Mais Pattenrond... Laisse-moi écrire...!

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Salut tout le monde. Je m'appelle Drakinini, ai 13 ans et suis l'auteure de ce livre... enfin, si on peut appeler cela ainsi, je n'ai écrit que 7 mots ! N'hésitez pas à me critiquer dans les commentaires, mais aussi à m'encourager, car je suis en 5ème et ne suis pas toujours trop motivée pour écrire une histoire, surtout s'il n'y a que des commentaires négatifs👩. Je vais essayer d'écrire au moins un chapitre par semaine, plus si possible👌.

Bon courage à tous ceux, comme moi, qui écrivent des livres !

Et surtout : VIVE HARRY POTTER ET LE COUPLE DRAMIONE !

Hermione Jain Granger, 17 ans, était allongée sur son lit entre sa peluche préférée représentant un gros nounours en train de manger et l'écharpe que portait sa mère.

Avant l'accident.

Avant que tout ne bascule...

Il était maintenant 6 heures 25 quand son réveil sonna. Autrefois, c'était l'odeur des crêpes de Jain qui la réveillait ; elle en faisait chaque matin. Maintenant, elle était réveillée par une multitude de BIP BIP qui, à la place de l'inciter à descendre savourer la présence de ses parents et le goût des délicieux pancakes, ne lui donnait qu'une envie : claquer le réveil...

Dès le second BIP, elle se leva, posa ses délicats pieds par terre et entra dans la douche ; l'eau glacée lui procurait un réel plaisir, le seul possible avant ce jour maudit. Eh oui, son bonheur se résumait à deux gouttes d'eau venant d'une douche. Pitoyable ! C'était la seule chose à dire.

En sortant, elle se prit les pieds dans son tapis de bain et tomba.

Deux bonnes minutes plus tard, elle se releva et décida d'aller choisir sa tenue ; sa garde-robe avait bien souvent changé. De ses 11 à 13 ans, elle avait conservé la garde-robe de la petite fille parfaite : col-roulé et gros pulls étaient les plus présents, mais vers sa quatrième année, quand elle avait commencé à fréquenter la jeune Weasley qui traitait son armoire de "la même que ma grand-mère", elle transforma tout en quelque chose d'un peu plus, comment dire ? Actuel... Mais à la mort de ses parents, toutes ses affaires colorées était parties rejoindre celles de grand-mère pour laisser place à une seule couleur : le noir. La couleur du deuil.

Elle opta pour un mini-short noir vu les 34 degrés qu'il faisait dehors, assorti d'un haut, laissant voir son ventre plat et des baskets à talons compensés. Elle se sécha les cheveux, qui, après de nombreuses années de lutte pour les désépaissir et les lisser, arboraient de belles boucles, d'un coté plus longues que l'autre. Ce n'était pas le seul changement par rapport à l'année précédente : ses cheveux avaient légèrement blondis, n'atteignaient pas la couleur de ceux de Luna, mais se rapprochaient de ceux de Lavande. Elle prit un élastique et se les attacha.

Empoignant le mascara et le crayon, tous deux de la même couleur, elle prit soin de se les appliquer.

Vers 6 heures 45, elle descendit et s'assit à la chaise qu'elle utilisait depuis toute petite. D'un geste de baguette, elle fit venir un verre de jus d'orange et à l'aide d'un Accio, elle le rangea après avoir vu la photo de famille qu'elle avait prise avec ses parents, lors de ses 7 ans. Tous les matins, c'était la même chose : le regard de ses parents présents sur la photo lui coupait l'appétit. Elle se leva précipitamment et empoigna le cadre dont elle retira la photo, la jeta dans les toilettes et tira la chasse.

Elle n'avait pas besoin d'un nouveau souvenir douloureux. Elle en était hantée...

Elle vérifia une dernière fois que ses valises étaient complètes et que Pattenrond ne s'était pas soulagé dans la cage comme il aimait le faire. Elle les empoigna, les déposa devant la porte, enfila son grand manteau noir que sa mère lui avait offert pour son quatorzième anniversaire. Puis elle passa la porte, la ferma, déposa ses clés dans la boite aux lettres de la voisine. Et transplana.

Les larmes rougesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant