Te laisser partir...

Estival...

Elle avait enfin finit. Cette année compliquée était enfin terminer. Les garçons n'avait pas prévue de partir, et elle n'avait pas vraiment le droit. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi ils continué a la soupçonné alors qu'elle était au lycée, et que les docteurs affirment qu'elle était incapable de tué qui que ce soit même si elle n'était pas consciente. Mais légalement, elle n'avait pas le droit de partir de ce charmant coins qu'est Clarence. Du coup elle avait commencer a écrire. Elle racontait ce qu'elle avait vécu ces derniers mois. Elle restait seule dans la maisons de Jack pour une semaines. Ils avaient du partir chez de la familles pour on ne sais plus vraiment quoi... Mais elle était là, seule. Elle n'avait plus vraiment peur de rester seule, mais le silence lui peser. En écrivant ces pensées, elle se sentait deja mieux. Elle raconter le ressentis et la vision qu'elle avait eu de ces derniers évènement. La chasse aux sorcière du lycée et des medias. L'acharnement et l'excitation qui en était ressortis. Le manque et la réorganisation compliquer. Elle parler de la peur qu'elle avait d'ouvrir les frigidaires et réfrigérateurs. De la sensation que quelque chose allez arriver si ces portes s'ouvrait. Elle avait aussi peur des sirènes de police et de pompier. Elle sursauter a chaque fois qu'elle en entendait. Elle ne sortait pas vraiment non plus. A vrai dire sortir voulait dire affronter le regards des gens qui la juger ou avait pitié. Et puis, le bruit que son pere l'avait abandonner s'était répandu a cause des voisin et voisines de ces nouveau colocataires. Elle préférait rester enfermer cacher dans la salle a manger d'un salon ou elle se sentait a l'abris. En un sens, elle s'était complètement fixer a un groupe de personne qu'elle considérait comme sa famille. Personne d'autre n'avait accès a son quotidien. Elle rejetait tout ce qui pouvait représenter un danger pour elle et pour son entourage. Sissi, elle ne l'avait pas vu depuis un temps si long que son apparition, un soir, a la fenêtre de Jack lui avait fait un choc. Elle prit son parti de l'ouvrir bien malgré cette dangereuse psychopath devant elle. "Sissi... Pourrais je savoir que me vaut ce plaisir? Dit elle sarcastique et surtout un tout petit peu perturber par cette (cocasse) situation.

- Je veux voir Jack! Dit la jeune fille sèche et sur d'elle tel une enfant qui réclamerait des bonbons.

- Il est pas la!

- Ouais, c'est ça ! Crachat elle, tu lui as monter la tete pour qu'il te suive comme un petit toutou! Je veux le voir! MAINTENANT!

- Euh... Samia a la fois dubitative et surprise ne qu que répondre a cette crise infantile. Tu veux voir Jack... Mais comme je te les dit, il n'est pas la! Il ne reviens que demain. Repasse le voir dans deux jours. Il sera la.

- Qu'est ce que tu fout chez lui! Hurla la fille commençant a valser de manière incontrôlée.

- Tu es bourrée?

