Quelqu'un t'a fait du mal ?
- Non.. c'est... c'est..mais vous êtes blessée... vous avez un bleu sur la joue au mon dieu !
- Calme toi Hinata ! Explique ! Sa a rapport avec Naruto ?
- Oui.. je l'est vue dans une Mercedes noir avec Sasuke..
- Tu es sur ?
- Oui... sur la portière il y avait le symbole...
- Merde ! C'est pour sa que personne m'as empêcher de partir.. toi tu rentres chez toi.
- Mais..
- Ta trois secondes pour partir d'ici.

Ne pouvant pas contredire elle l'écoute et va vers chez elle. Kushina sort le téléphone qu'elle a voler et appelle Minato.

- Allo ?
- Minato, où est Naruto ?
- Kushina ? Bon sang tu es sortie ! Je suis tellement content d'ente..
- Où est Naruto ?
- Et bien..
- OÙ.EST.NA.RU.TO ?!
- Pardonne moi...
- C'est pas vrai..
- Il c'est enfui par la fenêtre et on a reçu un message..
- Ils demandent combien ?
- Tu veux payer ?
- Ce n'est plus de moi qu'on parle c'est de mon fils !
- Ton fils ?
- J'en est marre. J'y est cru.. j'ai vraiment cru que tu aller régler toute ses histoires et qu'on aller pouvoir vivre notre vie à trois. Sans même vous prévenir j'ai commencer à cherché un nouvelle appartement mais... à quoi bon ? Tu sais quoi ? J'ai toujours été seule, j'ai toujours su m'occuper de moi seule, j'irais chercher MON fils que J'AI élevé.
- Kushina écoute moi...
- Non. Je n'est plus rien à te dire.

Elle raccroche. Elle laisse ses chaussures et se dirige vers le bâtiment sans se presser. Arriver devant, elle toque à la porte.