Pdv Neil
Ce matin, j'ai prévu d'aller acheter quelques aliments. Notre thé commençait à ne plus suffire. J'ai dû emprunter les bouches de métro car l'épicerie est un peu loin.
Les prix sont plus chers, on va devoir diminuer les portions. Ce n'est pas si grave après tout. Les déportés des camps de concentration mangent trois fois moins que nous.
Lorsque je regarde l'heure sur le chemin du retour, je me rends compte que j'ai mis beaucoup de temps.
Il est déjà 11h et les autres doivent s'inquiéter. Je décide d'accélérer le pas.
moi : Désolé si j'arrive si tard.
Tim : Ça ne fait rien. D'ailleurs les deux autre ne sont pas encore là.
moi : Je me demande ce qu'ils font. Ils devraient déjà être là depuis un moment.
moi : Patientons encore un peu.
Au bout d'une heure, je décidais d'aller les chercher. On s'est tous les quatre dirigés vers l'administration.
On a vu des traces de pneus sur la route.
Silver : Ils se sont fait arrêtés. Des SS étaient dans le quartier. Ils ont regonflé leurs pneus. Il y a cric et une pompe là-bas.
Tim : Les salauds. À cause d'eux, Yohann et Matt vont être envoyés dans des camps de concentration.
moi : Il faut absolument qu'on les retrouve.
Hick : Suivons les traces.
Tim : Bonne idée.
J'avais un mauvais pré sentiment. Je priais pour qu'ils ne soient pas morts.
moi : Hick et Silver, faites en sorte de retrouver Yohann. Tim et moi on se s'occupe des SS et on va tenter de libérer Matt.
Matt était attaché et un SS était en train de lui poser des questions. Il avait un pistolet dans les mains qu'il pointait sur celui-ci.
Sans réfléchir, Tim a tiré sur le SS qui est tombé directement par terre.
J'ai coupé les cordes qui nouaient les bras et les jambes de Matt, puis on s'est enfuis.
Silver, Hick et Yohann nous ont retrouvés.
Yohann avait une le bras couvert de sang et la chaussette qu'il avait noué autour de sa plaie ne suffisait pas à éponger tout le liquide qui coulait de sa plaie. Je lui ai prêté ma cravate et Tim a serré le tout avec sa ceinture.
On s'est enfuis en vitesse et on retournés à l'annexe.
moi : Il faut qu'on quitte Paris. Ça devient trop dangereux.
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À suivre....
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Resistance fighter
Historical Fiction« Nous pouvons sauver notre pays, même si nous ne sommes pas partis au front.» «Nous savons que nous nous exposons au danger, mais il vaut mieux agir plutôt que rester là, à ne rien faire. » Voici ce que disait un jeune inconnu qui m'a distribué des...