- Non! Je veux voir Jack. En répétant cela elle fit un mouvement en avant qui la fit tomber par terre. Samia eu presque de la pitié pour elle. Depuis que sa mere était morte, elle n'avait jamais vu que tout les changements n'impacter pas uniquement son petit monde. Cela modifier les habitudes de Sissi et des amis de Jorges et Jacks. De leurs parents et meme de leurs familles... Elle se rendait soudainement compte que si elle ne voulait pas que cela vire plus au cauchemars que ça ne l'était deja, elle allait devoir faire un geste pour les aider. Tous autant qu'ils sont, et ceux meme si cela implique une meuf totalement bourrée et insupportable au naturel qui lui hurle de lui rendre son ex petit amis. Elle décida alors de la ramené chez elle. Cela allait être long, chiant et certainement pas agréable, mais elle se sentait redevable envers Jack et Jorge. Cela influer donc sur le fait qu'aucun d'eux ne souhaiterait voir l'un ou l'une de leurs ex(es) mourir écraser par une voiture parcequ'elle était saoule. Et Sissi, a son grands regrets, rentrait dans cette catégorie. Elle sorti donc et se battait contre elle pour la ramener de force chez elle. A un moment donner, Sissi cessa de se débattre. Elle choisit de l'insulter. Moins fatiguant que les gestes, mais tout aussi insupportable cela dit. Quand, miraculeusement, la maison de Sissi apparut au loins d'une nuit d'été éclairé par des lampadaires discount. Sissi dit quelques choses futiles mais néanmoins intéressantes. Elle parlait du jours ou Jack lui avait dit qu'il était devenu son ennemis. Sissi, évidemment, le reprochait a Samia. Mais Samia ne le savait pas quelques secondes auparavant, elle venait de comprendre pourquoi Sissi avait voulut se rincer a grands coup de vodka toniques. Elle venait de perdre la personne avec qui elle avait partager les dix dernières années d'études. Son ex s'était enfuis dans les bras d'une demoiselle en détresse qui ne saurait lui apporter que des ennuis... Samia se sentis coupable. Si sa mère n'était pas morte, Jack ne serait probablement jamais venu la secourir. Jorge non plus par ailleurs. Sissi serait toujours, Sissi. "Je suis désoler! Dit elle en la regardant. Meme si demain matin tu l'aura oublier et que tu aura mal au cheveux, je suis désoler de ne pas avoir remarquer que je bouleverser aussi bien ta vie que la mienne. Mais je n'ai pas choisit de perdre maman. Et je n'ai pas choisit de voir mon pere s'enfuir. Quand au fait que je vis la moitié du temps chez ton ex et l'autre chez son meilleur ami, c'est eux qui m'ont proposer. Et j'aimerais pouvoir te dire que tout va s'arranger entre toi et Jack, mais toi et moi on sait que ce n'est pas a cause de moi qu'il t'as larguer. Tu as humilié son meilleurs amis. Tu as maltraiter presques toutes les personnes de se lycée. Et tu as fait des salles coups aussi bien aux élèves qu'aux profs. Tu as meme réussi a faire accuser a ta places tes plus proches amis, même lui y est passer. Tu te rend compte maintenant que tout as des consequences. Et c'est un peu ma faute si ça c'est accélérer. Mais c'est pas ma faute si les gens te tourne le dos Sissi." Sissi, apres se discours si touchant, en vomis de bon sentiment. Cela sentait la peine, la colère mais surtout la vodka et la tomate pourris. Enfin, Samia l'emmena en passant par la porte d'entré et sonna cinq fois pour réveiller ces parents. Même si elle se sentait coupable, on ne pouvais pas changer les bonnes habitudes. Elle avait gâcher sa nuit, elle se vengerait pour tout l'été. Quand enfin la mère en survêt de Sissi sorti dehors pour la rentrée et la punir, Samia songeait a prendre une photo de Sissi et son tea-shirt plein de vomis et de sa mere en survêt de sport. Mais elle se dit que c'était cruelle de profiter d'un instants de faiblesse pour humilié une ennemis. Ce n'est pas pour rien que Sissi était la garce du lycée, personne ne pouvait avoir moins de scrupule qu'elle.

Le lendemain, Jack et ces parents revenaient enfin de leurs voyages. Quand il arriva, la première chose qu'il a faite fut d'attraper Samia et de la faire virevolter et lui hurlant qu'elle lui avait manqué. Elle était heureuse de l'avoir retrouver. Et elle allait rester une semaine de plus, parce que Jorge et sa famille était parti deux semaines a la montagne. Ce qui est en parti pourquoi elle était rester chez Jack la première semaine. Maintenant elle n'était plus seule, et elle avait plein de chose a raconter a Jack. Elle les aidait a vider leurs bagages de la voiture. Ils déjeunèrent tous ensemble et blaire lui avait demandé au moins trente mille fois si tout s'était bien passé et si elle n'avait manqué de rien. Cela poussait Samia à répondre positivement a chaque fois. Jack était très tactile avec Samia. La séparation avait était aussi dure d'un cotes que de l'autre, et Samia se prêter volontiers aux jeux des câlins et autres gestes que Jack avait a son égare. Quand le repas fut terminé, Jack et Samia disparurent dans la chambre de Jack. Il rigolait car elle avait modifié son organisation sous prétexte qu'elle n'avait rien d'autre à faire. Apres avoir fait une batailles de chatouilles et un combats d'oreiller qui finit plus par une bagarre de peluche, Samia et Jack poser l'un contre l'autre expliquât ce qui s'était passer avec Sissi.