chapitre 2

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Assise sur le fauteuil, une main sur la bouche et l'autre tenant la lettre, les yeux fixer dans le vide, je n'entend plus rien je ne vois plus rien, le choque est énorme.

Tout mon monde, mes repères, tout s'écroule autour de moi.

-Chérie revient, dit ma mère en me secouant par les épaules.

Mon regard se dirige sur ma mère qui est à genou devant moi, le visage tirer par l'inquiétude. Ses mains sur mes épaules, mon père fait les 100 pas dans la pièce.

Quand la mort frappe à ta porte c'est souvent au moment ou te ne t'y attend pas.

-bon écoute, dit mon père en soupirant.

-on vas trouver une solution en attendant tu ira en cours normalement et j'essaierai de les contacter demain. Et surtout tu n'en parle à personne.

Après cette épisode de crise je suis monter dans ma chambre, j'ai claquer la porte et me suis réfugié dans le seul endroit qui me rassurais encore aujourd'hui mon lit.

J'étais affalé, je tournais en rond dans mon lit et repensais a cette lettre qui trônait sur le sol de ma chambre.

Cette lettre avait changer ma vie, mes amis, mon école, tout était ici et je n'allait plus rien avoir.

Un pincement au coeur survient a cette penser, ma vue se brouille, un larme coule le long de ma joue pour finalement venir s'écraser sur mon oreiller.

Je pleurais depuis 2 heure quand j'entendis toquer a la porte.

-Ma chérie le repas est servie, mais .... mais .... mais si tu veux manger dans ta chambre je comprendrais, dit ma mère d'un ton hésitant.

-oui merci maman, mais je descendrais si j'ai faim, lui dit-je.

-ok repose toi.

Je recale ma tête dans l'oreiller et me met à pleurer plus fort.

1h45 du matin, j'ai passer mon temps à pleurer et à crier, j'avais l'estomac nouer je n'ai rien pu avaler. Je me tournais et me retournais dans mon lit, j'étais perdu pourquoi moi, pourtant je n'ai rien fait.

Mon estomac gronde, je décide d'aller voir si il reste un truc à manger car je ne peux pas rester les bras croisés.

Je doit me nourrir, j'ouvre la porte en faisant le moins de bruit possible et descend les escaliers, je file a la cuisine et allume la lumière.

Sur l'îlot je vois une assiette avec du cellophane dessus.

-merci maman, dit-je en m'avancant vers celle-ci le sourire au lèvres.

Un risotto hummm je sens déjà que je vais me régaler, je me lèche les lèvres et retire le cellophane de l'assiette avant de la passer au micro-onde.

Je me met as penser as tout ce que je vais devoir abandonner, enfin si mon père ne trouve aucune solution, mais dans la vie il n'y as pas toujours de solutions.

Le bip m'annoncant que mon assiette était prête me sortie de mes pensées.

Je pris une fourchette et l'assiette et je m'assied sur une chaise haute. Je prend un première boucher et repense à la soirée, ou du moins a cette lettre, je prend mon portable et va chercher sur internet l'école vamps, on trouve énormément de choses à leurs sujets.

Étonnamment, cette école est réputée maintenant, mais elle restais un endroit effrayant pour des êtres humains, elle était composer de 4 classes, 1 classe humaine, 1 vampire, 1 loups garou et 1 d'elfe, c'est classe vive avec pour seul règles le respect et la non violence, mais il est écrit en petit que des débordements peuvent arriver, comme dans tout établissements normal, sauf que celui la n'est PAS normal.

-niveau rassurant j'ai vu mieux.

Cette école à pour but de faire cohabiter les espèces entre elles, je déteste les vampires ils sont prétentieux, les loups sont machos, et les elfes hoooo pire ils cherchent toujours à te faire faire des conneries, bon après les humains eux reste con mais bon sa on peux pas y faire grand chose.

Je fini mon assiette et la met dans le lave vaisselle, je prend un verre et sors la bouteille de cramberrie du frigo, je me sers quand j'entend des pas dans les escaliers, je vois ma mère passer le porte, elle baye puis s'approche de moi.

Elle prend un verre et me carresse les cheveux, en temps normal j'aurais grogner, mais la je n'en avais pas envie. Je lève les yeux vers elle et elle me sourie tandis qu'elle se sert un verre.

-ça va ? Me dit-elle

-tu t'imagine bien que non, dit-je froidement.

Elle baissa la tête, je me rendis compte de ma bêtise.

-heu.... heu .... je suis désolée, c'est... c'est juste que....

Elle me coupa

-je comprend ne t'inquiète pas, tu as peur comme moi, me dit-elle en me faisant un câlin que je ne refuse pas.

Elle désserre sont étreinte et pars en direction de sa chambre, elle me salue et pars se coucher, je decide de faire pareil, après tout demain j'ai cours.

Le lendemain je me réveille la tête dans les vapes, je suis hs, j'ai pas assez dormi, j'ai tellement pleurer que mes yeux sont rouge et gonflés, j'ai des cernes et je me sens pas très très en forme.

Un haut le coeur me soulève l'estomac et je cours en direction des toilettes. Une fois mon estomac vidé, ma mère me rejoint, elle pose sa main sur mon front avant de déclarer haut et fort que je suis malade à mon père et que je doit rester a la maison me reposer en me faisant un léger clin d'oeil car à par le stress je n'ai absolument rien.

Je retourne donc dans mon lit et envoi un sms à jade pour la prévenir.

_Je suis malade m'attend pas 😨

_Il t'arrive quoi ?😱😱😱

_J'ai la gerbe🤢🤮 mais t'inquiète on se vois plus tard 😉

_ok tiens moi au courant. Good luck my dear 😘

Je rigole avec son message, mais mon ventre me fais un mal de chien. Ma mère m'apporte un anti-vomitif, et ils vont dans le salon, ils ont pris leur journée pour appeler la nouvelle école, mais ils ont aussi appelée mon école pour dire que j'étais malade.

Classe pour un second jour, déjà malade le swagg, je te jure ca craint.

Je les écoutes par l'entre-baillement de la porte, heureusement mon père a mis en haut parleur pour que ma mère entende.

"Bonjour école vamps, katarina as votre service que puis-je pour vous ?"

"Bonjour je voudrais parler au proviseur s'il vous plaît."

"Très bien veuillez patienter s'il vous plaît."

Le femme met mon père en attente, avant d'entendre une sonnerie, 5 minutes se sont écouler quand l'homme décroche.

"Bonjour je suis le proviseur, que puis-je pour vous ?"

"Et bien voilà notre fille mia cooper as eu son affectations dans votre école et le problème c'est que l'on ne veux pas qu'elle y aille"

Ouais papa vazy te laisse pas faire, pensais-je. L'homme réfléchi durant quelques seconde puis reprend.

"Je comprend mais le problème voyer vous c'est que une fois que les affectations sont faites on ne peux pas changer."

"Et il n'y as aucun moyen ?"

"Malheureusement non j'en suis désoler."

Le vérité me prend a la gorge, non je ne veux pas.

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Academy Sanglante (Tome 1) (TERMINÉE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant