Mona lisa...

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Elle avait sauté le pas. Elle en avait parlé a Kellermann. Mais avant, elle avait rappelé encore et encore son père. "Papa, faut que tu me rappel! j'ai besoins que tu me rappel! Je sais que tu n'était pas au boulot. Je sais que tu m'as mentis! faut vraiment qu'on parle. Tu pourras pas te cacher toute ta vie." Cela n'avait pas était une si grande nouvelle, il le savait déjà. Mais au moins elle se sentait moins coupable. Jusqu'à ce qu'une lettre arrive de Marseille. Une lettre pour Samia de sa vieille tante Mona Lisa. " Chère Samia, je suis désolé pour les nouvelles qui proviennent de vos contrées. J'espère que le deuil ne te tuera point. Je voulais t'envoyer cette lettre pour que tu sache que la famille te soutient. Dans les moments les plus dures, seule la famille est un rempart. Je suis navrée que ton père et moi nous n'ayons pu te faire cette surprise l'année dernière. Il avait prévu de venir me chercher à la gare ce jour là. Mais je me suis trompée de billet et entre temps est arrivé ce qui est arrivé. Tu me connais petit ange, entre seize et dix huit il n'y a qu'un pas. Enfin, j'espère que ton père et toi vous vous soutenez. C'est important le soutient. Je n'ai pas comprit ou est ce que tu vivais qu'a présent. J'espère que tu pense à tes études, pour la rendre fière. Gros bisous mon ange. LISA Mona. "

Il est sortie pour aller chercher Mona. Samia se sentait à la fois soulagé et à la fois surprise de cette nouvelle. Déjà surprise parce que Mona lisa et son père ne s'appréciait pas tellement. Et puis parce que sa mère et elle s'était disputé gravement la dernière fois qu'il y a eu des réunion de famille. Samia ne su que peu de cette sombre affaires d'argent mais elle savait que tout n'était pas tout rose. Néanmoins, elle et Mona avait toujours était proche et s'envoyait régulièrement des lettres quand le vent les poussé. Elle s'empressa de donner la lettre à Kellermann. Elle se sentait coupable d'avoir pu pensée une seule seconde que son père était coupable. Même si il n'avait rien fait pour prouver son innocence, elle avait braver sa règle la plus primordiale. Ne jamais accusé quelqu'un sans preuve. Et ce morceau de papier n'était pas une preuve. Ce morceau de papier ne montrer que la disparition de l'alibi de son père mais techniquement Mona était devenu son alibi. En revanche c'est étrange qu'il n'en est pas parlé plus tôt... La lettre était daté d'il y a un mois. La pauvre Mona n'avait certainement pas pu lui envoyé la lettre plus tôt. Mais son père aurait pu en parler, lui. Enfin, elle était si contente de ne pas avoir eu raison. C'était comme si le monde lui envoyé enfin une bonne nouvelle! Elle en était sûre. Elle tenta d'appeler son père. Mais elle tomba directement sur sa messagerie. " Papa? S'il te plait répond moi. Mona m'as envoyé une lettre. Elle m'a tout expliqué. Répond moi s'il te plait." Elle voulait au moins être sur que tout aller bien. Qu'il allait bien. Mais le vide, le silence lui répondit une fois de plus. Cette absence commencer a pesé un poids insupportable. Comment ne pas être méfiante quand le suspect a disparut. Elle déposa la lettre à la police. Elle ne pouvait plus rien faire. Si son père ne réapparaissait pas dans les deux jours, la police lancerait une chasse a l'homme et ce ne serait vraiment pas bon... Jack inquiet de cette situation, vint la voir dans sa chambre. " Comment ça va?
- Bien! Dit-elle allonger sur son lit un peu énervé.
- Ok... il hésita, ça n'as pas vraiment l'air en tout cas. Dit-il en se posant sur le lit.
- Mon père... mon père... mon père est un abruti finis. Mon père est un connard égoïste qui n'est pas foutue d'être la quand on en a besoins ! Mon père ! Il est sensé avoir voulut de moi. Un peu du moins, parce que dans ma tète on ne fait adopter un enfant par des psychopathes qui veulent un enfant, « mais pas trop ».

- En effet, tu as vraiment l'air d'aller très bien là! Fit-il sarcastiquement.
- Comment je suis sensé clamer son innocence et être convaincante quand même lui n'est pas la pour la clamer sa foutue innocence.
- Et, au risque de me faire tabasser, tu es vraiment sur qu'il est innocent?
- Évidemment. Mona me l'as dit.
- Super, il claqua des main en un geste théâtrale avant de pencher sa tête sur le cotés pour demander. Mais c'est qui Mona?
- Une vieille tante. Elle voulait me voir ce jours la. Elle m'a envoyé une lettre.
- C'est quand même bien pratique...
- Quoi?
- Ta vieille tante qui t'envois une lettre juste au moment ou ton père est accusé...
- Il est innocent.
- C'n'est pas ce que tu disais y a quelques jours... Et c'est franchement bizarre que cette vieille tante t'envois une lettre juste au moment ou ton père en a le plus besoins.
- J'ai besoins de croire que je me suis trompé, jack ! Elle dit cela comme désespérée. C'est mon père, Ok ? Et si... si, c'est lui. Ça veut dire que je n'ai plus rien. Plus personne ! Tu sais ce que ça fait? tu sais depuis combien de temps ? Tu sais depuis combien de temps je n'ai pas vue mon père ? Depuis combien je n'ai pas entendu le son de sa voix ? Mise à part son répondeur débile qui est plein d'une trentaine de message que je lui ai envoyé moi même ! Et si cette merde qui me pourrit la vie depuis presque deux ans est a cause de cette abrutis, Ça veut dire que j'ai perdu mes deux parents.... Ça veut dire que je suis orpheline, encore ! Et même s'il n'est pas parfait, Jack, c'est mon père ! Jack compris a cette instant que Samia avais légitimement besoins d'y croire.

- Je suis désolé... souffla Jack. Je ne voulais pas...

- J'ai peur, Jack ! Elle le regarda avec des larmes aux yeux. J'ai peur de ce qui va se passer. Si mon père est coupable, il va y avoir un jugement. Et même si mon père n'est pas coupable. Il faudra que je confronte le meurtrier de ma mère, peut importe qui c'est. Et surtout, il faudra que je confronte la réalité... Et... j'ai peur de savoir les raisons qui ont tué ma mère. J'ai peur ! Elle s'effondra dans les bras de Jack. J'ai si peur. »

Te laisser partir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant