Nothing feels like you. (En correction et réécriture.)

LXXII-Épilogue.

Lisez la note à la fin!

PDV AIDEN ERWAN STYLES.

Ellipse de 15 ans.

La fine couche de neige s'étend sur Londres comme sur les épaulettes de mon manteau comme sur mes bouclettes brunes, comme mon père. Je marche en direction de la maison après une longue journée de cours ennuyante. Mon sac se fait lourd sur mon épaule avec la tonne de devoir que j'ai à faire ce soir après mes fameuses tâches habituelles. J'ai beau être enfant unique, j'ai quand même des tâches et des responsabilités à la maison.

Ma main serre celle de ma meilleure amie, Jane, la fille d'oncle Louis et tante Eleanor. Plus jeune que moi de seulement d'un an, nous sommes complices comme personne.

«Donc, tu veux aller au party?» demandais-je à la brunette à mes côtés dans son parka vert.

«Oui, mais je tiens à ce que tu vienne avec moi. Et pour te corriger, ce n'est pas un party mais plutôt une soirée entre amis. Lizzy sera là, en plus.»

«Tu sais très bien qu'il n'y à rien entre Lizzy et moi.»

«Pour le moment! Tu baves sur elle.»

«Jane, arrête-toi meilleure amie. En plus, mon père m'a demandé de rester ce soir.»

«Et pourquoi?»

«C'est notre soirée entre père et fils... Devant une partie de foot. Ton père viens avec Thomas.» dis-je.

«J'aurais dût y penser!» souffle-t-elle avant de reprendre; «Bonne chance avec Thomas, il est en plein dans ses hormone, en plus il n'a que 10 ans.»

Un rire s'échappe de mes lèvres collé, faisant en sorte qu'elle me frappe doucement sur l'épaule.

«Tu peux bien rire, tu n'en a pas.»

«Pas besoin de petit frère ou de petite soeur lorsque je t'ai toi et ton petit frère, sans oublier les enfants d'oncle Zayn, Liam et Niall.»

Elle pouffe, jouant de son talent de comédienne pour afficher un air offusqué. Lorsque nous arrivons chez elle, à quelques minutes de la mienne, j'embrasse ma meilleure amie sur la joue et lui promet de lui envoyer des messages plus tard.

«Bonne soirée surtout, fait attention à ta, jeune fille.»

«Nous avons qu'un ans de différence Aiden, ne monte pas sur tes grands chevaux.» rit-elle.

Sa mère passe dans le décor, m'envoyant la main. Tante Eleanor n'a pas changer selon oncle Louis. Avec les photos que j'ai vu, non, elle n'a pas changer.

«Aller jeune fille de 15 ans, mon père m'attends pour commencer à faire le sapin.»

«Un vieux de 16 ans qui fait le sapin avec son père, wow!»rit-elle à nouveau.

Je quitte donc son porche, recommençant à marcher vers chez moi. La neige tombe toujours et le paysage est ravissant. 5 minutes avec les écouteurs dans les oreilles, fredonnant quelques chanson des Beatles, la préférée de ma mère depuis tout les temps, «Hey Jude» me porte dans une douce mélodie. Je souffle lorsque j'entre dans la maison familliale, trouvant une odeur familière qui chatouille mes narines. Je laisse tomber mon sac sur le petit banc qui est dans l'entrée. Mon père est dos à moi , son complet toujours sur son dos.

«Passer une belle journée mon fils? »

Il se retourne et me souris.

«Une journée normale... La tienne papa?»

«Des chiffres, des chiffres et encore des chiffres.L'habitude.»

Nous enlevons nos veste,l'accrochant au porte-manteau.