Epilogue

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Assise en tailleur sur le tatamis. Les cheveux rouge avec les racines blanches. Habiller de son manteau portant le symbole des Namikaze, elle regarde la pluie tomber dans le jardin.

- Maîtresse ! Maîtresse !

Elle inspire puis souffle. Déjà fatigué des événements à venir. Elle était persuadée que ce qui allais arrivé n'était pas positif suite aux cris des hommes qui courent dans la demeure.

- Maîtresse ! Hurle l'homme en arrivant derrière elle.
- Est-ce vraiment important ? Demande t-elle calmement.
- Oui maîtresse. Affirme t-il essoufflé.
- Et bien vue que j'ai pas le choix, parle, je t'écoute.
- C'est le maître, il est en garde à vue.

Elle souffle un râle d'exaspérante, quand pourrait t-elle enfin profiter calmement de sa retraite ? Quand son idiot de mari auras finalement compris qu'elle ne voulais plus courir derrière ses bêtises ? N'ayant pas le choix, elle se lève abandonnant son moment de paix et de tranquillité et retourne à l'intérieur où elle enfile ses chaussures.

Elle laisse le bras droit de son mari prendre les commandes le temps de son absence et se fait conduire en garde à vue où elle pars retrouver son mari.

Quand elle entre dans le commissariat tout les regards se braquent sur elle, tous craignez sa colère. En même temps, depuis qu'elle a tuée toute les membres de la branches principal du clan le plus redouté du pays, tous la respectait. On la surnommer « la faucheuse rouge ».

Voulant avoir ce qui lui revenait de droit, elle arrive à l'accueil et dépose ses coudes sur le comptoir. Tous savaient ce qu'elle était venue faire, ce qu'elle était venue chercher, mais pourtant toute les regards posé sur elle était déterminer à ce qu'elle reparte sans rien, et il y parviens car elle repart énervé du commissariat  et monte à nouveau dans la voiture pour aller à la mairie.

Ouvrant la porte en grand, ignorant la sécurité qui essaye de l'arrêté en laissant ses hommes s'occuper d'eux, elle monte les escaliers et arrive enfin devant le bureau du maire.

- Tu as enfermés ton père en prison ? Demande t-elle en entrant sans frapper.
- Bonjour maman. Répond Naruto laissant son travail sachant qu'il n'aller pas pouvoir continuer.
- Ne prend pas ce ton là avec moi. S'énerve t-elle. Explique toi.
- Toi explique, vous avez blanchi plus de deux millions d'euros, vous vous moquez de moi ? Demande t-il outrée.
- Qu'est ce que tu veux ? C'est notre business !
- Maman ! Je suis maire de cette ville, je peux pas accepter que mes parents travaille du mauvais côté.
- Parce que tu sais c'est quoi le bon côté peu être ? En gardant ton derrière assis sur ce fauteuil toute la journée ? Tu sais même pas ce qui se trouve derrière ta fenêtre laver deux fois par jour.
- La tu m'aides pas.
- Toi non plus. Que ton père soit libéré rapidement sans que j'intervienne ou sinon je m'appelle plus Kushina Uzumaki tu m'entend ?
- Je ne suis plus ce gamin de 16 ans, je ne suis pas obligé d'obéir.
- Vraiment ? Le défie t-elle en croisant ses bras au dessus de sa poitrine. Si ton père n'est pas rentré pour dîner ce soir tu embaucheras une autre personne pour t'occuper de tes deux petits monstres.
- Tu vas pas sérieusement arrête de prendre les petits ? Tu les adores.
- Je vais simplement refuser de les garder quand tu souhaites passer du temps avec ta jolie compagnes, à toi de voir trésor.
- Je sais plus quoi faire avec toi. Souffle t-il.
- Moi aussi à une époque, à toi de supporter ma crise de la cinquantaine. Dit elle en quittant le bureau.

*****

Elle venait de déposer les derniers plats sur la table, tous les couverts était soigneusement placée sur cette grande table pour accueillir toute sa famille. Elle n'attend pas plus de 10 minutes pour voir débarquer chez elle son mari  et son fils accompagné de toute sa petite famille.

- Ma petite femme. Dit Minato en enlaçant son cou.
- Ouai c'est ça. Rentre vite à l'intérieur, on doit discuter. Répond t-elle.

Tous étaient à table et mangent dans une bonne humeur. A la fin, la petite famille de Naruto pars.

****

- Ta pas honte de te faire avoir par ton fils ?
- Roh arrête, peu importe si je me fais avoir tu serras toujours là pour venir me chercher.
- Ouai bah évite de t'y habituer. D'ailleurs j'aimerais de te parler d'une chose...
- Je t'écoute.
- Tu penses vraiment qu'on devrais continuer comme ça ?
- De quoi tu parles ?
- Le blanchiment d'argent... les taxes chez les commerçants... on va vraiment continuer à voler comme ça ?
- Tu sais bien trésor, c'est pas au vieux singe qu'on va apprendre à faire la grimace. On va simplement être heureux en vieillissant ensemble, sa te vas ?
- Donc nous allons vraiment finir comme ça ?
- Tranquille, peinard, j'irais en taule, tu viendras me chercher, nous rentrerons avec toute notre famille pour dîner puis nous recommencerons le lendemain.
- Je vois... et bien ça me va. Finissons comme ça...

Elle monte sur la pointe des pieds et dépose ses lèvres sur celle de son mari avant de s'engouffrer dans ses bras partageant un moment de tendresse.

Fin

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 12, 2018 ⏰

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Je me battrait avec ou sans toi...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant