Mon amour charnel

Chapitre 21

C'était beau à me voir en hangover par dessus la tête le jour de noël. Je ne supportais pas le bruit, ni la lumière en plus de l'arrière gout de vomi qui trônait dans ma bouche. James s'en ai rendu compte assez vite que j'avais bu beaucoup plus que les autres hier soir , mais il n'a rien dit parce que je ne l'aurais pas écouté de toute façon. J'avais besoin de me changer les idées à cause de mon père et ça a bien marcher quelques heures. Malgré que j'ai bu beaucoup plus touts les adolescents nous sommes dans un état pitoyable, quand les parents sont rentrés en fin d'apres midi nous dormions tous et ils nous ont fait assoir à la table pour savoir ce qui se passe. Agressé par la lumière du jour qui brule nos pupilles nous fermons les yeux en mettant nos mains dans notre visage pour empêcher la lumière de pénétrer le plus possible. Mathéo râle:
- je l'ai avais fermé...
Les parents ne disent rien , mais ils sont fière de leur coup, en se rappelant leur premier hangover et leur rapport avec la luminosité durant ces moments la. Ils se réjouissent qu'on culpabilisent de notre comportement d'hier soir. Surtout quand Patrick et le père à Conrad decident de faire la vaisselle avec beaucoup trop d'énergie.
- hey! Arrêtez S'il vous plait... suppliais-je
James cogne sa tête sur la table pour enterrer le bruit des chaudrons qui frottent entre eux.
- Corinne pourrais-tu passer la balayeuse s'il te plait. Lui Demande sa mère
- putain... grognons en synchronisme après cette demande.
Ma mère, une habituée des lendemains de veilles nous distribue chacun un médicament bleu et nous ordonne d'aller prendre une douche pour qu'on dégrisent, je m'exécute la première et seulement après une heure je vais vachement bien, et ce pour les autres aussi.
Ensuite viens le souper, Corinne, Véronique et moi nous nous préparons dans leur chambre, maquillage,  cheveux, habits, on diraient quoi s'en va sur un tapis rouge. Tant dis que les garçons sont presque en pyjama. Je ramasse James et Conrad (parce qu'ils sont de la meme taille) par le bras et les amènent de force dans leur chambre pour leur trouver une tenue convenable. Véro s'occupe de l'est coiffer et Corinne a prit les deux autres.
Mon inspiration: les années 60.
Mon meilleur ami porte une chemise noir rentré dans des pantalons noir chic accompagné de bretelles brune reliée de sa ceinture à ses épaules carrées. Conrad porte la même chose , mais avec un chandail blanc, je me suis presque battue avec eux , car comme des enfants ils refusaient de ressembler tout court. Remi a un chemise bleutée dans des jeans taille haute et math un t-shirt sous une chemise ouverte. Enfin ils ressemblent à quelque chose avec leurs cheveux plaqués de différentes façons avec de la laques.
- oh mon dieu les enfants vous est beau comme des coeurs!. S'exclame Annick
- beau bonhomme. Rajoute Patrick
- on prend une photo!dit Johanne à son marie julien.
Ils s'en prennent quelques-unes , mais nous sommes partis en prendre un peu plus tard au sous sol. C'est méchant , mais personne ne voulaient vraiment que la jumelle à Conrad soit la tant dis que Mathéo a insisté pour prendre quelques photos avec sa nouvelle fréquentation. C'est au tour de ces deux la, math met son bras autour de sa hanche, pendant que véro place ses cheveux derrière ses oreilles. Soudainement dès que je m'apprête à prendre la photo, mon ami met sa main sur la joue à mon autre amie puis l'embrasse avec tellement de passion que ça me met un sourire aux lèvres. Un silence s'installe et les garçons se mettent a hurler de fierté pour leur pote. Je capture ce moment avec beaucoup d'enthousiasme, ils sont trop beau ces deux la! Pendant que les gars sautent sur Mathéo, Véronique viens me rejoindre un sourire qui fend son visage en deux avec les pommettes aussi rouge qu'une tomate.
- ça deviens sérieux alors. Demandais-je en prenant une photo des garçons qui sourit à pleine dent dans le moment.
- j'ai peur qu'on se soient juste emportés à cause de l'ambiance de fête et tout. M'avoue t'elle
- on a toujours peur que se soit une autre cause que l'amour tout simplement. Dis je comme réponse en regardant James douteuse de notre relation.
- j'ai toujours envie d'etre avec lui , mais j'ai aussi toujours peur d'etre collante.
- Mathéo est un aimant à câlins t'inquiète pas pour ça. Rigolais je en repensant à des moments passés avec lui qui rendait même james jaloux.
Je passe la caméra à véro pour qu'elle puisse voir la super photo que j'ai prise d'eux.
- le souper est servis, vous montez? Demande Léo maintenant rétablis avec un bandage à la tête pour cache sa cicatrice de guerre.
Le souper traditionnel était bon comme touts les autres années , mais ce que tout le monde attendaient c'était les cadeaux. Les plus jeunes ont finis de déballer leurs centaines de jouets c'est donc à notre tour. Après quelques cadeaux par ci par la, nos parents respectifs nous donnes à chacun et chacune une enveloppe blanche vierge de l'extérieur.
- vous devez l'ouvrir en même temps à go.
Touts les adolescents nous nous regardons pas certains du cadeaux.
- 1... 2.... 3... go!
Silence complet
- putain.. c'est pas vrai! Chuchote Conrad
- merde on partent en voyage! Sautille t'elle
- préparez-vous les hawaïennes mononcle Rémi s'en viens
Je vois enfin le billet imprimé, je lis la destination pour être sure qu'ils ne racontent pas de la merde. Je regarde ma mère avec des larmes aux yeux tellement ma joie est intense, partir à Hawaii dans cinq jours durant une semaine et demi avec mes meilleurs amis. Reste que je trouve ça plate que Véronique ne puisse pas venir au plus grand malheur à Mathéo, mais elle nous a dit qu'elle essayerait de nous accompagner.
- qui va nous surveiller, c'est sure que vous nous laissé pas seule dans un autre pays. Demandais-je en croquant dans une canne de Noël
-  ta tante vie là bas, Elle a acceptée de vous accompagner. Répond ma mère
- Savéria? Dis je en ne sachant pas du tout de qui elle parle.
- non l'autre. Affirme t'elle en pigeant un raisin sur la table
- elle n'est pas morte celle là. Doutais-je
- parce que t'as des tantes? Demande James qui ne suit plus du tout la conversation