Te laisser partir...

ou est-il?

Il est parti depuis si longtemps que Samia le confond avec un lointain souvenir. Elle se rappel de l'homme qui l'as élevé. Celui qui lui faisait des surprises. Celui qui la porter. C'est comme si toute son enfance avait disparut violemment. Elle est inquiète et tourmentée. Elle est perdu dans les absences qui commence a s'accumulait. Elle se sent comme une erreur. Peut être que c'est sa mère qui voulait un enfant. Peut être que lui ne l'as jamais aimer. Peut être que sa mère l'avait forcé. Les doutes, les insécurités, l'impression que plus rien ne sera jamais comme avant. Elle en est même arrivé à sauter sur tout les téléphones qui se mettent a sonner en espérant entendre la voix de son père. Malheureusement la plus part du temps c'était les journalistes, les profs, les avocats qui proposaient leurs services, les démarcheurs, les gens qui appelait blaires, jorge, christian, jack ou encore marie... Elle l'attendait son crétin de père. Elle attendait juste un signe. Une marques qui dirait "je suis vivant". Parce qu'elle l'aime comme une fille doit aimée son père. Elle le hait comme une enfant doit haïr sont père. Elle le cherche comme rien ni personne ne devrait avoir a cherché. Ce n'est jamais facile de grandir. Mais là, Samia était dépassé par les événements. C'est comme si d'un coup quelqu'un avait décidé d'éjecter un animal dehors. Un animal qui aurait grandit dans une cage à être nourrit et loger tout les jours. L'animal mourrait de faim ou de déshydratation. Et bien elle, elle ! elle, elle meurt tout autant. Elle meurt à petit feu. Elle perd l'espoir de revoir son père. Elle perd l'espoir de comprendre. Elle perd son souffle a attendre que quelque chose se produise en vain. Elle souffre dans le silence du vide. Oui, le vide. Le vide du lendemain. Elle doit grandir un peu plus chaque jours, mais elle ne peut pas. Elle n'est pas seule. Mais c'est pire. Elle adore le monde autours d'elle, mais dans le fond de son âme elle sait qu'elle n'est pas la sœur de Jorge, ni de Jack, elle n'est ni la fille, ni la niece, ni même la cousine éloignée de Blaire ou Marie... Elle n'est que la pauvre fille qui du jours au lendemain avait perdu sont foyé, sa vie, sa famille... Elle n'était que cette pauvre chose qui demeurait à leurs crochets pour le meilleur et pour le pire en attendant autre chose... Elle leurs en faisait voir de toute les nuances de couleurs présente sur cette terre. Elle était comme cette plante grimpante qui se colle sur les arbres les plus robuste pour les vidé de leurs sève. Aujourd'hui, c'est a sept heure trente deux. Elle avait finit de mangeait avec Jorge et jack dans un fast food quelconque quand son téléphone vibrait de multiple notification. « Tu ne devrait pas regardé... souffla un des garçons en regardant son téléphone qui vibrait tout autant.

- Tu risque de ne pas trop apprécier... la regardaient ils... »

C'est dans l'incompréhension que Samia vit la nouvelle placardé partout. Son père avait était attrapé a Paris dans un Hotel pourrit d'une quelconque banlieue pommé. Les policier l'avait arrêter. Et potentiellement inculper du meurtre de sa femme. « Il était à paris... » Constata t'elle abasourdie.

- Samia... fit Jorge.

- ... Elle ne savait plus quoi penser. Elle ne savait pas quoi dire. c'est comme si le ciel lui tomber dessus. Comme si le monde la laissait mourir encore plus qu'elle ne l'était déjà. C'est confuse entre l'injustice et la peur. Elle n'entendait même plus les voix et les gens. Elle sentait cette pressions dans sa cage thoracique et elle percevait les larsens de sa vie la rendre immobile et absente. Elle était profondément choquée que la première nouvelle qu'elle ait de son père soit sur les réseau. Elle était en colère contre les policiers pour ne pas lui en avoir parler. EN colère contre son père pour ne rien lui avoir dit. En colère contre le monde entier pour trouver intéressant de partager sa vie et celle de son père sur les réseau comme divertissement commun. Et elle était coincer entre trouver l'arrestation de son père injustifiée et vouloir le protéger et la trouver justifier et vouloir aller lui péter le nez. Elle ne comprenait plus les information autours d'elle parce qu'il n'y avait rien a comprendre. Son père était arrêter. Il avait été trouver à des heures et des heures de sa fille et aller être rapatrié en quatrième vitesse pour être interroger un milliard de fois sur tout les mensonges qui se sont accumulé et elle ne devait rien dire et rien faire. Il n'y avait rien a dire et rien a faire. Et quand bien même elle pourrait le libéré, pourquoi le ferait elle? Il l'as abandonner et ne lui a rien dit depuis des mois et des mois. Elle s'inquiété pour lui et il ne lui a même pas dit qu'il était a Paris.

- Samia? fit la voix de Jorge un peut plus intense.

- Je vais... elle regardait autour d'elle et elle vis des rues vides. ... bien?

- Tu es sur? fit Jorge avec un air sarcastique de l'homme qui a du courir derrière elle pendant près d'une heure.

- Euh... tout compte fais. On rentre? répondit elle en le regardant médusée.

- Non tu crois? fit il très légèrement agacé de cette situation. "

Jorge avait tenu jack au courant de leurs situation géographique pour que celui ci les rejoigne avec une voiture. Marie était au volant. Elle n'avait fais aucun commentaire si ce n'est quelques regards inquiets. Jack avait souris et s'était contenter de dire, "ça faisait longtemps" en riant pour détendre l'atmosphère.