silence...

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Samia n'avait rien dit aux garçons. Elle n'y arrivait pas. Comment peut-on dire a ceux qui vous ont généreusement accueillit chez eux que votre père est peut être le meurtrier de votre mère? Comment les regardait dans les yeux et leurs dirent que vous n'aurait jamais le courage de donner cette feuille à la police...
Peut être l'ont il déjà...
Comment reprendre sa vie quand votre père disparut et le potentiel assassin de votre mère? Et que vous vous ne savez plus vers qui aller? Comment?
C'est ce qu'elle ne comprenait pas, qui la tuée à petit feux. Les garçons, bien que Jorge se sente toujours aussi mal, sentait bien que quelques chose avait changé depuis qu'ils étaient aller dans cette maison. Mais ils mettaient ça sur le compte du choc post-traumatique. Elle mimait les sourires et les rires. Elle se forçait à jouer, a se changer les idées, a regarder les gens...
Les garçons s'amusaient d'un fait plutôt jouissif. La reine Sissi s'était pratiquement fait couper la tête. Une nouvelle du lycée venu d'Espagne avait tout le monde a ces pieds. Et elle était peut être pire que notre ancienne reine Sissi. Elle humiliait, insultait, et envoyait les footeux frappait ceux qu'elle, non seulement considérait comme un danger, mais aussi n'aimait pas. Et à Clarence y avait trop de population pour qu'elle en aime la majorité. Ce qui échappait à Jack et à Jorge c'est comment les footeux, dont il faisait partie de plus en plus partiellement, se laissait piégeait aussi facilement. Évidemment elle avait des vues sur tous les mecs un peu musclé du lycée. Donc de voir deux de ces poulains traîner avec le cas social du lycée... ça lui plaisait pas trop. Enfin, heureusement que les terminal ont autres choses à faire et a pensé. Sinon cela aurait fait bien longtemps que miss Miadelflore se serait défoulé sur Samia. Voici la preuve ultime que les psychopathes sont monnaies courante à la campagne.
Pendant que la figure du lycée se modifier au rythme des humeurs de reine Sissi déchu et miss Miadelflore la psychopathe. Samia songeait à ce qu'elle devait faire. Songeait à la manière dont son père était partie. Elle se demandait s'il ne l'avait jamais aimé.

Un soir, tout le monde était réuni pour le repas traditionnel. Ils parlaient du bac, ils parlaient de l'avenir, ils parlaient de tout. Il parlé de quelque chose de bien plus concret que simplement la vie qui passe. Ils parlaient du temps qui passe plus vite. Le temps, c'est drôle comme une amie hyperactive et triste comme la pluie sur un bonhomme de neige. Il court, il passe et sans vraiment nous écouter, fait ce qu'il veut faire sur notre vie et celle des gens qu'on aime. Le temps était le pire ennemie de Samia. Le temps courrait contre elle. La forcer a supporter la vie qui exister par ci par là et la forcer a vouloir y trouver un soulagement. c'est le temps qui prive Samia de sa mère. C'est le temps qui efface Cynthia de sa mémoire. Mais c'est surtout le temps qui l'oblige a choisir entre sa mère, la justice et son père le mensonge. Mais le temps brouille la justice. Le temps fais croire ou fais voire ce qu'il veut a Samia. Qu'elle justice peut expliquer que la vie continue sans elle. Quelle est la justice qui pourrait donner le droit a Samia d'accuser son père au risque de la perdre? Que vas t'il se produire? évidemment le temps ne justifie jamais rien. Il agis! C'est le temps qui a donner a Samia ce savoir. Le temps a mis dans sa tête la connaissance du passé au point ou elle doit faire ce choix. Le temps est une horrible personne qui vie sa vie sans se soucier des conséquences. Samia ne les écouter plus vraiment, et en les voyant ainsi proche. Les voyant familier et se connaissant. Elle se dit que c'était le moment ou jamais. le temps lui offrait une opportunité. Elle n'aurait pas besoins de le répéter. Ils sont tous réunis là face a elle. Ils sont tous la a vivre leurs vie comme si rien n'était grave. Elle n'aurait qu'a le formulé. Une fois. Rien qu'une fois. Elle entendit Blaire lui demander " Et toi ma chérie, Tu va faire quoi après ?
- ... je ne sais pas trop... [dis le!!]
- Tu as encore du temps! Ne t'en fait pas.
- [le temps... Le temps...] Je pense que mon père a tué ma mère."

Elle balançait cela d'une traite, toute l'assemblée se tut. Un silence s'installa pendant quelques seconde. L'assemblée la regardait avec un mélange d'appréhension et de questionnement. Samia pouvait lire dans leurs esprit, Comment? Pourquoi? Impossible? Samia repris a contre cœur...

- J'ai demandé ces horaires pour savoir a qu'elle heure il était sorti. Et le jour de la mort de maman, elle prit une profonde inspiration, il est sorti a 15h55... sa voix se brisa en millier de petit éclat lorsque ce derniers mots lui brûla la bouche.
- Oh... firent-ils tous presque en canon.
- Je n'ai plus très faim... c'était délicieux bonne nuit..." Elle se leva et atteignit sa chambre. Elle aurait mieux de s'abstenir. Ils allaient lui dire de le dénoncer. Ils devaient lui conseiller cela. En tant que citoyens honnête ils ne pouvaient pas lui conseiller autres choses. Arrivée à son lit, elle pleura toutes les larmes de son corps. Elle s'effondrait sur son lit. Quand une paire de bras et d'épaules arriva tel Batman dans Gotham. Jack la prit dans ces bras et lui murmura " Tu n'es pas toute seule. On va y arrivés! Ensemble!" Mais il ne pouvait pas imaginer ce que cela signifier pour elle. Elle avait l'impression de trahir son père. C'est impossible qu'il l'est tué, il aimer sa mère elle en était certaines. Ainsi, allongée sur son lit dans les bras de Jack. Plongée dans la triste réalité qu'est sa vie... elle laissa le temps passer sous ces yeux ébahis. Elle voulait prendre la bonne décision et elle refusait de faire une chose qui pourrait mettre en péril les bras qui la soutenait depuis le début de cette horrible histoire. Finalement le temps pris la décision d'aller en parlé a l'inspecteur Kellermann dés le lendemain.

Te laisser partir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant