Tu étais mon meilleur ami ! (Tome I)

Chapitre 25: Un endroit idéal.

Enfin la journée touchait à sa fin.  Aussitôt la cloche sonnée, Sasuké avait pris son élan pour se diriger en vitesse vers le stationnement.

Même si le trajet jusque chez lui était relativement court, il le trouva tout de même interminable.  Arrivé à la maison il sortit en vitesse de sa voiture et monta quatre à quatre les marches menant à la porte d'entrée.  Il ouvrit la porte, se déchaussa et allait pour monter l'escalier menant à sa chambre lorsqu'ils entendit des voix et un joli rire mélodieux.  Ce rire n'appartenait qu'à une personne.  Il se dirigea alors, avec le sourire, vers le salon d'où provenait les voix.

Ce qu'il vit le rempli d'émotions.  Ses parents, ses beaux-parents, son frère et son beau-frère, entouraient Sakura et conversaient tous ensemble dans la bonne humeur.  Il sentit son cœur se gonfler de joie.  C'était ça l'image du bonheur.  A partir de maintenant il ressentirait cela à tous les jours de sa vie.  Et ça le remplissait d'allégresse.  Il attendit quelques minutes et entra dans le salon.

-  Bonsoir tout le monde.  Voilà une très jolie réunion de famille.  Dit-il en se dirigeant vers Sakura, pour lui voler un baiser, qu'elle lui rendit avec plaisir.

-  Tout le monde soupe ici avec nous pour fêter la fin de ce cauchemar.  Lui répondit sa belle.

-  C'est une très bonne idée.  Dit-il avec sincérité.

Il s'installa à côté de Sakura et entama la conversation avec son frère et son beau-père.

- Est-ce que tu vas au lycée demain, ma petite Saky ? Demanda Saso.

- Oui. Je n'ai pas vraiment de douleur. Je dois seulement éviter, pendant quelques jours, les activités physiques.

À la minute où elle prononça ces mots, elle les regretta. Et pour cause.

- Oh ! Petit frère, tu vas trouver la semaine longue. Tu as entendu ? Elle doit éviter les activités physiques ! Même si elles sont à l'horizontale ! Se moqua ouvertement Itachi.

- Si tu veux je peux te prêter quelques films, en attendant, pour t'aider à patienter. Ajouta Sasori mort de rire.

Les deux nigauds se faisaient rire l'un l'autre, sous l'œil amusé du reste de la famille. Sauf bien sûr, Sasuké et Sakura qui étaient très mal à l'aise que leur famille parle librement de leur vie sexuelle, devant eux. Jusqu'à ce que Kizashi en rajoute.

- Les garçons, vous n'avez pas d'imagination. On n'est pas toujours obligé de se donner comme des forcenés. Il y a d'autre façons très plaisante de s'amuser. Nous avons des mains et une bouche.

Sakura devint aussi rouge qu'un homard et mit ses mains sur ses oreilles.

- Papa ! On ne veut pas savoir ! Je t'en prie !

Tout le monde s'amusait beaucoup de voir le jeune couple si mal à l'aise. Ils continuèrent encore un peu à s'amuser à leur dépend.

- Bon viens bébé. Dit Sasuké en la prenant par la main. On redescend plus tard pour le souper. Cela va peut-être vous permettre de vous calmer. Ajouta-t-il à l'intention des membres de leur famille.

- Vous allez mettre mes conseils en pratique ? Demanda Kizashi, pince sans rire.

Les autres s'esclaffèrent sous le regard découragé de Sasuké et Sakura.

- Je préfères ne rien répondre. Argua Sasuké.

Et il entraîna sa compagne dans leur chambre. Maintenant à l'abris des regards indiscrets, il embrassa sa copine, passionnément. Après quelques minutes il s'arrêtèrent, à bout de souffle.