Katsuki et Izuku avaient eux une discussion et ils avaient conclu qu'ils étaient mieux pour eux qu'ils ne se mettent pas en couple, pourtant leur relation n'avait rien d'amical, ils étaient toujours plus proche et l'attirance se faisait de plus en plus physique.
Chaque jour, les deux garçons s'enlaçaient, s'embrassaient autant qu'ils le pouvaient et à chaque fois les moments ne paraissaient pas assez long pour eux. Tous deux voulaient aller plus loin, mais ils ne voulaient pas réitérer leurs erreurs passé en se précipitant, alors ils préféraient se retenir.
Ils en avaient décidés ainsi pour leur bien, pourtant les chaleurs d'Izuku étaient de plus en plus rapprocher les uns des autres, dû au fait de la proximité qu'il avait avec Katsuki et donc avec des phéromones d'alpha. Il en inhalait quotidiennement et son corps y réagissait donc qu'il le veuille ou non, ce qui ne les aidaient pas à se retenir.
Les journées passaient plutôt rapidement car comme tous les jours, Izuku attendait la fin de la journée avec impatience pour pouvoir revoir l'homme qu'il aime.
Alors, quand le cours prirent enfin fin, Izuku se dirigea rapidement vers le toit, redevenu leur lieu de rendez-vous depuis peu. À peine arriver, il s'empressa de sauter dans les bras de Katsuki, pour l'embrasser.
Celui-ci agrippa Izuku par les fesses et il le souleva pour rapprocher leur corps et mieux l'embrasser. Izuku vint placer ses bras dans la nuque de Bakugo et alors qu'il venait à peine de se retirer pour reprendre son souffle, il re déposa ses lèvres sur celles du blond pour un nouveau baiser langoureux.
Il l'embrassa avec passion, avec amour, avec avidité, comme si sa vie en dépendait. Le baiser était à la fois incroyablement intense et particulièrement doux. Katsuki fit passer sa langue dans la bouche d'Izuku et il intensifia toujours plus le baiser, le rendant désormais fiévreux.
Aucun d'eux ne voulait se séparer, mais ils y étaient forcé par le manque d'air qui se faisait ressentir chaque fois, bien trop rapidement.
Ils étaient là, s'embrassant et se regardant avec amour, tandis que le soleil commençait à se coucher. Le moment était magique, ils s'aimaient et ça se voyait. Ils profitaient de chaque moment comme si c'était le dernier, comme si il n'y avait pas de lendemain, comme si tout ceci n'était qu'un rêve. Ils ne voulaient pas que ça s'arrête, ils avaient peur de tout gâcher, aussi bien Katsuki qu'Izuku. Rejeter de faute de leur début compliqué sur un seul des deux serait mentir, si tout avait été si compliqué, c'était à cause de l'un comme de l'autre. Alors, il avait peur que tout se repasse mal. Bien sûr qu'ils voulaient être ensemble, bien sûr qu'ils s'aimaient. Ça aucun d'eux n'en doutait, mais ils avaient peur, peur de faire de mauvaises choses, peur que tout se repasse mal, que tout aille de nouveau trop vite. Alors, ils préféraient se laisser du temps.
De toute façon, ils s'aimaient, ils se touchaient, ils s'embrassaient, alors oui, il manquait l'appellation couple mais ça n'avait pas d'importance. Ils préféraient juste se laisser leur liberté l'un l'autre. Juste le fait de savoir que leur amour était partagé par l'autre était pour le moment suffisant.
« Si tu continues de me regarder comme ça, tu sais bien que je ne pourrais plus m'arrêter. Dit Katsuki avec un sourire charmeur.
- Et si je ne voulais pas que tu t'arrêtes ? » Rétorqua Izuku joueur.
Katsuki à ces mots, rapprocha encore plus Izuku de lui, il vint serrer ses fesses plus fort entre ses mains et il alla enfoncer quelque peu son index entre les fesses d'Izuku comme pour le taquiner. Ce qui eût pour effet de le faire pousser un léger gémissement faisant alors sourire le blond.
Izuku continua à le regarder un moment avec un regard provocateur, joueur. Mais, il se résigna et il finit par se rapprocher pour revenir l'embrasser à pleine bouche, passant directement sa langue dans la bouche de Katsuki.
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Omégaverse - KatsuDeku/BakuDeku
FanfictionIzuku Midoriya avait découvert à l'âge de huit ans qu'il était un oméga, le seul de toute son école et il avait rapidement compris que plus rien ne serait jamais comme avant. Suite à cette annonce, il avait commencé peu à peu à perdre ses amis les u...