Chapitre 5

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Salut, je reviens avec un nouveau chapitre... d'environ 2400 mots (je sais, on est loin de la moyenne des 3000, mais félicitez moi quand même, nan ?) Sur ce, je n'ai rien de spécial à dire... à part que, les vacances de noel c'est dans 7 semaines, et je tiens à ma review cadeau le jour de noël ! Pensez un peu à tous ceux qui n'ont pas la joie d'avoir des reviews dans le monde... Nan, parce que on pense pas assez à ces choses là !

... J'en fais trop ? Vraiment ?

Breeef, l'auteur tarée de cette fic vous laisse... bisous ! ^^

Ma mère m'a toujours que j'étais une fille intelligente et inventive. Bien sûr, je suis persuadée que ce n'est pas la simple parole d'une mère pour me donner confiance en moi, mais l'unique vérité ! La preuve : je viens d'imaginer un plan infaillible pour sauver mes fesses et celles de Marco (qui sont pas mal d'ailleurs).

Mais ne comptez pas sur moi pour vous le dévoiler... le narrateur a le droit un minimum de suspense ! Votre seul indice sera qu'il depant des fourmis rouges.

- Elyuin ?

Je me tourna vers Marco, qu'est ce qu'il me veut lui ?

- Tu rigoles toute seule depuis tout à l'heure... c'est assez flippant enfaite, me dit il.

Je me suis peut être un peu emballée pour ce plan, je sais, mais pour l'effet scénique, rire toute seule peut donner un côté diabolique et badass, vous savez ?

- Désolé. Et toi tu fais une sale tête depuis tout à l'heure aussi, alors t'as rien à dire ! Répliquais-je (je suis une gamine).

- Je réfléchis à une idée pour nous sortir de là !

- Forcément si t'avais pas foiré ton sauvetage à cause du prêtre aux ronces.

Puis on a commencé à se disputer comme ça pendant quelques minutes. Lui disant que j'étais une gamine ingrate et stupide, et moi le traitant de faiblard ridicule.

- Hé, taisez-vous ! De toute façon vous rirez moins quand vous serez brulés dans quelques minutes, intervint un des gardes.

Quelques minutes ?! Marco semblait de plus en plus forcer sur son petit cerveau pour trouver une idée. Et je ne comptez pas sur moi pour lui dire que j'en avais déjà un, autant le laisser s'angoisser. Quoi que, il avait l'air calme, il a sûrement dû avoir vécu ça de centaines de fois. J'ai tendance à oublier que c'était l'un des commandants mon père.

Le prêtre fit son entrée, suivi de quelques fidèles et des gardes qui s'avancèrent, la clé des menottes de Marco dans les mains. Ils se tournèrent d'abord vers moi, qui pris une tête d'agneau en panique faussement exagérée. Ils étaient deux, ils me tenaient fermement par les bras et me détachèrent du poteau. Mes deux mains étaient liées par une corde en bois très solide. Cependant, ils avaient oublié un petit détail les fanatiques : je suis Elyuin Newtown, surnommée "aux milles poisons", une pirate du Nouveau Monde à la prime de 205 millions de berrys. Et je ne comptais pas mourir carbonisée à la gloire d'une stupide dieu pour avoir voulu ramasser des fleurs. Je décrocha donc un violent coup de pied au premier soldat (et pas dans les chevilles...) et un coup de coude dans les côtes du deuxième.

Sous la douleur et sous la surprise, ils me lâchèrent puis je leur arracha la clé des mains et je couru à toute vitesse vers le bac des fourmis et y plongea mes poignets. Oui, dans le bac de fourmis rouges... Au lieu de me juger stupide, vous pourriez admirer l'intelligence de mon plan, je m'explique : c'est un bac de fourmis rouges, et les fourmis rouges mangent tout, y compris les cordes en bois ! J'avais donc les mains libres et avant que mes ennemis aient eu le temps de réagir je plongea vers mes dagues et mes poisons que le prêtre avait laissé là.

Pas de jaloux, je déclare que Barbe Blanche aussi a une fille !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant