Perte de repère...

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Cela faisait quelques jours que Thobias était partit. Jorge et Samia tenter de garder leurs habitudes intacte mais Samia ne trouvait pas vraiment les sujets commun avec Jorge. Après tout, elle n'avait commencé à lui parler uniquement parce que c'était le copain de son meilleur ami. Et hormis Thobias, il n'avait jamais eu de point commun. Et a vrai dire, ni l'un ni l'autre n'était vraiment sure de vouloir continuer a se voir. Thobias leurs manquer énormément, et se voir c'était comme remuer le couteau dans la plait déjà purulente de son départ. Sans compter que, pour une quelconque raison, Jack observait continuellement Samia. Ce qui la mettait mal à a l'aise. Elle avait essayait d'en discuter avec Jorge, mais la seule chose qu'il avait dit sur le sujet c'était "Tu veux que j'aille l'assommer?". Ce qui pouvait être expliqué par le fait que, avant le coup de Sissi sur le site du lycée, Jorge et Jack était amis. Et pour le moment, il n'y avait rien de bien méchant. Les journées passaient vraiment lentement. Chaque jour un peu plus... Samia, pour se changer les idées, avait décidé d'écrire une lettre à Thobias. Elle commença cette lettre comme cela, " Chère Thobias, j'espère que tu va bien? Ici, les choses ne bouges pas beaucoup..." et en écrivant elle mit sur papier ses sentiments. Quand elle eu finit, elle décida de l'envoyer. Et elle recommença chaque semaine pendant des mois et des mois... Ce matin là, elle était en retard. Cela faisait plusieurs semaines que Jorge et elle ne se parlait plus. Et Thobias lui manquer un peu plus après chaque appelle. Il l'appelait tard le soir en coup de vent. Et elle pensait qu'il faisait la même chose avec Jorge. Elle avait veillé jusqu'à trois heures du matin pour avoir seulement six minutes de conversation express. Elle avait, durant cette petite discussion, vaguement compris que Thobias ne lisait pas ces lettres. Alors, elle prit la décision étrange de continué à lui en écrire aussi longtemps qu'il ne les lirait pas. Elle pensait que de toute manière cela lui faisait du bien d'écrire, et qu'à défaut d'être lu... En courant, Samia repenser a cette décision sans regarder ou elle aller. C'est alors qu'elle se cogna contre quelqu'un qu'elle n'avait pas vu venir. Elle et lui s'écroulèrent au sol. " Désoler! dit elle en se relevant affoler, Désoler! Je t'avais... Jack!

- Oui, c'est mon nom! Dit il en se relevant a son tours. Mais j'imagine que si c'est moi, alors c'était préméditer! Dit-il en la regardant avec ce regard craquant qui l'avait troublé bien des fois.

- Evidemment! dit-elle en lui souriant de toutes ces dents de sa voix la plus fausse. Sinon nous ne serions pas ennemis!

- Ennemis!? Lâcha-t-il comme outré. Au moins j'ai une place dans ton cœur! ajoutât il en sur jouant légèrement la peine.

- Tu m'excuse mais là je suis en retards, donc pas le temps de faire semblant de m'intéresser a tes sentiments a mon égare. Ecrit moi une lettre et je ne te promets absolument pas de la lire si j'ai du temps... ! Puis elle parti aussi vite qu'elle était arrivé. "

A cet instant, Jack la regarda s'en aller avec regrets. Depuis qu'ils étaient enfants, il adorait la regarder étudier, rigoler, parler avec ces amis... Oui, il avait des allures de harceleur peu rassurant. Mais en réalité, cette légère obsession lui était apparut la première fois qu'elle l'avait piégé. Il était en couple avec Sissi à ce moment là, et Sissi était obséder par le fait qu'elle était seulement la seconde meilleure de l'école. Il avait décidé de lui faire peur en l'appelant en numéro masquer pour lui dire que si elle continué a avoir des meilleurs notes que Sissi, lui et ces amis la retrouverais et la tuerait... Bon, ils avaient tout les deux treize ans à ce moment là, et elle était clairement plus maligne qu'il ne le pensait. Elle savait que c'était lui, alors le lendemain elle lui avait mis un lapin dans son casiers accompagner d'une lettre. "La prochaines fois, pense à masquer ta voix... abrutis." Il avait été puni pour avoir emmené ce lapin au collège, mais il n'avait jamais avoué que ce n'était pas lui. Il avait gardé ce mot précieusement et le regarder a chaque fois qu'il voulait faire un plan machiavélique a quelqu'un. Seulement, depuis que Sissi lui avait fait perdre son meilleur ami sous prétexte qu'il était attiré par les garçons, il ne voulait plus être le méchant du lycée. Il ne pouvait plus supporter l'hypocrisie de Sissi et ces sbires.

Te laisser partir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant