Houssam : j'parle trop zeh
Moi : non tranquille
Houssam : wallah quand j'suis comme ça rien que j'parle
J'ai laché un petite souffle en guise de rire et j'ai dis :
Moi : bon houssam j'ai cours demain
Houssam : ok rentre avec noureddine
Moi : oué t'inquiète
Houssam : vas-y salam aleykoum intissar
Moi : aleykoum salam, rentre pas tard
J'ai raccroché... en faisant le rapport à rim, j'angoissais carrément rim me rassurait en me disant que youssef lui disait pareil au début que c'est comme ça qui justifie leurs jalousies zehma, mais moi j'vois pas ça comme ça. J'ai la sensation que houssam me voit que comme une petite soeur qu'il à jamais eu j'voyais pas le truc autrement mais d'après rim et ibtissem (lol finalement rim elle parlait devait ma cousine, j'avais confiance quand même c'était pas une gamine après tout) y avait autres choses.
La journée suivante dans mon bus, la tête collé contre la fenêtre wallen à fond dans le baladeur à rim, houssam tourmenté mes pensées. J'étais jeune et pourtant wallah je comprenais le danger dans le quel je me lançais, mais c'était déjà trop tard je pensais à lui jour et nuit, le matin je me levais en espérant le croiser pour qu'il illumine ma journée, des trucs teh les loveuses. Et j'avais cette sentation la sentation que j'avais eu face à lui quand il était dans un sale état celle d'être lié à lui d'avoir un truc qui nous unis. Puis les problèmes à la casa n'arranger rien avec saïd et l'absence de moha, les darons pétaient les plombs... c'était la hess dans tout ses états, et ce n'était que le début des épreuves, le début d'la misère. Quelques jours après ce long coup de fils avec houssam des nouvelles sont tombés à la cité... et pas des bonnes, des trucs qui nous ont prouvés que notre
misère était profonde.
Pendant plusieurs semaines les grands avaient désertés les halls pour la mosquée, certains rentrés même le soir chez eux, juste le temps de quelques jours. Nadia la mère de Rachid un des potes à houssam et saïd est décédée allah yrahma. Qu'allah lui ouvres les portes du paradis je pense à elle dans chacune des mes dou'as je n'oublie pas cette femme forte qu'elle était petite perle le coeur fissuré mais toujours le visage souriant et le coeur ouvert. A la cité tout le monde savait déjà qu'elle était un peu malade du coeur rachid n'est parlait pas plus que ça, mais on savait très bien qu'elle était malade. Pourtant personne ne s'attendait à ça. C'était une personne qui partait de plus chez nous c'était habituelle la fatigue le stress et la hess emportaient tout avec elles. Mais khalti nadia c'était notre petite protectrice tout le monde la connaissait tout le monde avait déjà été invité à boire un thé chez elle, manger un couscous imprévus. Elle nous avait déjà tous fait une dou'a, son coeur était tout juste énorme soubhanallah.
1 semaines après cette annonce 3 des potes à moha sont tombés, on s'attendaient tous à une lourde peine.
J'avais vu une fois rachid depuis la mort de sa mère allah y rahma et son visage ne présageait rien de bon. Il était maintenant seul avec son père et ses 6 frères et soeurs une grande famille tbarakallah mais destinés à enchaîner les épreuves... on essaie tous de leurs apportés un petit truc malgré cette misère on avait grandit dans un truc de fou une communauté de fou, un truc teh la solidarité on était tous ensemble dans tout, on laissait jamais un frère dehors même si on avait pas de quoi le nourrir...