-« Traitre! » criais je, alors que sa tête disparaissait derrière la porte.
La porte éclata de ses gonds, je fondis sur la sortie, mais déjà Wond et Ophélie avaient disparus dans la nature.
Folle de rage je ne pus m'empêcher de crié, mais la rage vite vaincue par le sentiment de tristesse, les cris laissèrent place au sanglot.
Tous me semblait alors idiot, les paroles de Ïaga, le discours de Wond au camps, pourquoi nous soucions nous de se que les autres vont devenir?
Pourquoi nous ne laissons pas simplement les choses se faire, comme beaucoup le font.
Suis-je bête, me rappelais-je soudainement, parce que nous sommes pas « beaucoup ».
Pourtant la tentation restait la dans un coins, comme une miette entre les lattes du planché.
Envie néfaste, mais tellement facile. Seulement une seconde d'inattention, un mauvais choix, et je serai alors « beaucoup ».
J'aurais alors fait le mauvais choix comme aujourd'hui Wond pour ma plus grande tristesse avait.
Il fessait nuit, quand je quittait enfin l'herbe fraîche pour me diriger vers mon lit douillet.
J'avais vus Ïaga dans les couloirs mais je l'avais soigneusement évitée, je voulais a tout prix éviter le sujet Wond avant demain.
Une douche et je plongeais sous mes draps.
Je tentais de dormir mais rien ni fessait je ne pouvais cesser de penser a Wond.
Rage et pleures se mélangeant a ma salive, la nausée étrangla mon sommeil.Quand à minuit je vomissais mon dégoût envers Wond.
Deux heures plus tard je geignais son nom, priant pour que mes prières le ramène.Le soleil levé je ne savais combien d'heures j'avais ou n'avais dormis.
Mes muscles endoloris et la honte de la nuit, sur que quelqu'un avait dû entendre mes pleurs, je me levais.
J'avalas un petit déjeuner et me dirigeas vers le piste d'athlétisme.
Je fis deux kilomètres de plus qu'a mon habitude, je voulais pensée a autre chose qu'a l'aveil.
Après ma douche l'on me prévenu que Ïaga m'attendait à son bureau.
Une demie-heure plus tard je me trouvais devant la porte de son bureau.Je toquas et Ïaga m'ordonnas d'entrer.
-« Bonjour Er, tu a bien dormi? » dit-elle la tête dans ses papiers me tendent ses bonbons.
-« Vous me poser une question a laquelle vous connaissez déjà la réponse. » répondais-je en prenant un bonbon du panier.
-« Question de politesse, Er. D'ailleurs maintenant que tu me le demande je me rencontre que j'ai passée une mauvaise nuit. Ne trouves-tu pas que les matelas son dures ici. » dit-elle avec son sourire espiègle habituel.
-« Pourquoi m'avez vous convoqué? » dis-je, las de ses petits jeux.
-« Eh bien il se trouve, Er, que comme tu la sûrement remarqué Wond a déserté. » dit-elle choisissant avec precotion un bonbon dans le panier. « Il se trouve, Er, que Wond n'est pas le seul, Saeris a lui aussi disparu durant la nuit. » dit-elle scrutant ma réaction.
Je me tu ne sachant pas se qui pourrait être une réaction appropriée.
Voilà qu'on m'annonçait donc que nous avons été trahis par deux personnes en une nuit. Wond a dû convaincre Saeris, pensais-je.
-« Cela change t'il quelque chose a notre plan? » demandais-je, déterminé à réussir.
-« En sois non, seulement tu commandera maintenant seul se pays. » dit-elle étirant tous son visage dans un sourire carnassier.
-« Parfait, puis-je disposer? » demandais-je car j'avais hâte de me soûler dans la sueur et la douleur, du sport.
-« Oui. » dit-elle me chassant du geste de la main, ses deux yeux globuleux plongés dans ses plans machiavélique.
Je me retournas alors pour sortir de la pièce, mais Ïaga me retenu.
-« Er. »
Je me retournas.
-« N'oublie pas t'as piqure. » dit-elle avant de se replonger dans ses travaux.
Voili, voilou,
Un petit chapitre pour vous.Petit chapitre de transition pour la reprise, hâte de vous faire découvrir la suite.
Peut-être un chapitre pour dimanche prochain mais je ne peux vous l'affirmer.
Gros bisous et au prochain chapitre ducoup.🦄😘

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Believer
Science FictionL'eau ruisselait sur mon corps telles les larmes qui perlaient de mes yeux, je pleurais, je pleurais sans me soucier de la hauteur à laquelle je me trouvais, je pleurais pour mon passé, je pleurais pour mon futur, je pleurais pour l'humanité, je ple...