PDV KAYSSIA JENSEN
Ma main tiens fermement celle de ma mère. Ses battements de coeurs se font entendre grâce à la machine et je ne peu imaginer ma réaction si ceux-ci cesserait pour un long bip constant.
«Maman...tu dois rester. Tu dois te battre. Pour moi , pour ton petit-fils. S'il le faut, tu coupera tes liens avec Kyle ou tu fera ce que tu veux mais j'ai besoin de toi. Anne est formidable mais tu es ma mère, celle dont je suis la plus proche. Qui j'appelerai lorsqu'Harry et moi aurons des disputes ? Qui j'appelerai pour des conseils sur la vie en générale? Nous avons perdu papa, ne pars pas. J'ai besoin de toi, tes conseils,tes morales mais surtout de ton amour... Je suis trop irresponsable pour te perdre maintenant , je ne sais pas tout comme toi . Tu es l'une des personnes les plus importante, je n'arriverai pas à m'en remettre. Je parle au ''je'' et c'est égoiste de ma pars, je le sais mais maman, si il y a toujours eu quelqu'un qui a toujours été là pour moi, c'est bien toi. Tu m'as aider à passer à travers tout, tu m'as montrer que même si Jennyfer est partie, la vie peux être assez agréable. Maman, j'ai perdu trop pour te laisser partir comme ça...» soufflais-je en passant une main sur son visage puis dans ses cheveux toujours aussi doux qu'avant.
«Tu te souviens, lorsque je suis revenue à la maison après ma rupture avec Harry ? Lorsque tu m'as consolé, tu m'as dit : '' Tu es une vraie princesse, peux importe qui sera le prince, tu le trouvera et il te traitera tel que tu le mérite. '' Mon prince , je l'ai maman, mais je ne veux pas perdre la reine, ma génitrice, la femme la plus merveilleuse ici. » repris-je puis soupire.
Une main ce pose sur mon épaule,me sortant de mes pensée. Je sursaute et je suis soulagée de voir ma belle-soeur.
«Kyle aimerait te voir... Je vais rester avec ta mère.»
Je soupire et ça me prends tout pour me lever de la chaise. Depuis qu'il m'a tout avoué hier,je ne sais pas ce que je ressent à son égard. Je longe le couloir blanc pour finir par entrer dans la chambre numéro 79. Il est là à déguster son déjeuner et sa jambe dans le plâtre est suspendue. Je toussote pour qu'il me regarde, m'appuyant contre la porte close.
«Kay'... Je suis..»
«Petit un, y'a pas de petit surnom qui vont m'attendrir envers toi. Petit deux, ne me dis pas que tu es désoler ou que tu regrette. Je sais que ce n'est pas vrai parce que tu n'es qu'un menteur et manipulateur! Tu ne vas pas bien ! Vouloir la mort de ta propre mère! Je n'en reviens pas! Tu ne mérite rien de ce que tu as. Pas d'amour,pas de sympathie, pas de pitié! Je n'en reviens pas...» je soupire pour retenir mes larmes et reprend; « C'est simplement dégoutant! C'est quoi, tu veux la mort de tout le monde pour venger papa? Tu sais très bien qu'il aurait honte de ton comportement! Si maman meurt,je suis la prochaine, puis Aiden, c'est ça? Bah désoler de te décevoir mais peux importe ce qui arrive à partir de maintenant, je ne veux rien savoir de toi,ce qui me sert de frère.»
J'allais pour continuer mais je m'arrête en le voyant commencer à pleurer.
«Les pleures ne changeront rien. J'ai versé des milliards de larmes pour toi et tes actions et ça n'a rien changer. Ce qui est bon pour un est bon pour l'autre. Mais merde... pourquoi tu as fais ça ?»
«Tu as toujours été l'enfant préférée ! Que se soit aux yeux de papa ou de maman. Tu avais tout , j'avais peu. Quand Beth est entrer dans ma vie, ça avait changé. J'étais celui qui était promis à une belle vie avec ma femme et mon futur enfant. Puis, Harry est arrivé dans ta vie. Quand tu as dis à maman que tu avais quitter la ville pour un homme, elle était tellement fière que quelqun puisse enfin te combler. Au décès de papa, elle n'avait pas de haine envers toi ou Harry et quand la grossesse a été annoncer, tu étais la reine de son univers. J'en ai plus que marre?»
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Nothing feels like you. (En correction et réécriture.)
FanfictionHarry Styles, jeune ténébreux, agressif, possessif, dur a cuir. Tattouages, percing, alcool & drogues. Kayssia Jensen, jeune timide, dépressive a ses heures,tranquille du genre a passer ses samedi devant de bon vieux films. Ils sont si différent...