Chapitre 13

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Je m'étais assoupis involontairement, j'émergeai à dix-neuf heures. Moins contrarié que cet après-midi, cependant j'avais une migraine très désagréable. Je descendis pour prendre un médicament. C'est alors que j'entendis sa voix.

-C'est vraiment très important Nathalie, je dois lui parler !

-Non, tu ne pourras le voir seulement pendant vos heures de cours. Il est consigné pour avoir une nouvelle fois séché. J'imagine que tu étais avec . Les deux inséparables.

-Il a séché ? Je ne le savais pas, mais je dois vraiment lui parler !

-Qu'est-ce que tu as Jayson ? -Je m'empressai de descendre les dernières marches le plus rapidement possible malgré mon maux de tête.-

-Oh non toi, tu remontes directement dans ta chambre, tu redescendras quand je t'y aurais autorisé !

-Non ! Je t'en prie maman, je dois absolument le voir ! Je veux le voir !

-Mais vous pouvez bien vivre l'un sans l'autre jusqu'à demain voyons !

Lui et moi répondîmes non à l'unisson – non !

-Maman je t'en prie laisse-moi le voir !

-Regarde-le, par le judas de la porte ! Tu es puni je te signale !

-Rien que cinq petites minutes, je n'ai besoin que de cinq minutes je vous en supplie Nathalie !

-Maman ? Je pense que tu devrais les laisser discuter, - Mélissa venait de nous rejoindre dû au boucan que nous faisions dans le vestibule. – Regarde-les, ils en sont à t'implorer pour se voir, je pense que c'est véritablement important.

-Et mon autorité parentale dans l'histoire ? -Elle leva les bras au ciel, abandonnant la bataille, à l'arrivée de Mélissa l'avocate du diable. - Je vous accorde à peine deux minutes !

Je pus enfin ouvrir en grand la porte, et il me prit dans ses bras.

-Je suis tellement désolé Jayson, je n'ai pas réussi à convaincre Noémie de supprimer son poste Je lui ai sorti des atrocités je m'en veux pour toi...

-Chute Chéri... J'ai résolu le problème ne t'en fait pas pour ça !

Je rougis au surnom qu'il venait de me donner. – Comment, viens-tu de m'appeler à l'instant ?

-ça ne te dérange pas ? J'aime beaucoup ton prénom, mais en le disant je n'y sens pas la passion que j'ai à ton égard.

-Non, tu peux. J'apprécie, mais dis-moi alors qu'elle est la solution au problème ?

-Noémie ne m'a pas trop laissé le choix. J'ai pris mon courage à des mains, et j'ai été annoncer à mes parents que j'étais amoureux de toi. Et que peu m'importait leurs réactions le temps que je puisse être avec toi.

-Co, comment ont-ils réagi ?

-Ma mère, t'a entendu la dernière fois que tu es venue devant chez moi, en hurlant au quartier entier que je t'avais embrassé.

-Excuse-moi, pour cette situation embarrassante ! Tu ne m'en veux pas ?

-Bien sûr que non, jamais je pourrais t'en vouloir pour quoi que ce soit !

-Et ton père alors ?

-Mon père, ma dis qu'il lui faudrait un peu de temps pour l'accepter mais qu'il ne désapprouvait pas mon choix. Qu'il nous soutenait malgré tout.

-Je suis désolé qu'elle t'ait forcée à faire ça.

Il releva ma tête et essuya les débuts de mes larmes de ses pouces, -Ne pleure pas.

Je ne vis que pour t'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant