Chapitre Trois; Alchimie vs Rancœur

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J'ai la boule au ventre en l'est voyants aussi sérieux, après tout c'est moi qui devrais être en furie non ? Puis  je l'entrevoie me regarder comme si c'était la dernière fois (peut-être bien que nos parents vont nous tuer ?) Les secondes s'arrêtent quand mon regard se pose dans celui de James, je ne peux pas expliquer le sentiment qui me parcourt, mais ma respiration se coupe et un sourire se déplace automatiquement sur mes lèvres

— HEILLE réveillez-vous dont vous deux ! On a quelque chose à vous annoncer. lança rapidement ma mère

— Moi et Julie... nous sommes ensemble. annonce Patrick

— Bah c'est un peu normal, nous sommes ensemble, dans la même pièce. M'exclamais-je d'un ton moqueur ce qui fut rire James, mais pas nos parents à ce que je vois.

— Ce n'est pas le temps de rigoler. Coupa ma mère dans notre élan.

— Attend vous sortez ensemble, genre mariage et tout ? suppose James

— Oui, pas mariage (il regarde ma mère) pas pour tout de suite, mais oui, on va peut être déménager un jour qui sait, on a beaucoup de projets ensemble au boulot. S'exclama Patrick en regardant amoureusement ma mère. 

J'aimerais qu'un jour un homme me regarde de la même manière que pat la regarde.
C'est vrai que ma mère a un peu être changée ces temps si, elle boit moins que quand papa nous a quittées. Elle m'avait aussi parlé d'un homme, mais jamais elle n'avait prononcé son nom. De plus ça ne me surprend pas que Patrick soit l'heureux élu, car ils se sont toujours très bien entendus que se soit dans des soupers, au travail ou dans les estrades pendant les parties de baseball à moi et James. 

En y repensant plus sérieusement, je comprends soudainement tout ce que cela implique.

— Ark vous... (en les pointes pour signifier qu'ils couchent ensemble)  je ne veux pas imaginer ça ! dis-je en me tournant la tête de gauche à droite pour enlever les images qui arrivent dans mon cerveau.

— Ouais faut-il habituer ma belle on est pas dans un film de Disney. Répliqua James en me regardant dans les yeux et s'accotant sur moi. 

Fière de me rendre encore plus dégoutée ils riaient tous de plus belle, face à ma réaction, moi non ça ne fait pas rire le fait qui ma mère couche avec des gens. Ça m'écœure ! J'ai des d'images en tête maintenant. Ce n'est pas le sexe qui me répugne, mais ma mère qui s'en procure un plaisir avec mon père adoptif, OUI !

— C'est dégueulasse, come on ! Je refuse de savoir ces choses la, surtout quand ça concerne de ma mère en tout cas ! à ce moment James me recrache sa gorgée d'eau dessus probablement en faisant par exprès parce que ma dernière phrase n'avait rien d'hilarant. 

—  Merde t'es sérieux jam. Grognais-je avant de remonter dans ma chambre suivie du gamin,
je pénètre ma chambre sans refermer ma porte.

— Tu en as plein partout, toi aussi. Lui dis-je en pointant du regard son chandail imbibé d'eau. Tu veux un de tes chandails ?

— Un de mes chandails ?

— Tu en avais oublié chez moi et c'est des bons pyjamas. Lui souriais-je

Je sors de ma commode deux grands chandails de taille M pour homme, un noir et un blanc. Je tends le blanc à James et garde le noir pour moi (c'est mon préféré). Je l'observe retirer son chandail... ce n'est vraiment plus le même qu'avant et j'avais raison, c'est presque un homme maintenant, j'en reste bouche bée ! Sa musculature parfaitement dessinée dans le genre que tu frappas tu pourrais peut être perdre ta main. Ses épaules ont une symétrie cotée et je trouve que ces magnifiques sur un homme pour accentuer sa virilité.
Je détourne mon regard le plus vite possible de lui lorsqu'il découvre ma fascination pour son nouveau corps.
— C'est beau, tu peux continuer à m'observer, je sais que je suis beau comme un dieu.
— Heille calme ton égo le grand. Dis-je en rigolant tout bas ?
— Faut se dire la vérité.
— Tu serais mieux de dégonfler ta balloune maintenant avant qu'elle explose.
— Et toi tu ne te changes pas ?
— j'attends que tu te retournes
— Si c'est une demande, la réponse est non. dit-il d'un ton moqueur
Je pouffe d'exaspération, car je sais qu'il ne va jamais finir par se retourner.

Sa tête fit mine basse quand son plan pour me voir me dénuder tombe à l'eau.
Après avoir enlevé ma camisole, je remarque le regard des James planqué sur moi... sur mes seins oui !? J'ai totalement oublié de fermer la porte. Je le vois les gros yeux ronds planqués sur mon décolleté en se mordant la lèvre inférieure, c'est a craquer en fait.. Je ne comprends pas le frisson qui me parcourt quand je le vois et pourtant il y est toujours, quand il me regarde, comme dans notre fin d'amitié son regard posé sur moi ce qui me donne de milliers de petits papillons à l'intérieur de mon ventre plat. 

— Tu arrêtes de me mater quand au juste. me moquais-je

— Jamais. Répond-il en essayant d'être sexy, mais il a plus l'air d'une chienne en chaleur.

Je repénétre dans ma chambre puis je me rappelle le fait que c'est maintenant mon demi-frère et que je devrai vivre avec  lui h 24. je sens que je ne vais pas apprécier ça !
Après une légère réflexion de ma part, je ne peux pas rester fâché après lui une éternité parce que premièrement : il est d'un charme incroyable que se soit physiquement et mentalement puis deuxième nous allons toujours être ensemble donc je vais essayer de tout faire pour que ça s'arrange, le plus vite possible j'aime pas la tension qu'il y a entre nous.

— Euh... désolé James... de mes réactions « exagéré ». Je..

— Ouais tu es spm. ce n'est pas parce que ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu que je te connais plus. rigola-t-il 

(j'y lançai un oreiller en pleine tête)
— Ce n'est pas ça j'allais dire ! 

Il me regard avec un regard qui signifie dire « c'est bon je t'ai grillée arrête de mentir »

— Tu n'as pas trop changé. s'amusa-t-il

Il me fonce dessus et me soulève au bout de ses bras musclés, le sourire aux lèvres je cris des petits putain lâche moi, James tu vas mourir, ou bien je vais vomir !, f. d. p je vais te battre à mort ! tout ça étouffé sous son rire charmeur et son sourire de gamin. Ça m'avait vachement manquée tout ça.

— Je ferais tout. Ce que tu... voudras... mais.. Lâche-moi, je... t'en prie. Dis-je riant de plus belle avec un souffle court.

— Tout ? (en haussant un sourcil et me déposa au sol)

— Merci pour le manège c'était « apprécié ». dis-je sur un ton sarcastique

— Je veux un câlin. ordonna-t-il

(je fais semblant de réfléchir)
— Non !
Je partis à courir à travers la maison comme une enfant de 5 ans suivie de James, je crois bien avoir retrouvé mon ami d'enfance même si on est VRAIMENT moins  complice qu'avant. Je me cache derrière les parents qui sont en pleine discussion ma foi pas très intéressante. Jam se met à l'autre extrémité de la table face à moi. on se combat du regard jusqu'à ce que ma mère nous coupe

— Hey ! allez faire vos trucs ailleurs, vous ne voyez pas qu'on discute !

— Pardon je suis aveugle. Répondais-je avant de quitter pour sortir à l'extérieur avec James toujours torse nu. 

— Te mettre un chandail ? Tu ne voudrais pas ?

— Pourquoi je n'en ai pas besoin pour aller me baigner.

C'est a ce moment qu'il me regard avec son air malicieux, me soulève de la terre et me jette à bout de bras dans ma gigantesque piscine creusée. Je sens mes vêtements s'imbiber d'eau peu à peu, jusqu'à ce que bassin entre en collision avec le fond. Se coup résonne dans mon corps entier puis à bout de souffle je ressors la tête de l'eau de ou j'étais plongée depuis un petit moment. Mon ancien meilleur ami colle nos bassins l'un à l'autre avec ses mains d'homme en me regardant dans les yeux. Je suis  hypnotisée par son regard charmeur. Je ne bouge pas, je ne dis pas un mot, je fais que l'observer.

Je prends ses bras et les croise dans mon dos avant de blottir ma tête dans son coup et attacher mes bras autour de ce dernier.

***
Si vous appréciez ce genre de roman, voici mon nouveau que j'écris peu à peu :
Culpabilité Torride ;

Mon amour charnelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant