Mon véritable rêve

Partie 1 : Un iceberg bien étrange

Dans la pénombre de la nuit, le Sunny Go voguait tranquillement sur l'immensité l'océan inconnu. Sous les ordres de Nami, Franky laissait le bateau suivre le courant, il profita de la nuit calme pour faire une révision du bateau. Il prit soin de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller le reste de l'équipage. Le soleil allait bientôt montrer le bout de son nez et le capitaine n'allait pas tarder à se réveiller pour demander au cuistot de lui préparer un repas.

PDV Franky

Franky : (en chuchotant) Bien, il ne me reste plus qu'a vérifié l'état du gouvernail avant le petit déjeuner eheh...

Je monte les escaliers du bateau pour me rendre au gouvernail, je suis rassuré de voir que le Sunny n'a pas vraiment besoin de réparation de grande envergure. Quand j'arrive au gouvernail, un vent frais, soudain vient remplacer l'air ambiant de l'air. Même à moitié cyborg, je suis encore en mesure de sentir ces changements climatiques. Je regarde autour de moi pour essayer de voir d'où vient cette brise, mais le vent ne la porte pas vraiment, c'est comme une brise mais en beaucoup plus froid. A certain endroit, on peut apercevoir des morceaux de glace, je me demande d'où sort ces morceaux de glace, d'après Nami, on ne se dirige pas vers une île hivernal, ou je ne sais quoi. Quand je pose mon regard sur le devant du bateau, un immense iceberg nous fonce dessus et il était dangereusement près, je ne sais même pas comment j'ai fait pour ne pas le voir avant.

Franky : On se réveille et que tout le monde aille à son poste ! Un iceberg nous fonce dessus !

Sans grande surprise, Nami est la première à sortir de son lit.

PDV Nami

Nami : Comment ça, un iceberg ?!

Franky : On attend tes ordres navigatrice !

Nami : Merci de me le rappeler ! Tu pourrais me dire qu'est-ce que tu faisais pour ne pas l'avoir vue ?!

Franky : Umm... Je n'en sais rien.

Nami : Rah et puis laisse tombé ! Attendez quelques secondes que je vois nos possibilités...

Un iceberg ?! Comment c'est possible, la prochaine île semblais prometteuse pour bronzer, et puis depuis quand il eut ce changement d'atmosphère, il fait plus froid qu'hier, c'est sûr. Je monte pour rejoindre Franky et constater de mes propre yeux ce fameux iceberg. Il était deux fois plus gros que le Sunny, c'est impressionnant, mais il ne semble pas naturelle et sa forme n'est pas la seule chose qui tape à l'œil, un navire était embrocher sur l'iceberg, comme s'il en était la cible. Bref, il fallait déjà éviter de percuter cet iceberg avant que le n'on finisse comme ce bateau, il va falloir jouer avec le vent si on veut l'éviter sans dégâts.

Nami : Ouvrez les voiles et barre à tribord !

Au moins, de ce côté, on ne risque rien, même si l'océan ou le vent nous fait des caprices. Mais l'iceberg est tellement près, comment Franky a fait pour ne pas le voir arriver ?!

Sanji ouvre les voiles comme prévue, et on change de direction en sortant du courant qui nous menant vers notre prochaine destination. D'ailleurs, comment se fait-il que ce bout d'iceberg avance à contre-courant ?

Sanji : Nami chériiiie ! Pourquoi faisons-nous une telle manœuvre, nous n'étions pas censés arriver dans la matinée sans devoir changer de direction ??

Nami : Un iceberg sorti de nul part fonce sur nous, quelques minutes de plus et il nous percutait de plein fouet.

Zoro : Un iceberg ? On n'était pas censé se trouver dans une tropical ?

Nami : Si, mais regarde bien l'iceberg, cette forme n'est pas naturelle.

Zoro : Pas faut.

Le jour commence à se lever, on pouvait voir plus clair. Robin, s'approche du bord du bateau pour voir l'iceberg de plus près.

Robin : Tu as raison Nami, cet iceberg n'est pas naturel.

Usopp fini par sortir de son réveil forcé, il n'avait pas du tout l'air paniquer, pourtant, c'est bien le premier à paniquer comme une puce.

Usopp : Et qu'est-ce qui te fait dire ça ?

Robin : Regard l'arrière, la façon dont la glace est disposée, on peut facilement déduire que c'était un tir de haute précision. J'ignore qui a fait ça, mais ce n'est pas un humain, je pencherais plus sur une machine très puissante.

Robin est vraiment une archéologue d'exception, c'est incroyable la façon dont elle tire des conclusions juste en voyant les faits.

Luffy : Tu es sur de ce que tu avances Robin ?

Robin : Oui capitaine, c'est l'œuvre d'une machine, jamais un être humain ne peut être aussi précis que ça et l'hypothèse d'un éventuel fruit du démon est très improbable. Usopp pourrait te confirmer.

Luffy allonge son coup en direction d'Usopp. J'ai beau avoir l'habitude de le voir faire ça, je ne peux pas m'empêcher de sentir un léger malaise, comme si c'était la première fois que je voyais ça. Usopp s'approche du bord avec la tête de Luffy qui le suit de près et de Chopper.

Usopp : Ummm... Oui, Robin a raison. Ça m'étonnerait beaucoup qu'un humain est pu faire ça, même avec un fruit du démon. Une machine semble le plus logique.

Luffy : C'est vraie ?! Ça vous dit d'avoir une machine qui fait ça ??

Chopper : Tu serais prêt à avoir un engin pareil ?! Ça serait génial !

Usopp : Nan, ce n'est pas possible d'installer un engin pareil sur le bateau. La machine doit avoir un appuie en acier pour éviter de bouger et en plus, avec la puissance de tire qu'elle doit avoir, le bateau pourrait facilement chavirer.

Chopper : C'est dommage...

Luffy : Eh Franky, tu pourrais faire quelque chose nan ?

Franky : C'est possible mais il faudrait voir la tête de l'engin. Je pourrais, en effet, faire un système de contre poids, je vais étudier la question si tu veux.

Ils ne vont quand même pas mettre ce genre d'engin sur le Sunny ?!

Luffy : Parfait ! Nami, tu pourrais nous reconduire à l'origine de ce truc ? Il faut absolument qu'on découvre à quoi ressemble cette machine !

Pourquoi je ne suis même plus surprise qu'il me demande de le conduire dans les problèmes ?

Nami : Je suis sous tes ordres alors, oui, je peux, je vais faire de mon mieux pour nous y conduire mais il semblerait que cela provient de l'île vers laquelle on se dirige déjà.

Luffy : Alors on garde le cap ! En route pour cette île !

Ça ne servirait à rien de fuir, de plus, on est déjà en route, dans tous les cas, on est déjà embarquer dans une sale affaire, ça, je le sens bien.