Thomas Jefferson est un garçon très populaire, beau et élégant. Il n'aime pas vraiment sortir, mais son amie, Maria lui demande de l'emmener à la Polymanga (en Suisse), qu' il accepte.
Il ne savait pas qu'il croisera un garçon qui changera à tout j...
«Tu m'aimes ?» Dit-il en me regardant et en commençant à rire.
Pourquoi il rigole? Je viens de lui avouer mes sentiments.
«Tu es trop drôle, Tommy chou. Comment un type comme toi peut aimer un type comme moi?» Dit-il en rigolant. Mon cœur se brise. Il ne m'aime pas.
«En plus, tu n'es même pas gay.» Dit-il en finissant de rire. J'élargis mes yeux.
«Qu'est ce qui te fait dire que je ne suis pas gay?» Dis-je essayant de garder mes larmes.
«Je ne sais pas...Peut-être parce que tu es sortie avec au moins 10 filles et que tu ne cesse de les tourner autour.» Dit-il ironiquement. Je ne trouve pas les mots. Que dois-je lui dire?
«Et aussi la manière dont tu as réagi, quand tu as cru que moi et Aaron étions ensemble. À ce moment j'ai cru que tu étais homophobe.» Dit-il en souriant et toujours avec ironie.
«J'ai réagi de cette façon parce que je t'aime et que je ne voulait pas que quelqu'un d'autres sortent avec toi.» Dis-je gêné.
«Et avec Dolley ? Pourquoi tu n'as rien fait?» Dit-il toujours aussi hésitant.
«Je me suis dit que si tu l'aimais je devais l'accepter pour ne pas refaire la même erreur qu'avant.» Dis-je timidement en me grattant la tête. Il commence à réfléchir.
«Attends! Ça veut dire que tu pensais vraiment les choses que tu as dit, quand tu étais ivre?» Demande-t-il en rougissant. Dieu, qu'il est mignon quand il rougit!
«Je ne me rappelle pas de tout, mais je me rappeller t'avoir dit que je t'aime, alors oui.» Dis-je de manière timide en rougissant.
«C'est pour ça que tu m'embrassais en retour?» Dit-il timidement en rougissant. Je me transforme en tomate mûr.
«Je...Je...ou...oui...c...c'est...pour...ça.» Il commence à rigoler ce qui me détends un peu.
«Et les fleurs? La lettre s'adressait...à moi?» J'acquiesce.
«Thomas, je ne suis pas vraiment doué avec les relations.» Je cesse de retenir mes larmes. C'est finis.
«Et comme je te l'ai dit, je ne connais pas vraiment ma sexualité, mais malgré les choses qu'on a parcouru, je veux bien essayer...Thomas...Tu pleures?»
Quoi?
Je ne me rendais pas compte que je pleurais. Je me tourne pour ne plus faire face à son visage et essuye mes larmes.
«Je suis désolé. J'ai dit quelque chose qui ne fallait pas ?» Je me retourne et secoue la tête.
«Non....C'est juste que je croyais que tu allais refusé.» Dis-je toujours les larmes aux yeux.
«Aww Tommy chou~»
Il me prends dans ses bras. Je serre le petit être prêt de moi et sèche mes larmes.
«Thomas je veux bien essayer de rester avec toi une ou deux semaines, mais si je vois que ça ne fonctionne pas, nous resterons qu'ami ça te va?» Je lui hoche la tête, Je m'éloigne de lui pour lui donner un beau sourire.
«Mais si je vois que tu t'es moqué de moi et que tu m'as menti et que tu n'as aucun sentiments envers moi, tu es mort.» Dit-il d'une voix douce en souriant. Mon sourire disparaît. Je tremble des mots qu'il a prononcé. J'acquiesce. Il me croit toujours pas ? Je l'aime. Qu'est ce qui faut que je fasse pour lui montrer?
