Le Cube, Saison 1

Le Cube 9.2: Les anciens employés de Jimenez

L'inspectrice da Luca dans une autre salle improvisée, reçoit Mme Smith accompagnée du stagiaire de la police. Mme Smith a l'air d'être très nerveuse.

Mme Smith: Bon… jour…

Inspectrice da Luca: Bonjour, comment allez-vous ?

-Très nerveuse…

-réconfortant- Non, il ne faut pas… Tout va bien se passer. Il faudra juste que vous répondiez à nos questions. Vos réponses ne seront pas répétées au public. Evidemment, seul mon collègue le saura, logique.

-un peu plus rassurée- Bien, cela me va.

-On commence ?

-elle inspire et expire- Oui, je suis prête.

-fière- Bien, commençons que faisiez-vous le jour du crime entre 14h00 et 18h00 ?

-Comme d'habitude, j'organisais et je disais aux filles qui sont femmes de ménage d'allaient dans quelle chambre pour nettoyer. Puis, je vérifiais chaque chambre si elles étaient bien nettoyaient, bien propres. Je vérifiais si les états électrotechnique étaient bien mis correctement et j'appelais un des électrotechnicien pouvant venir réparer.

-Bien, vous êtes une bonne employée. Comment êtes-vous considérer au seins du travail ?

-Je suis souvent félicitée de la part du propriétaire de l'hôtel, du fait que je sois active et réactive, et je m'entends bien avec mes collègues.

-Bien. Maintenant, parlons de votre passé, vous aviez travaillé dans une des entreprise de Pablo Jimenez. Et vous aviez fini par être virée, pour quel motif ?

-recommençant à stresser- Hmmm… Aaaaah… Euuuuh…

-Alors, pourquoi ?

-Il m'a viré… parce que je travaillais mal…

-Ah bon ? Pourtant, il n'y avait aucune reproche à votre égard et aucune avertissement de quoi que ce soit.

-persistante- Je travaillais mal.

-pas convaincue- Vous mentez.

-les larmes aux yeux- Comment pouvez-vous savoir ?

-J'ai un sixième sens. Dites-moi la vérité, que s'était-il vraiment passé ?

-craque- Laissez-moi partir, besoin de respirer. Je m'étouffe dans cette salle ! Laissez-moi partir ! Elle sort de la salle

-Non, ne partez pas. Oh merde…

L'inspectrice court après Mme Smith et fini par l'avoir. Elle lui dit qu'elle doit parler, de enfin se libérer pour mieux vivre après. Elle lui rajoute de lui laisser du temps, jusqu'à qu'elle soit prête à en parler quitte à ce que cela soit jusqu'à demain.

Après l'avoir rassuré, elle l'emmène dans la salle et lui donne un verre d'eau. Mme Smith ses coudes appuyés sur la table, ses mains contre son visage signalant le désespoir et crie la souffrance qu'elle avait dû endurer.

L'inspectrice da Luca patiente et est consciente que la révélation de Mme Smith vaudra le coup ! Le temps passe et aucune révélation ne sort de la bouche de la gouvernante. Mme Smith tapote ses doigts sur la table, elle fait des allés retours entre la porte d'entrée et la chaise.

Au bout de 4h00 de silence, Mme Smith est enfin prête à dire la vérité, elle s'asseoit et dit à l'inspectrice "Je suis prête".

Mme Smith raconte qu'elle était victime de harcèlement sexuel de la part de Pablo Jimenez. Plusieurs fois, elle avait voulu porter plainte contre lui mais avait peur des conséquences. Plusieurs fois, Pablo Jimenez avait voulu acheter son silence en lui payant plus que le salaire moyen gagné en tant que femme de ménage.

Une fois, elle avait pris son courage à deux mains de porter plainte contre lui. Bien sûr, la plainte n'avait pas pu être poursuivie car les policiers étaient corrompu de ce traquenard: Pablo Jimenez. Il les avait payé une telle somme que la plainte fut retirée aussi rapidement.

Mme Smith se sentant coincer voulait démissionner, mais Pablo Jimenez avait refusé catégoriquement. Alors elle avait demandé à son médecin généraliste de l'époque de la mettre en arrêt maladie au vu qu'elle allait mal psychiquement. Et pendant toute son arrêt maladie, elle se faisait harceler par les employés, les cadres de Pablo Jimenez en vandalisant la porte d'entrée ou alors en appelant son téléphone fixe ect.

Ne se sentant plus en sécurité, et étant maman dont sa fille n'avait que deux ans, elle avait fuit de chez elle jusqu'au Sud de la France. Depuis, elle travaille dans l'hôtel et avait pu faire des études pour être gouvernante spécialisée en hôtellerie-restauration.

L'inspectrice da Luca choquée et énervée de cette injustice. Elle l'a pris dans ses bras et l'a dit "Vous êtes courageuse et votre fille a de la chance d'avoir une maman pareille".

Elles se serrent la main, Mme Smith se fait raccompagner pour la sortie. L'inspectrice rejoint son collègue pour en parler, mais l'inspecteur a de nouveaux éléments pouvant être intéressants…