Intrusøs (Tome 1)

Chapitre 8

   Ce chapitre contient des caractères sexuels explicites. Aux lecteurs avertis.

   Un soir, après une fête quelque peu bien arrosée, Julien et moi rentrèrent à l'appartement à un quart d'heure du centre de Bordeaux. Je me souviens encore que de nous deux, c'était moi qui, avait le plus bu de verres de champagne. Julien n'était pas trop fan d'alcool et encore moins de tabac, ce qui expliquait sa consommation si peu importante. 

   Une fois dans l'appartement, nous quittâmes nos chaussures avant de nous diriger vers la chambre. Julien était fatigué et s'avachit sur le lit. Par "malchance" je n'arrivais pas à défaire à ma robe. La fermeture éclaire était pile poil au milieu de mon dos, ce qui m'etait impossible à ouvrir : "Ju...

-...

-Juju.

-Quoi? me repondit mon prince la tête dans le matelas

-Defait ma fermeture dans le dos s'il te plaît j'y arrive pas."

Julien relava la tête, le buste du matelas et puis enfin le reste du corps. Je m'assis sur le bord du lit pour être à sa hauteur. Il fit coulisser la boucle le long des rails métalliques de celle-ci laissant à la robe le soin de former une ouverture de plus en plus grande. Quand il fut arrivé vers la fin de l'ouverture de l'habit, il m'embrassa le haut du dos et se mit à descendre. J'eut des frissons tout le long de ma colonne vertébrale; j'envisageais de partir mais le désir m'envahissait. Julien continuais jusqu'au moment où il fit glissait le long de mes épaules ma robe pour y passa les mains sur mes seins. Je fis volte face afin d'être nez à nez lui, il arrêta. Je plongeait dans ses yeux bleus qui m'hypnptisèrent et je me mis à l'embrasser.

   Pendant que nos lèvres étaient collées, j'en profitais pour balder mes mains le long de son corps afin de defaire sa ceinture. Il fit de même et m'hota très vite ma robe. Il se retourna et je fus sous lui. J'écarta légèrement les jambes afin qu'il se mette face à moi: j'étais sous son contrôle. "C'est ça que tu veux ?" me dit-il avec un sourire. Je le lui rendit et il fit glisser ma culotte le mong de mes jambes. Je fis de même pour lui. Il me pénétra une première qui me coupa le souffle tellement elle était violente et bonne. Il me fit une deuxième fois puis une troisième. Je jouissais déjà. Il me dit:"Tu m'aimes?" Je lui repondit "oui"en essayanr de reprendre ma respiration  Ensuite tout alla alors très vite, nous nous retrouvâmes très vite sous les couvertures, lui sur moi et moi sous lui. Nous ne nous étions jamais autant désiré. Il allait et venait en moi et j'aimais ça. De temps à autres l'un de nous poussait un cri étouffé dans le fond de sa gorge. Je l'embrassais partout: sur la bouche, sur la joue, dans le cou, sur les épaules,... Lui aussi faisait de même.

   Pour des gens qui avaient fait la fête et qui étaient fatigués, nous fîmes l'amour toute la nuit. Dans mes souvenirs je m'endormis la première sous prince, et lui me suivit. "Sers moi contre toi" lui dis-je. Il le fit et me susura dans l'oreille: Je t'aime Héloïse, je t'aime". Je lui repondis: "Moi aussi je t'aime" et nous nous sommes endormis l'un contre l'autre jusqu'au petit matin.