Le temps d'une année.

XIII

- Alors, il faudra que tu joue le jeu, quand ils t'enlèveront débat-toi mais ne ne libère pas ! Après ça, ils t'emmèneront dans leurs QG, tu aura une lame dans le talon de ta chaussure, tu as tout compris Eva ? me demande mon père.  

- D'accord.

Après ça, je monte dans le van où seront cacher quelques hommes qui recueillerons mes informations et qui auront accès aux caméras. Quand ils se garent assez loin de la ruelle dans laquelle je marche mon oreillette grésille.

- Mon Dieu, qu'elle ville de merde, même pas une boite de nuit pour s'amuser un peu ! marmonnais-je.

J'entends des pas et une voix se met a parler dans mon dos.

- Tu sais que t'es belle, beauté ? ricane un homme.

Je fais mine de sursauter et me retourne.

- Oui, je sais pas besoin de me le rappeler. répondais-je, un sourire charmeur.

- Ho, c'est qu'elle me plait bien celle-la B ! rit un autre homme derrière moi.

- Ouais, il ne nous en manquais plus qu'une en plus A ! railla le premier.

Ils s'approchent de moi en empoignant chacun un de mes bras, puis un tissu se pose sur mon nez et ma bouche, je me débat un peu avant d'entendre une troisième voix.

- Vous allez comme même pas osé ! Je suis sûr qu'elle n'est même pas encore majeur ! crie une voix suivie de bruits de pas.

Puis ma vue se troublent et devient noir.

***

Je me réveille, ça pue la drogue et l'alcool. Je m'assois et observe où je suis. Je suis seule dans une pièce où les murs sont tâchés sur un sofa qui vient sûrement des poubelles. 'oreillette grésille et laisse place à la voix de Dany, un gars avec qui j'ai fais beaucoup de missions.

- Eva, décris-nous l'endroit où tu es !

- Oui, hum... Alors, les murs sont tâchés, et la tapisserie est déchire à certains endroits, le parquet est abîmé sur les côtés et il y à une fenêtre a, je dirais... deux mètre et demi du sol.

- Super, est-ce que tu pourrais regarder a l'extérieur ?

- Oui, je pense que je peux y arriver, attends deux secondes.

Je pousse le sofa en dessous de la fenêtre et saute dessus avant de m'asseoir sur le rebord intérieur de la fenêtre. 

- Alors, je vois des enfants, ... je crois que c'est un parc ! Ensuite... hum... il y a des immeubles, environs a 30, il y a une autoroute. Et c'est tout.

- Okay, qu'est-ce que tu entends ?

- Hum, des vois, des rires et des voitures qui passent.

- D'accord, on a réussi à te localiser, on envois les renforts et quand ça déggnère lance le signal et on t'aidera.

- D'accord.

J'entends le verrou de la porte et celle-ci s'ouvre sur une garçon de mpon âge, cheveux noirs et yeux azurs, un plateau à la main. Il ferme la porte et pose le plateau devant-moi avant de s'adosser à la porte. Je le regarde.

- Quoi ? demande t-il.

- Pourquoi tu fais ça ?

- Ça quoi ? 

- Les viols.

- Ils me tueront si je ne leurs obéis pas. annonce t-il.

- Tu n'aimes pas faire ça ? 

- Non.

- Ça ne te fais ni chaud ni froid de savoir que vous violez des filles qui n'ont rien demander ? crachais-je, tu sais que au moins 5 % des femmes violées tombent enceintes ?

- Oui, ça me dégoûte, mais si j'interviens, ils me butent. 

- T'as quel âge ?

- 15 ans.

- Moi c'est Eva, enchantée.

- Logan. Tu sais, t'es pas sensée m'apprécier ou me faire la causette ?

- Je sais, mais tu as ce petit trucs qui me dit que tu ne me ferais jamais de mal. souriais-je.

- Tu en a déjà violée une ?

- Non, c'est plu fort que moi. admet-il en baissant la tête.

- Co... Comment pour ça se passe ?

- Ils m'enferment d'abord avec la fille et quelqu'un surveille pour qu'elle ne tente rien et quand ça devient « chaud », il sort et ils obligent la fille a restée vivre avec moi. Et si je refuse de le faire ils la violent avant de l'égorgée. raconte t-il, la gorge serrée.

- Voudrais-tu t'enfuir ?

- Oui ! répond-il en relevant la tête.

- Alors écoute-moi bien. lui ordonnais-je.

Je lui explique le plan puis il rejoins B et A. 

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Logan

Eva est la clef, elle va me sauver ! 

Je rejoins Benjamin et Anatole, l'air faussement nervé.