Izuku se réveilla doucement, sans pour autant ouvrir les yeux, il sentait son corps engourdi, lourd et à peine eut-il tenter de bouger qu'il ressentit une affreuse douleur qui traversa tout son corps. Il se rappela alors les événements de la veille, sa dispute avec Katsuki mais aussi sa confrontation avec Tomura.
Il se redressa ensuite, s'étira, puis il frotta ses yeux pour leurs permettre de s'adapter plus rapidement à la lumière du jour. Il pensa à se lever de son lit mais il s'arrêta finalement de bouger tandis que son regard se perdait dans le vide en repensant à nouveau à ce qu'il s'était passé la vieille.
Il avait fait n'importe quoi et désormais, tout allait être encore plus compliqué qu'avant pour lui.
Il souffla exaspérer puis, une fois que ses yeux se furent bien adapté au peu de lumière présent dans la pièce, il se redressa tranquillement et regarda autour de lui. Il constata qu'il était dans un lit simple, dans une chambre blanche qui contenait une machine qui prenait son rythme cardiaque et une petite table basse à côté de son lit. Il constata également qu'il était vêtu d'une tenue d'hôpital et qu'une perfusion était implanté dans son bras.
Il retira alors sa couverture, pour tenter de sortir du lit, mais à peine eût-il posé un pied au sol qu'il chuta.
Son corps était beaucoup trop douloureux et il était bien trop fatiguer pour pouvoir marcher convenablement.
Il tenta tout de même de se relever tant bien que mal en s'aidant des barres du lit, puis il se rallongea dessus pour ne pas s'infliger davantage de douleurs. Il se mit alors à fixer la fenêtre présente à sa gauche, pensif. Il commença alors de nouveau à se rappeler tous les événements de la veille et soudain, se souvenant qu'il avait fini par s'évanouir, il commença à se demander comment il avait atterri ici.
Il se dit d'abord que ce devait être un passant, peut-être un camion de pompiers passant par là, mais très vite ces hypothèses furent rejetées étant donné qu'il se trouvait dans ruelle assez isolée et surtout plutôt sombre. Mais qui avait donc bien pu le ramener ? Cette question le taraudait, mais il ne pu seulement qu'attendre qu'une personne n'entre dans la chambre, pour pouvoir la questionner.
C'est donc après une trentaines de minutes qu'une infirmière pour l'ausculter. En voyant qu'il était réveillé, elle lui accorda un sourire, avant de lui poser quelques petites questions tandis qu'elle prenait son pouls et qu'elle lui faisait passer d'autres examens de routine.
Une fois qu'elle eut fini, elle se dirigea vers la porte pour partir, mais Izuku, dans sa curiosité grandissante, décida de la questionné.
« Excusez-moi madame, comment suis-je arriver ici ? Et où sont mes affaires, s'il vous plaît ? » Demanda le garçon curieux.
« Et si c'était ce mal intentionné m'avait ramené ici ? Et s'il m'avait fait quelque chose mais que je ne m'en souvienne pas ? » se demanda alors Izuku pour lui-même. Il était terriblement inquiet, il fallait qu'il sache.
« Vos affaires sont à côté de votre lit, mais vous n'avez pas dû le remarquer. Quant à la personne qui vous a ramené, il ne nous a pas donné son nom, il vous a simplement ramené, nous a demander de prendre soin de vous, puis est parti. Lui expliqua la femme avec un sourire chaleureux.
- Vous pourriez me le décrire ? Demanda de nouveau Izuku directement.
- Je ne l'ai pas très bien vu mais de ce que je me souviens, il était blond avec des yeux d'un rouge magnifique, je dois bien le dire, et il était habillé intégralement en noir. C'est tout ce dont je me souviens. Annonça la femme gentiment.
- Je vois.. merci beaucoup. Termina par lui dire Izuku.
- J'espère avoir pu vous aider, je vous souhaite un peu rétablissement si l'on ne se voit pas avant que vous sortiez, je dois retourner travailler alors bonne journée. » Lui dit la femme avant de partir.
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Omégaverse - KatsuDeku/BakuDeku
Fiksi PenggemarIzuku Midoriya avait découvert à l'âge de huit ans qu'il était un oméga, le seul de toute son école et il avait rapidement compris que plus rien ne serait jamais comme avant. Suite à cette annonce, il avait commencé peu à peu à perdre ses amis les u...