chapitre 31

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Cinq mois se sont écoulés, le premier mois fut long et difficile pour la belle Maria qui dû faire face au jugement de la journaliste ainsi que Monsieur Bokara.

La haine qu'elle ressentait envers eux était moindre comparé à ce qu'elle ressentait envers Ahmed et Adile. L'un avait ordonné que l'on tue ses enfants, l'autre avait accepté sans aucune difficulté.

Mais ils étaient morts. Maria en était satisfaite et n'avait aucune honte à ressentir aucune peine pour ses deux monstres.

En ce qui concerne Bokara et la journaliste, la prison à vie avait été prononcé. Le peuple l'avait réclamé, le Cheikh ainsi que le prince.

Bokara et la journaliste avait choisit de pactiser avec l'ennemi et avait conduit Maria dans la gueule du loup. Chose impardonnable.

- Maria ! Est ce que tu m'écoute au moins ! S'agaça Saliha.

La jeune femme se mit à rire en la voyant s'activer tout autour d'elle.

- Tu dois être parfaite ! Ta robe est là, tes chaussure son la et pour le maquillage la maquilleuse est ... est dit-elle en cherchant autour d'elle. Mais où est la coiffeuse ! Par Allah ils vont le rendre fou dans cette maison !

Saliha cria dans le couloir pour qu'une servante fasse appel à la coiffeuse.

Maria pouffa de rire et posa ses mains sur son ventre heureuse. Jamais elle n'aurait imaginé vivre un tel destin. Femme du peuple, sans argent et aucune destinée à épouser un prince, elle était là preuve vivante que tout était possible dans la vie, que rien n'était acquis et qu'en un claquement de doigts, une vie pouvait basculer.

- À quoi penses-tu mon ange ? Demanda son père en lui caressant la joue de son pouce.

- À ma vie père, je n'imaginai pas ma vie ainsi, dit elle en laissant une larme dévaler son visage.

- Tu ne dois pas culpabiliser d'être heureuse de vivre une tel vie Maria.

- Comment puis-je m'en réjouir pleinement en sachant que pour avoir eu un tel destin, ma mère et ma soeur sont morte, dit-elle en sanglotant.

- Tu as rencontré Farès car ta mère et ta soeur son morte c'est vrai, mais c'était leurs destin, à nous de continuer à vivre le nôtre. Elles nous manque terriblement mais une chose est sur, ta mère aurait été tellement heureuse en cet instant présent. Ses yeux vert brillerait de mille éclat, son sourire serait rayonnant de bonheur Maria alors vie, n'ai pas honte d'être heureuse car je n'ai pas honte d'être un père heureux pour sa fille.

Les paroles de son père la touchèrent en plein coeur, il avait toujour sut lire en elle comme dans un livre ouvert.
Maria lui fit son plus beau sourir et éloigna ses larmes, son père avait raison. Sa mère serait heureuse pour elle et elle voulait profiter de sa vie.

Son père déposa un baisė sur son front et quitta la pièce en entendant les pas pressés de Saliha. Il ne voulait surtout pas se trouver sur son passage lorsqu'elle était stressée.

Maria se leva rapidement et pris la robe ainsi que ses chaussure pour aller s'habiller avant que la servante n'arrive et la dispute.

Une fois habillé d'une jolie robe doré longue maintenue par deux fines bretelles qui moulait ses formes et son jolie ventre apparent, Saliha fit entrer la coiffeuse et maquilleuse.

La jeune femme observa la princesse avec de grand yeux.

- Comme vous êtes belle, souffla la jeune femme.

- Je vous retourne le compliment, souria Maria.

La jeune femme se mit à rougir et commença par s'occuper des cheveux de Maria, elle lui fit un jolie brushing ondulé et passa ensuite à son maquillage. Les paupières de couleur marron et les lèvres tapisser d'une jolie couleur rosé.

Maria se leva et alla directement dans la chambre ou Saliha et Bashir l'attendait. Saliha se mit à pleurer de joie en lui disant combien elle était belle et Bashir dévorait du regard la jeune maquilleuse qui c'était occuper de Maria.

Maria se retourna vers la jeune femme qui observait le sol les joue aussi rouge qu'une pivoine. Maria se mit à rire et avança ce qui fit revenir Bashir sur terre.

- Tu es très belle Maria.

- Merci Bashir, mais je suppose ne pas être la seule belle femme dans cette pièce.

Elle lui fit un clin d'oeil et sortie de la pièce pour aller rejoindre son prince qui lui manquait déjà.

La jeune villageoise entra dans la grande salle ou tout les regards était posé sur elle, n'y étant toujours pas habitué, elle chercha son prince et ne tarda pas à le trouver. Il se rapprocha d'elle et elle en profita pour le détailler dans sa chemise blanche qui refermait une musculature parfaite.  

Farès vola à son secour et mis une main au bas  de son dos. Ils rejoignirent ensembles le roi qui était sur la balustrade.

Farès se rapprocha d'elle pour susurrer à son oreille

- Voudrais tu me rendre fou dans cette tenue ?

Maria sentit une douce chaleur naître aux creux de ses reins.

- Peut-être bien, rilla telle.

- Nous en reparlerons ce soir, rétorqua t il la voix pleine de promesse.

Maria se mit à rougir et se retourna pour écouter l'annonce du roi.

- Comme vous le savez, ce soir est le jour où je cède le trône à mon fils.  Il est temps pour moi que mon pays soit dirigé par une vision plus jeune et qui mieux que mon fils Farès, un homme dont je suis fière et qui a su gagner le respect de son peuple.

Farès écoutait les paroles de son père avec fierté, son plus grand souhait était de rendre sa famille fière de lui et son souhait était accompli.

Son père s'approcha de lui et tout deux se mirent front contre front sous les applaudissement de la foule qui exprimèrent leur joie.

Le père de Farès alla rejoindre ensuite la foule et Farès de retourna vers sa femme dont la grossesse évoluait de jour en jour.

Il se mit à repenser à la première fois qu'il l'avait vue, à la façon dont elle avait sut faire battre son coeur. Encore aujourd'hui après des mois de vie commune, son coeur s'emballait avec toujours autant d'intensité.

Il la prit dans ses bras et ancra son regard dans ses beaux yeux émeraude

- À présent je suis le Cheikh et toi ma reine.

Il scella sa phrase par baisė remplit de promesse.

                              Fin

**********

Bonsoir chers lecteurs, ici s'achève mon premier roman d'amour qui a rencontré un franc succès chose à laquel je ne m'attendais pas du tout.

Je ferai un épilogue pour vous annoncer la naissance du bébé. Fille ou garçon quel sont vos pronostics ? ^^

Merci à vous pour vos commentaires et vos votes qui me touche beaucoup.

Rester connecté car j'ai décidé de poursuivre dans les romans d'amour !

Je reviendrai prochainement avec une nouvelle histoire qui j'espère vous plaira !

       🕊🕊Un grand MERCI !!! 🕊🕊

Convoité  Par Un CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant