Te laisser partir...

L'avocat

Il est très difficile de croire en l'innocence de quelqu'un qui a disparut de votre vie pendant des mois. En particulier quand cette personne est accusé de meurtre et que rien ne montre qu'elle ne l'as pas fait. Alors évidemment, pour les yeux voilés de Samia rien ne prouver non plus que son père était coupable. Et dans les fait, il innocent tant qu'on a pas prouvé le contraire. Mais elle avait était préserver de milliards de choses durant l'enquête. Et là, c'était plus que finit. Son père avait été arrêter à paris. Il était en cellules et les choses semblaient se gâter pour lui. Elle ne le savait que parce que cette information avait fait le tour des réseaux sociaux et de la télé. Elle avait recommencé la stratégie d'évitement des médias. Elle n'avait pas prévue de s'en mêler, son père ne l'avait pas plus confronté pour autant. Mais ce samedi matin là, elle était partie chercher quelques courses pour Blaire. Quand elle rentra, Tout le monde était dans la maison. « Bonjours... fit elle dubitative. Qu'est ce qui se passe ?

- Votre père m'envois. Dit un homme qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam.

- Super ! Vous lui dirait que je suis vivante ! Au revoir. Cracha-t-elle avec haine.

- Je suis son avocat, mademoiselle. Je m'appel Dominique warlock.

- Ok ! Elle sentait que cette présence n'aller rien apporter de positif.

- Le procès contre votre père va débuter très bientôt et il pense qu'il est temps que vous soyez préparé pour sa défense.

- Sa défense... Je suis la fille de la victime et la fille du meurtrier. Je ne peux pas avoir genre un passe droit pour sécher.

- Votre père a besoins de vous !

- Super ! Bas moi aussi j'avais besoins de lui. Mais manque de bol, il s'est barrer comme un lâche pendant presqu'un an.

- Si vous le souhaitez, et uniquement si vous le souhaitez, je peux vous effacer de la liste des témoins. Mais sachez que cela portera préjudice a votre père.

- Non ! Elle prit sa respiration et prit sur elle pour dire, non je vais être témoin ! Une mère morte ça suffit.

- Vous faite le bon choix mademoiselle.

- Otez-moi d'un horrible doute. Si mon père est accusé, ça veut dire que son alibi est mort et qu'il a un mobile ?

- Votre père est accusé d'un peu plus que du meurtre !

- Comment ça ?

- On va vous laissait ! dit Blaire en embarquant tout le monde dans la cuisine.

- Prenons le tout dans l'ordre. D'abords, le fait que votre père vous ait caché votre maladie ne montre pas une très bonne image de lui. Ensuite, l'abandon pendant cette période compliqué. Ensuite, son alibi en carton... Vraiment ce n'est pas bon du tout.

- Comment ça « alibi en carton » ?

- Bas Mona Lisa à était déclaré morte aux alentours de trois heure du matin le matin même de la rédaction de cette lettre. De plus, aucun train n'as était réserver a son nom.

- Mona Lisa est morte... elle souffla cela comme en encaissant cette information.

- Beaucoup d'information sont plus que douteuse et reste a vérifier.

- Comme quoi ?

- Comme... Disons que votre adoption a quelques zones d'ombre.

- Super, il me manquer plus que ça. Cracha t'elle très violemment

- Votre père est accuser d'avoir fait appel a des services peu recommandables. Mais il parait évident que c'est faux. Les papiers nous le prouveront.

- Laissez moi deviné... elle ferma les yeux et mima la télékinésie. Les papiers de mon adoptions ont disparut ! le pauvre avocat acquiesça.

- Votre père ne les as jamais récupéré dans votre maison. Mais peut être que...

- Je vous arrête ! Je ne suis pas retourné dans ma maison depuis des mois, voir des années et les rares exceptions se sont arrêter dans mon hall d'entrée.

- Donc vous ne les avait jamais vu.

- Non !

- C'n'est vraiment pas bon...

- Qu'est ce qu'il risque ?

- Pour être un mauvais père pas grand-chose, mais pour l'adoption et le meurtre... Une trentaine d'année sans sursis. Fit-il sur un ton presque ironique qui n'avait sa place nulle part dans la conversation.
- Et moi?
- Vous vous avez le choix. Soit vous plaider pour votre père. Soit contre. Samia avait entre les mains la vie de son père. Son avenir du moins. C'était vraiment insupportable. C'était beaucoup trop.

- Vous êtes sérieux la?

- On ne peut plus serieux! Mais choisissez habilement mademoiselle, se serait dommage de devoir prendre votre indépendance plus tot que prévu. Et puis un père en prison c'est pas un atout pour les dossiers de logement.

- Pardon? Elle senti la colère montée d'un coup. Donc là vous venez dans cette maison pour me balancer que j'ai le choix entre la peste et le choléra et en me faisant du chantage pour que je choisisse la liberté de mon père? Mais vous êtes complètement con en faite! je vais plaider pour lui, pas parce que un père en prison ça fait pas bien, pas parce qu'il a de l'argent, mais parce que j'ai perdu ma mère et que j'ai pas envie de redevenir orpheline.

- Bien dans ce cas, nous devrions faire une liste de choses a ne pas faire, ne pas dires, a éviter... Pour ne pas mettre en danger l'avenir de votre père.

- OK... J'ai eu ma dose! Elle se leva et dit sèchement. Vous sortez et on prend rendez vous pour plus tard. Comme ça, la prochaine fois je serais pas surprise et surtout j'aurais le temps de me préparé psychologiquement a votre insensibilité chronique. sur ce, Au revoir M. Warlock."