Vukodlak School. Deux vies pour crée cette école. La vie de mon père. La vie de ma mère.
Pourquoi avoir créé cette école ?
Car les être surnaturels ne veulent plus se cacher. Ils se sont ouverts à nous. Malgré tout, ils nous gouvernent.
Plus parti...
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Après être passé dans la salle de bain, et avoir pris la trousse de secours, je rejoins Nicolas dans le salon.
-Nicolas ! Je n'ai pas dit assis par terre, mais assis au moins sur le canapé !
-Ce n'est pas ma faute...
Je l'aide pour s'asseoir sur le canapé en le portant comme je peux puis le couche doucement.
-Ça risque de faire mal.
Je sors l'antiseptique avant de le disposer sur une compresse. Je relève le maillot de Nicolas, et appuie doucement sur la plaie. D'un coup, une douleur s'abat sur mon ventre me faisant tomber à la renverse sur la chaise préalablement prise.
-Q-que, se passe-t-il ? Demandai-je
-quoi ?
- j'ai eu mal en même temps toi.
-C'est parce qu'on est àme-sœur. Mon loup t'a reconnu. Donc, un lien, c'est créé. Je t'explique, c'est comme ce que disent les profs. Si tu as mal, moi, j'ai mal. Si tu es perdu, je pourrai te localiser grâce à l'odeur. Lorsque tu seras loup le lien sera beaucoup plus fort. Mais c'est pareil pour toi. Si j'ai mal, tu as mal. Tu pourras aussi me localiser avec beaucoup de concentration. Mais toi, tu refuses le lien, mais tu n'en as pas conscience.
-comment devient-on loup ?
-il me suffit de te mordre. Et ensuite, tu me revendiqueras.
-Ça avance à quoi ?
- À ce que notre lien soit plus fort. À ce que la meute te sente. À ce que tu puisses me guider. Que je devienne plus puissant.
Et moi un peu perdu, je change de conversation et retourne guérir sa plaie.
-rallonge-toi, je vais te désinfecter la plaie.
Il fait ce que je lui dis, et je lui désinfecte la plaie avant de mettre un pansement et des Straps.
-est-ce que tu as eu mal ce soir ?
-non... Pourquoi aurais-je dû avoir... Attends, pourquoi es-tu revenu ? Que s'est-il passé ? Comment n'ais-je pas pu voir ces bleus !
-rien... Rien.
-attends... je..
D'un coup d'énormes bruit de fond ravage.
- ce n'est pas possible. Se plaint Nicolas.
Il se dirige vers des grands escaliers en me disant de ne pas bouger. Bien évidemment, je le suis de loin. D'un coup, deux grands loups noirs débouchent dans les escaliers grognant et menaçant.
-Que... Que...
-Louis, Adrien. Aller jouer dehors. Mais pas trop tard.
-Des loups-garous ? Qui joue ?
-et oui.
-oh non ! Nicolas regarde, ta plaie s'est réouverte.
Ce dernier jette un coup d'œil et remarque vite qu'elle est ensanglantée.
-va te rallonger, je vais te soigner de nouveau.
Après l'avoir soigné, je lui ai dit que le meilleur est de se reposer. Mais il insiste pour savoir ce qui s'est passé sur ma joue, mes bras, mon corps tout entier, mais je ne lui dis rien et lui demande si je peux emprunter une chambre pour dormir.
-prends ma chambre, elle est bien confortable, je prendrai la chambre d'amis.
