Direct ça m'a énervé :
Moi : tu pourrais répondre à mon salam.. et je ne sais pas tu devrais mieux savoir que moi toi, vu que tu le vois plus que sa propre famille
Houssam : qu'est ce que tu m'raconte la ? commence même pas
Moi : vas-y je parle pas avec les agressives moi
Houssam : HE TU VEUX QUE JE SOIS VRAIMENT AGRESSIVE ?
WALLAH SA VA PAS TE PLAIRE ALORS FERME LA
J'avoue qu'après ça je me suis senti plutôt mal car des cris ok je suis habitué, mais ceux de houssam sont assez .. effrayant. La porte de l'ascenseur c'est ouverte et je suis sorti en disant :
Moi : sayé maintenant que tes un voyou faut plus te parler
Je pensais qu'il allait s'abtenir étant donné que nous étions dans le couloir et que juste au bout il y avait mon appartement et autant vous dires que les probabilités de croiser quelqu'un dans mon couloir sont énormes, et les murs des HLM sont très fins... Mais non monsieur m'a retenus pour pas dire arraché le bras et m'a dit :
Houssam : je suis un voyou moi ?
Moi : aie putain lâche moi tu m'fais mal.
Houssam : REPOND
Moi : putain houssam wallah arrête on entend tout arrête de crier
Il m'a tiré dans le couloir vers la porte des escaliers et m'a jeté dedans lol
Houssam : JE SUIS UN VOYOU ALORS ?
Moi : bah c'est toi houssam ***** ? non ? le shab à saïd et osman ? Le petit mec de quartier qui est passé des barettes au braquage des bijouteries non ?
Il m'a regardé grave perplexe.
Houssam : tu parle de truc tu sais même pas ce que ça veut dire ?
Moi : c'est ça moi je suis l'idiote toi le voyou
Houssam : qui t'as dit ça ?
Moi : personne
Houssam : QUI T'AS DIT RACONTER SA PUTAIN ?
Moi : c'est un truc de malade tu sais pas parlé sans crier maintenant
Houssam : arrête de jouer la femme avec moi, sayé c'est fini la petite maintenant tu joues la grande
Moi : tu parles de jouer les grands ? moi je casse pas des bijouteries hin
Houssam : bah dis moi l'trou du cul qui t'as raconté ça ?
Moi : mais personne on est dans un quartier ici tout ce voit et tout s'entend, et t'es loin d'être discret
Il s'est longuement frotté le visage. J'avais l'impression que le faite que je le sache ça l'a calmé.
Moi : tu croyais que personne était au courant houssam ? tu crois que ton frère le sait pas ? ta mère ?
Houssam : cherche pas à me donner des leçons teh la morale
Moi : je te donne aucune leçon c'est ta vie pas la mienne
Houssam : putain t'es au courant que c'est pas des trucs que tu dois savoir ça ?
Moi : ça change rien de toute manière
Houssam : oué ta raison je suis un bandit, un voyou une racaille et je m'en balle les couilles de c'que tu penses !
Son ton c'est refroidit ...