𝗙𝗮𝗶𝘀-𝗠𝗼𝗶 𝗖𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 (𝗕𝗲𝗹𝗹𝗮𝗿𝗸𝗲)

- 10K vues ! -

On y est ! Mon histoire a atteint les 10 000 vues, c'est incroyable ! Ca peut sembler peut pour certains, mais pour moi c'est quelque chose que je n'aurais jamais imaginé le jour où j'ai posté le premier chapitre de ce livre. 

Et évidement tous ça c'est uniquement grace à vous. Alors encore une fois, merci !!! Merci à tous ceux qui me lisent depuis le tout début (s'il vous êtes toujours là), merci à tous ceux qui commente mes chapitres et qui votent (vous êtes les meilleurs !), et merci à tous ceux qui passent où sont passés par là. Je vous aiment tous, c'est vous qui m'avez encouragé à continuer et à terminer ce premier roman, dont je suis fière ! 

Et bien sûr, comme promis, voici un extrait du tome 2 de Fais moi confiance, que j'espère commencer à poster bientôt, mais là dessus je ne peux rien promettre. Bref, encore une fois, merci, je vous adore <3 Et je vous dit à très vite, dans mon autre histoire ;) 

" Il n'y a pas de quoi stressé. Mais, non, tout va bien. Après tout, je suis juste en train de jouer mon avenir avec ce concours.

Nous sommes début juillet, en théorie je suis en vacances. Mes concours sont terminés, et je pourrais vraiment profiter de mes vacances (ou pas), après avoir vu mon classement.

Bon au pire, je l'ai raté, je ne pourrai pas continuer mes études de médecine, je ne réaliserai pas mon rêve et ma vie sera foutue. Oh mon dieu. Je ne vais pas y arriver. Je ne peux pas regarder. Pourquoi j'ai dit aux autres de me laisser y aller seule !
Une fille me bouscule, elle est en pleurs et court loin de l'attroupement de gens. Autour de moi, tout le monde pleur, mais très peu pleur de joie. Bon, ça suffit Clarke ! Je ne suis pas une dégonflée. Je commence à avancer, je tente de me frayer un chemin, et j'arrive enfin devant les fameuses listes. Je souffle un bon coup.

Griffin... Griffin... Griffin ! Oh mon dieu ! J'y crois pas. Mon doigt reste bloqué sur le mot, je suis dans l'incapacité totale de bouger. Un gars derrière moi m'engueule pour que je me pousse de devant. Je retourne alors à l'écart de la foule.
Je n'arrive pas à y croire, j'ai réussi ! J'ai vraiment réussi le concours de la première année de médecine, et du premier coup ! Le sentiment de soulagement qui m'envahit est tellement agréable. Tous le stress que j'ai accumulé durant ces derniers jours s'échappe, et ça fait du bien. Je dois dire que je n'arrive même plus à ressentir de la pitié pour tous ceux qui ne sont pas reçu, et que je vois pleuré.

Une fois loin de tous les étudiants, je le vois. Je lui avais dit de ne pas venir, et en même temps je suis encore plus heureuse, maintenant que je peux partager ça avec lui. Je ne peux pas m'empêcher de courir dans ses bras, et d'encercler mes bras autour de son cou, pendant que les siens me soutienne par la taille.

- Qu'est-ce que je t'avais dit ? Il était impossible que toi, la fille qui réussit tout ce qu'elle entreprend, échoue.

Il me repose sur le sol sans me lâcher, et je me rends seulement compte maintenant que je pleurs.

- Je n'arrive toujours pas à y croire, je vais devenir médecin !

- Je suis super fier de toi.

Je m'empare subitement de ses lèvres, dont le goût auquel je commence à m'habituer, est toujours aussi délicieux.
Nous sommes, malheureusement, interrompu par Octavia et Lexa, qui accourent vers moi pour me prendre dans leurs bras.

- Fais chier, grogne Bellamy, déçu que notre baiser se termine si rapidement.

Je lui sourie, et lui fait bien comprendre qu'il en aura plus toute à l'heure, et me tourne vers mes deux amies, qui se jette sur moi.

- Qu'est-ce qu'on t'avais dit ? Tu vois que t'as réussie ! Bravo ma belle ! Me félicite Octavia.

- Oui, bravo ! Je t'avais bien dit que ça ne servais à rien de pleurer tous les soirs et de te morfondre en te disant que tu n'allais pas réussir.

Oh, je vais la tuer.

- Lexa !

- Alors comme ça, mademoiselle "Je ne pleurs jamais", a versé quelques larmes, se moque Bellamy.

- Oh pas quelques larmes, le corrige Lexa, mais plutôt tout un torrent.

Elles explosent de rire et Bellamy avec elle. C'est pas vrai, elle était obligé de raconter ça ?

- Je n'ai pas versé un torrent de larmes ! J'étais stressé d'accord ?

- Non, mais je comprend tout à fait. J'ai une copine pleurnicharde, mais je t'accepte avec tous tes défauts, rit Bellamy.

Je le frappe à l'épaule.

- Aïe ! Tu m'as fait mal, je crois que je vais pleurer.

Et ils explosent de rire, encore une fois. Ils se seraient moquer de moi un autre jour, j'aurais pris la mouche, mais je suis bien trop heureuse pour leur en vouloir aujourd'hui.

- Bon, vous aller continuer à rire bêtement où me suivre jusqu'au bar pour fêter ça ?

- Je crois qu'on va te suivre, dit Octavia.

On se met donc en route.

- Alors, Clarke, puisque tu as réussi ton concours, ça veut dire que tu viens ?

Je souris encore plus, je n'y pensais même plus.

- Oui, Octavia, je viens avec vous en Espagne.

Lexa et Octavia semble plus que ravie de ma présence. Et je sens le bras de Bellamy m'entourer la taille pour me rapprocher de lui.

- Tu ne peux pas savoir à quel point cette nouvelle me rend heureux, me murmure-t-il à l'oreille, ce qui provoque un frisson dans ma nuque.

Je l'embrasse et pose ma tête sur son épaule.

Les vacances commencent incroyablement bien ! "