«Alors euh...tu voudrais être mon petit ami?» Dis-je maladroitement. Il hoche la tête. Je souris comme un idiot. Il est mon petit ami!!!! On pourra aller à des rendez-vous rien que tout les deux plus souvent, se faire des calin jusqu'au tomber de la nuit, on pourra parler de tout et de rien, on pourra mieux se connaître et on pourra s'embra....ehh....
«James ça t'embête si je t'embrasse souvent.» Dis-je bêtement en rougissant.
«Oh! Alors tu as aimé quand je t'embrassais? » Demande-t-il en souriant. Mon visage deviens très rouge. Je hoche la tête.
J'adore avoir tes lèvres sur les miennes, ils sont douces, pulpeuses et molles. Ils donnent une sensation agréable. J'ai tellement envie d'aller plus loin avec toi, de t'aider à te sentir mieux, de te toucher, de....
«Thomas je ne savais pas que tu étais comme ça.» Dit-il en souriant. Je le regarde confus.
«Tu as envie de moi et tu veux me toucher, hein? » Dit-il en haussant un sourcil. Je rougis tellement quand pourrais me confondre avec un camion de pompier Je n'arrive plus à le regarder.
«Je...je...voulais...Je ne voulais....» Je fus coupé par une paire de lèvre. Je fond dans le baiser directement et commence à sentir sa langue qui voyager dans ma bouche. Je deviens rouge. Je ne m'attendais pas à qu'il fasse une chose pareille.
Je ne sais pas pourquoi je me sens timide avec lui. J'ai fait ça avec pleins de fille, alors pourquoi je me sens surpris comme si c'est la première fois que j'embrasse quelqu'un ?
J'ouvre ma bouche pour lui laisser de la place. Je gémis quand je sens sa langue s'entremêler avec la mienne. Il met ses mains sur mon visage pour finalement me reprocher du baiser. Je gémis de la sensation de son corps contre le mien.
Il s'éloigne du baiser en cassant le fil de salive qui nous reliés. Je rougis et regarde ailleurs plusieurs fois, mon cœur bat à la chamade.
«Pour répondre à ta question, oui, tu peux m'embrasser quand tu veux.» Je suis encore un peu sonné de ce qu'il vient de ce passer.
«Tu es trop tendu Tommy chou, tu ferais mieux d'aller te coucher.» Dit-il en souriant. Son sourire est magnifique.
Il m'accompagne dans ma chambre.
«Bonne nuit Tommy chou.»
«Bo...bonne nuit Jemmy.» Je commence à fermer la porte pour qu'il soit finalement arrêté par le pied de James.
«Hey! Et mon bisous avant de dormir ?» Je rougis.
«Je te l'ai fait, maintenant c'est à ton tour.» Dit-il. Il met ses bras autour de mon coup.
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Je rougis avant de poser mes lèvres sur les siennes. Cette fois, il n'y avait pas de langues, mais ça n'empêche pas que ça soit admirable. Je mets mes mains autour de sa taille pour le rapprocher.
Je sens qu'il joue avec les boucles de mes cheveux. Nous nous éloignons du baiser et nous nous regardant l'un l'autre. Il enlève ses bras autour de mon coup, mais je ne lâche pas sa taille et sans le savoir mes mains glissent sur ses fesses. Il rigole et me pousse.
«Ne soit pas aussi pressé Tommy. Tu es vraiment gourmand. ~» Dit-il d'une voix hautain. Je rougis.
«Bonne nuit Tommy. Et fait de beaux rêves.» Dit-il en fermant la porte de ma chambre.
Tu es tellement différent des autres. À chaque fois que je crois te connaitre une autre partie de toi s'ouvre à moi. J'espère que tu pourras t'ouvrir à moi.
J'enlève mes habits pour rester avec mon caleçon et m'allonge sur mon lit. Je ne cesse de penser à toutes les fois où on s'est embrassé avant de m'endormir.
