Te laisser partir...

jugement dernier

C'était le grands jour, deux ans après la mort de sa mère... c'est aujourd'hui que ce terminerait définitivement toute l'histoire de sa famille, celle qui avait rythmé Clarence. Elle s'était habiller comme une avocate, un rouge a lèvre sérieux, des yeux très peu habiller... Une jupe plisser, un tailleur cintrée, le colliers de sa mère et des boucles d'oreilles discrète. Elle était prête. Jack et Jorge l'accompagnait dans cette épreuve, eux aussi c'était habiller pour l'occasion. Tous appréhender les prochaines heures comme si la mort venait les cueillir de leurs pleins gré. Mais c'était très loin de tous cela. C'était sensé vibrer de libération. Son père accuser de meurtre allait enfin être juger non coupable et tous aller pouvoir tourner la page une bonne fois pour toutes. En arrivant au tribunal tout trois était anxieux. Personnes n'étaient capable de dire avec précision ce qui aller ce passer une fois entrer dans cette salle. Une fois tous assis, Samia tenait fermement les mains de ces deux camarades comme le plus précieux des bijoux. Elle les maintenait près d'elle, ils étaient la choses la plus importante a ces yeux. Lorsque la joute commença, on faisait venir les derniers "témoins" et des preuves sensé accuser irréfutablement le père de Samia. Elle appréhendait l'instant ou sont père passerai a la barre... elle ne su pour quoi. Quand ils appelèrent sont père a la barre, il sembler anxieux. L'avocat contre son père lui posa des milliers de questions qui semblait futile a Samia. Et plus le temps passait, plus elle serrait les mains de ces amis. Jusqu'à l'instant violent ou elle entendit "Saviez vous que votre fille Samia faisait parti de ces enfant enlever en Italie?". Tout son corps se relâcha soudain, comme si elle venait d'être assommer. Un coup de poignard, puis un larsen. Elle ne ressentait plus que les battements de son cœur qui n'était plus régulier. Un silence de mort régner en elle. Un vide la guettait, un pas de plus et elle plongeait. Elle voulut sortir, elle devait sortir! Elle se leva violemment et, sans ce soucié de ce que les gens autours d'elle pensait, elle sorti les larmes aux cœur et le ventre serrer. Une peur panique, une incompréhension, et puis plus rien... Elle trouva les toilettes sans vraiment savoir comment. Elle se colla a la porte et s'écroula comme si tout le poids du monde pesait sur ces frêles épaules. Elle pleurait toute les larmes de sa douleurs et de son corps. Elle ne supportait plus les surprises, le corps de sa mère qui sort du frigo, son père qui l'as tué, être une enfant kidnapper... Elle ne voulait plus, elle ne pouvait plus! Elle sorti des toilettes, au bout d'un certains temps, pour aller se posait sur un banc juste en face. Elle sentit alors deux mains se poser sur chacune de ces épaules. "Jack, en s'asseyant simultanément de Jorge, demanda: Comment tu te sent?

- Comme une fille qui es passer sous les roue d'un camion de dépannage pour camion... dit elle avec mélancolie.

- Vois ça comme la surprise du chef! dit Jorge, Et puis ton père ne savait pas... En tout cas, le juge ne considère pas cela comme un mobile faute de preuves.

- Mon père est innocent? dit elle en craignant la réponse.

- Cela dépend... Toi, tu en pense quoi? demanda Jorge

- J'aimerais qu'il soit innocent. lâchât elle, Mais depuis le début je ne fais que découvrir des choses qui ne vont pas en sa faveur. Il n'était pas a son travail au moment ou... Et il m'as évité pendant des mois après la mort de Maman. On m'as accuser, et il ne m'as pas défendu. Il me cache des choses depuis le début et il m'as menti...

- J'aimerais qu'il soit innocent, ce serait tellement plus simple. dit Jack en la prenant dans ces bras.

- Qu'est ce qui se passe si je perd le contrôle? dit elle incertaine

- Bas, quoi que tu fasse... commença Jack en lui tendant la main.

- On sera toujours la nous! fini Jorge en tendant sa main de l'autres cotes. "

Elle se leva brusquement. Elle se dirigea vers le tribunal, les garçons sur ces talons. Elle était déterminé et presque sûre d'elle. Une fois arriver, elle vit que l'audience avait était suspendu. Elle chercha l'avocat de son père du regards, elle ne le vit que lui. La colère, la peine, la honte, la confusion, la peur, .... Tout se mélanger, elle s'approchât de lui, en prenant le temps de claquer ces talons haut sur le sol en pierre. Elle le regarda dans les yeux avec une colère sombre et comprit, mais elle posa tout de même la question, "C'est vrai? presque implorant une réponse négative du regards.

- Je n'ai jamais voulut la tué... dit il

- Et ?

- Elle est arrivé ce soir là en hurlant ton prénom. commença t'il le regards humide et larmoyant. Quand elle m'as vue, elle m'as dit qu'on ne pouvais plus te mentir...

- Depuis quand saviez vous? hurla t'elle sentant la colère monté en elle.

- Depuis quelques semaines... dit il honteux. On ne voulais pas changer ta vie, et ils ne voulaient pas te rencontré...

- Tu m'as laisser être accuser a ta place, mais ça je le savait déjà! Tu m'as laissé découvrir ma mère morte dans le frigo, et ça je ne m'en remettrait pas! Tu m'as laissé accepter la mort de ma mère, seule! Tu m'as obliger a choisir d'aller voir un psy toute seule!Tu m'zs obliger a dire des choses dont je douter comme des certitudes pour defendre ton petit cul de menteur! Tu m'as mentis dans les yeux pendant des années a propos de mes origines, de ma vie, de mon passé! Tu m'as mentis dans les yeux! papa! Et tu me laisse le découvrir devant tout ces gens! Tu es un enfoiré, Papa. Un putain d'égoïste.

- non... Je... on ne voulais pas te faire de mal! ajouta t'il tentant de la coupé.

- C'est rater! dit elle froidement.

- Je... il n'eu pas le temps de terminé ça phrase.

- Après l'audience, commença t'elle avec une sensation de trop plein, que tu soit juger coupable ou non... Que tu soit libre ou non... Tu n'aura plus de fille! Elle tourna des talons et laissant ces larmes roulé sur ces joues, elle partie..."

Il tenta vaguement de la retenir, mais Jorge s'interposa et Jack la poursuivi. Elle ne savait pas si c'était bien ou mal, mais elle savait qu'elle ne pourrait jamais passer à autres chose si son père lui mentait comme maintenant. Elle s'en fichait qu'il soit coupable ou bien innocent, elle ne voulait plus rien avoir a faire avec lui. Elle le haïssait. Elle le haïssait si fort... Elle ne voulait plus de surprise, et elle ne pouvait pas avoir confiance en lui à présent. Sa vie n'avait jamais était plus bordélique que maintenant. Elle ne savait plus qui aimer, qui détester, à qui faire confiance, et qui éviter. Elle n'était plus capable de voir la différence entre ces amis, sa famille, son avenir... Elle se sentait tomber. Le pas, elle venait de le faire et le précipices l'avait engloutis.