Convoité Par Un Cheikh

chapitre 30

Bip bip bip sont les premiers son que Maria entendit lorsqu'elle ouvrit les yeux. Ses paupières était lourde et elle dû lutter pour garder les yeux ouvert.

Elle regarda autour d'elle et vit seulement des machines et des murs blanc, la jeune femme se releva le buste avec difficulté et vis Bashir qui s'approcha d'elle le regard triste.

Le coeur de Maria était sur le point d'exploser et ses yeux faisait des tours interminable dans la pièce à la recherche de l'homme qu'elle aimait plus que sa propre vie.

Voyant ses larmes lui monter aux yeux et la panique la gagner Bashir lui prit la main

- Maria Farès est

La porte s'ouvrit dans un fracas et le prince s'avança avec rapidité jusqu'à sa belle. Il serra sa princesse avec force dans ses bras ne voulant plus là lâcher de peur qu'elle disparaisse à nouveau.

Bashir sortie de la pièce ne regrettant en rien d'avoir donné le dernier coup de feu, qui mit fin aux actes de barbarie d'Ahmed.

Maria s'accrocha avec à son prince comme si sa vie en dépendait.

- Mon dieu Farès je suis tellement désolé, pleura Maria.

- Ce qui est fait est fait ma habibti n'en parlons plus.

- Farès ! S'écria t-elle en s'éloignant de lui, mes bébés!

Elle posa sa main sur son ventre avec tendresse se souvenant des blessures qu'Adile lui avait infligé. Tout absolument tout lui revint en mémoire et son coeur se serra tel un étau.

Maria se recoucha et pris son oreiller contre elle laissant ses larmes de chagrin couler, sa tristesse était si grande qu'elle ne voulait pas entendre la suite terrible de son histoire. Elle qui vivait un conte de fée, son histoire avait rapidement tourné au cauchemar.

- Houbi, regarde moi.

- Je ne peu pas affronter ton regard Farès, j'ai tout perdu, j'ai tout gâché.

Farès souleva sa femme et celle-ci se retrouva sur les genoux de son prince, il passa une main sous son visage et La força à le regarder.

- Nous n'avons pas tout perdu Maria, nous avons perdu un bébé, mais le deuxième à miraculeusement survécu.

- C'est impossible, souffla t elle en posant une main sur son ventre, il m'a battue avec tellement de force, comment est ce possible.

Chaque muscle de Farès se contracta sous les dires de sa femme. La haine qu'il avait pour ses deux hommes était tel qu'il aurait voulu les faire souffrir avant qu'ils ne meurent.

- Mon dieu Farès ou sont sont ils ? As-tu réussi à les faire arrêter ?

- Ils sont mort tout les deux mon amour alors ne t'inquiète pas.

Un silence s'en suivit avant que Maria ne prenne la parole.

- Ils m'ont fait croire que mon père était toujours en vie dit-elle en étouffant un sanglot. J'aurai du te le dire et je jure Farès que plus jamais je n'agirai de cette façon. J'en paierai le prix toute ma vie pour avoir été aussi stupide.

- Il est certain que tu dois tout me dire sur des sujets aussi grave que celui-ci, sa voix était grave mais les gestes tendres qu'il avait envers elle suffisait à la rassurer.

Farès savait que sa femme avait vécu des choses terrible et ne voulait en aucun cas ajouté à sa peine.

- Tu as souffert mon amour mais tu n'as pas fait tout ça pour rien.

Maria ne comprenait pas ce qu'il voulait dire et l'observa confuse.

Farès la posa à nouveau sur le lit et alla jusqu à la porte de sa chambre et ouvrit la porte avec lenteur.

Maria mis une main devant sa bouche et equarcilla les yeux en voyant qui se trouvait derrière la porte.

- Père !

L'homme se dirigea vers sa fille et la pris dans ses bras la serrant contre lui, il prit son visage en coupe et embrassa son front alors qu'il pleurait de joie.

Maria elle, n'osait pas y croire.

- Alors tu étais vraiment en vie! Je pensai qu'elle m'avait menti

- Il t'on menti mon ange, personne ne savait qui j'étais, je ne les jamais dit de peur qu'il s'en sert contre toi. Malheureusement il a su que je faisais parti des rebelles qui ont essayé de le tuer et il s'en est servit contre toi mais en aucun cas il savait que c'était moi.
Je suis tellement désolé Ma fille, si j'avais été là pour vous protéger ta soeur et ta mère..

- Non papa, ne t'afflige pas une tel douleur, dit elle en posant une main sur sa joue, tu es parti dans le but de nous sauver, tu as fais tout ce que tu as pu. Moi aussi j'ai fait de mon mieux pour les protéger père on a tous fait se notre mieux.

Maria pris son père dans ses bras et tout d'eux laissait aller leur peine mais aussi leur joie de s'être enfin retrouvé.

- Plus jamais nous nous quitteront mon ange, je t'en fais la promesse.