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-JASMINE BEAULIEU VIENS ICI MAINTENANT! crie agressivement ma génitrice à travers la maison d'une manière à aussi désagréable que d'habitude
-j'arrive! pas besoin de crier, mon dieu... Répliquais-je d'une façon aussi non chalande que la sienne.
Je descend les escaliers à moitié, assez lentement, à vrai dire la voir ne me tente absolument pas aujourd'hui. Je n'arrive pas à m'auto-tolérée et j'aimerais passer une journée agréable pour une fois.- On soupent chez les Méthot ce soir et ce n'est pas discutable. M'apprend t'elle comme si c'était une annonce banale.
Des que son nom de famille est prononcé mon coeur se mets à battre sans répit et le hamster dans ma tête s'agite comme si il venait d'engloutir 7 redbulls.
-QUOI?! Merci c'est une blague j'espère, dis moi que c'est une groooossssee blague. Bafouillais-je en essayant t'en bien que mal de cacher ma panique
- Oh que non jeune fille. S'exclame t'elle fermement. Ca dur depuis 1 an vos enfantillages, je ne suis plus capable d'emdurer ca donc tu vas pousser ton p'tit cul hors de ta chambre et descendre. Dit-elle fièrement en pensant encore à elle comme toujours.
-Aucune chance que je mettes les pieds chez cet imbéciles narcissiques! Que James aille se faire foutre. M'affirmais-je bêtement avant de remonter les escaliers à moitié paniqué.
-TON LANGUAGE MADEMOISELLE.Avant qu'elle ne puisse continuer à dire quoi que ce soit, je claque la porte de ma chambre et m'écrase sur mon lit, retournant dans mes pensées pour me calmer
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- Comme ça tu veux que j'aille me faire foutre? Dit d'un ton arrogant une voix rauque et masculine.
Je sors du sommeil léger d'où j'étais si bien. Sans vraiment savoir si ce que j'ai entendue est bien réel j'ouvre un oeil et le referme immédiatement en souhaitant de tout coeur que se soit un rêve. Je me pince une trentaine de fois avant de réouvrir mes yeux lentement. Mon coeur fait un triple bond dans ma poitrine, ma bouche cherche des mots.- Tu.. tu..' tu fous quoi ici? grognais-je
- Tu étais tellement enragée tantôt que t'as même pas vue que j'étais à la porte.
-Super... tu veux quoi?
- je crois qu'on devraient parler, ca fait longtemps. M'avoue t'il
Je peux voir à travers son regard que c'est difficile de piler sur son orgueil et de venir me jaser.
J'aurais aimée être capable de m'enlever de la tête ces mauvais souvenirs.-Merci de revenir après un an mon beau, mais la sors. La dernière chose dont j'ai envie c'est d'en parler... dis-je d'un ton arrogant en pensant de tout mon coeur chaque mots
Peut être bien qu'au fond de moi, j'avais envie qu'il revienne un jour. Pourtant, sa présence me rend nostalgique et j'ai travaillé tellement fort pour essayer pour l'oublié..
J'ose enfin poser mes yeux dans les siens, mais évidemment quelque chose a changé. Son regard est différent, son énergie l'est aussi et ce n'est plus le James que j'ai connu. À la fois mystérieux et incompréhensible.
Ses cheveux brun, ses yeux verdâtres et son petit sourire arrogant en coin.Et puis, j'avoue que sa peau basané et sa mâchoire carrée qu'il n'arrête pas de resserré par nervosité, lui donne un certain charme.
-Tu continues à me mater ou tu viens me serrer dans tes bras? m'interroge t'il avant d'ouvrir les bras.
Je le dévisage pour qu'il comprenne que ce moment n'arrivera jamais.
-Tournes-toi. Exigeais-je
-Pourquoi? J'ai deja vu tes seins je te rappelle.
- Mais tourne toi bordel!
Je ne m'ennuyais pas de son arrogance acharnée.
James se tourne face au mur tant dis que moi je me vêtu d'un cuissard accompagné par un chandail beaucoup trop grand pour moi qui appartenait à mon père.
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Mon amour charnel
ChickLit? Attention à certaines scènes ? Il était une fois, des adolescents esclaves de leurs hormones ainsi que de leurs pulsions. Un mélange d'androgène et d'estrogène qui s'enflammaient au simple contact de leur regard. L'amitié ne peut survivre face à d...