NON RELU
Inutile de balancer des " *là " ou des " JZDIUFHE MÉ YEUX " merciiii ;-;------------
« J-Jungkook ?
- y-yoongi.. laisse-moi entrer... »
Pour suivre mes dires, j'entre et bouscule légèrement mon hyung chez qui je viens de sonner il y a quelques secondes, mais pour je ne sais quel raison, mes jambes me lâchent et je tombe pitoyeusement au sol, avant de fondre en larmes.
Je ne sais pas pourquoi je suis venu ici, j'aurais pu retourner chez Jackson après tout.
« Y-Yah, calme-toi ! »
J'entends la porte se fermer derrière moi, puis la seconde d'après, Yoongi s'assied en face de moi et me prend dans ses bras tandis que je ferme mes yeux.
« j--... j-je suis horrible, hy-hyung.. !
- Jungkook, qu'est-ce qu'il s'est passé...? »
Je ne répond rien, de toute façon je ne peux pas lui expliquer '' ce qu'il s'est passé '', comme il le voudrait.
J'ai trompé Taehyung.
J'ai laissé d'autres personnes profiter de mon corps.« hey, calme-toi... »
Je commence alors à sangloter, et je finis par me resserrer doucement contre lui.
« t-taehyung... i-il me manque tel-tellement... ! j-je fais q...que de l-la merde depuis qu-qu'il est à l-l'hôpital... yoongi.... a-aide moi...
- chhht... Respire... »
Je prend difficilement plusieurs bouffées d'air et commence tout doucement à me calmer, me sentant terriblement bien et en sécurité dans les bras de mon aîné.
« Tu veux que j'appelle Hoseok..?
- n-non... »
Il n'est plus là, de toute façon...
« tu as besoin de quelque chose...? dis-moi ce que je peux faire pour toi... »
Je continue simplement de sangloter entre ses bras.
De toute façon, je ne sais même pas ce que je peux faire d'autre.«... lève-toi, tu peux dormir sur le canapé si tu veux. »
J'hoche de la tête tandis qu'il se lève en me tenant le bras, me forçant à suivre son action.
Il commence à marcher dans la maison, sans lâcher son emprise sur ma manche, alors je le suis en tremblant.
Je me sens mal.
Vraiment mal.Si Yoongi ne serait pas entrain de me tenir, je sais que je me serais à nouveau retrouvé au sol.
J'ai mal, autant physiquement que psychologiquement, je suis affamé et assoiffé, je suis épuisé.
C'est moi qui mérite d'être sur un lit d'hôpital, pas lui, pas celui que j'aime.
« Assied toi, je vais te chercher une couverture et un oreiller... »
En disant cela, il me dépose sur son canapé en face de la cheminée et me regarde bizarrement avant de sortir de la pièce, me laissant seul.Le feu est allumé et crépite devant moi, je regarde les flammes sans rien faire, sans rien penser, sans rien dire.
" Chéri, tu n'as pas remarqué que c'est un chauffage... ? "