Tête haute...

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C'était le grand jour. Les écrits du bac Français... Samia n'avait focalisé que sur ces épreuves et sur son nouvel avenir. C'etait un premier pas vers l'obtention du bac. Un diplome qui seul n'as pas grand intérêt, mais qui dans son cas voulait dire nouveau depart. Alors ce jour compter dans la course folle aux nouveaux espoirs d'une vie meilleure. Elle s'était bien habiller, elle avait mis la robe rouge à poids blanc de sa mère. Elle s'était attaché les cheveux. Avait mis ces lunettes rouge et fine. Et elle avait mis de jolies chaussures fines... Jack et Jorge avait décidé de l'emmené. Mais aux derniers moments Jorge avait complètement oublié... Jack et elle avait attendu mais ils ne pouvaient pas se permettre d'être en retard au lycée pour les examens. Lorsque Samia sorti de la chambre après ces quelques... Heures de préparation. Jack fut comme frapper a la tête, il la vit comme il ne l'avait jamais vu auparavant. Elle souriait. Elle semblait fière de porter cette robe et il la voyait revivre pour la première fois depuis tellement longtemps. Elle était simplement sublime et le cœur de Jack avait envie qu'il l'embrasse fougueusement. Elle sorti avec tout un sac plein. Elle lui sourit et sans qu'ils ne lui disent un mot, elle lui tendit le sac. " J'ai prévu de quoi manger!

- Je vois ça... Dit-il. A toi toute seule tu viens de recréer la faim dans le monde...

- C'n'est pas vrai! Le frappa t'elle avec douceurs, je suis prudente c'est tout. Jorge et toi vous oublié même vos cours dans la salle de cours. Alors je préfère éviter de voir l'un d'entre vous tomber en crise d'hypoglycémie. De plus, vous auriez raté les exams avant même de les commencer, donc en somme j'assure vos avenir a tout les deux.

- Je suis presque sur que si on tombe en crise d'hypoglycémie on peut demander a passer l'exam...

- En redoublant ? Bon d'accords peut être que je suis un peu stresser pour nous trois! Et peut être que ça m'inquiète un peu plus que je le pensais...

- Un peu..? Explosa de rire Jack. Un peu beaucoup... Tout va bien se passer. J'ai réviser, tu as réviser, il as... Essayer! Ça devrait passer pour au moins deux d'entre nous, dit il en souriant.

- C'n'est pas très gentil ça... Le pauvre, il le mérite ce bac! En plus, jusqu'hier il connaissait mieux ces cours que toi. Soupira-t-elle.

- Qui t'as dit que je parler de lui ? Finit jack en agrippant la main de Samia pour la tirer vers la porte. Viens on va être en retard, et ce n'est pas la journée. "

Samia entrait dans le lycée avec une sorte d'appréhension. Elle n'avait pas peur du bac, mais de la fin... La fin de cette année si éprouvante. La fin de cette dure période de combat interne qui n'a cessé de la détruire. Elle avait vécu et apprit plus de choses sur elle qu'elle n'aurait jamais voulut savoir... Aujourd'hui résonnait comme la fin d'un combat... Ce n'était pas la fin de la guerre, elle le savait très bien. Mais c'était une preuve pour elle même qu'elle s'en sortirait. Qu'elle trouverait le moyen de tourner la page. Ces feuilles qu'elle devait remplir, elle voulait pouvoirs les tourner et ne plus jamais les regarder. Elle prit son stylo, attendu le top départ et elle écrivit. Ça ne la défouler pas le moins du monde, mais pour une fois cette année... Ce n'était pas a propos d'elle. Elle n'avait pas besoins justifier ces faits et gestes, que ces arguments. Elle ne vit pas les heures passer, presque autant qu'elle n'avait vu les mois. Elle se sentait vivante. Pas survivante, vivante et a part entière. Elle croyait apercevoir entre deux virgule une pointes d'avenir taché le papier. Elle n'avait pas pris d'effaceurs, elle sourie et se dit qu'elle n'en avait pas besoins. Chaque mot, chaque phrase prenaient un sens différents. Elle disait ce qu'elle devait dire en cachant ce qu'elle voulait dire. Elle s'amusait a cacher des mots dans les phrases selon un code qu'elle avait elle même inventer. Elle s'amusait avec les mots. Elle finit la première épreuves vingt minute avant tout le monde. Elle prit le brouillons, et marqua tout les mots qui lui passer par le crane, Apollinaire, Hugo, corneille, voltaire, oiseaux, espoirs, voler, tout noir, croyance, orteil, brillance de la veille. Quand elle put enfin sortir, elle s'assit sur un banc non loin. Elle prit un paquet de bonbons et regardait autours d'elle. Elle voyait ceux qui pleurs et ceux qui sourie... Ceux qui sont résigner et ceux qui espère encore. Combien auront la moyenne... Celle qui pleure, certainement la blonde effondré que ces amis serrent dans leurs bras... Celui qui est calmement assit et qui mange un cookie en évitant les autres. Le gars énervant qui passe comme si rien ne venait de se passer. Oh et cette fille aux cheveux trop long qui passe son temps a dire qu'elle l'a raté pour attirer l'attention du gars a sa gauche. Quelles bandes de clichés... Puis elle regarda son téléphone, dix huit appels manqués. Et c'est elle qui est stressé. Jorge et jack simultanément neuf fois de suite. Sérieux... Ils ne sont pas amis pour rien ces deux là. Elle leurs envoyât des messages pour leurs dire ou elle était. Elle rigolât en songeant aux clichés qu'elle vivait avec les trois garçons qui l'entouraient, de plus ou moins prés. Trois hommes pour une fille triste... Le cliché même de la demoiselle en détresse. Mais c'était un jeu agréable. Et puis quand deux garçons sur trois ne représentent aucun danger pour le dernier... Une main lui tapa le dos à lui en faire vomir ces poumons. " Je suis presque sur de pas mettre totalement foirer. Fit Jorge en rigolant.

- Combien...?

- Disons que la moyenne, ça passe! Dit il moins sur de lui.

- je suis sûr que tu as était génial. Sourie-t-elle.

- Et moi? Fit une voix derrière eux.

- Catastrophique à coup sûr... Répondit-elle naturellement. Mais est ce vraiment si surprenant?

- Je suis soudainement en manque de confiance... Fit Jack minant la panique.

- Ah ah! Fit-elle exagérant le rire.

- Mais à cotes de toi, je serais toujours un génie! Ajouta le bonhomme en s'écrasant sur le banc manquant de casser quelques planches.

- C'est le français qui te rend aussi lourd! Demanda-t-elle fière de son jeux de mot." Ils explosèrent de rire. Rien au monde ne lui avait fait plus plaisir que ces rires...

Te laisser partir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant