Chapitre 2

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À quatre ans et demi, je ne comprenais pas et pensé que c'était normal que cet homme qui disait, aimer maman vienne le soir tard dans ma chambre posé ses grandes mains chaudes et rêches sur mon corps de petite fille.
Je ne pourrai vous d'écrire ce qu'il me faisait subir tellement, c'était douloureux, mais cette odeur de transpiration et de sexe mélangé quand il me prenait violemment restera a jamais graver en moi pour le restant de mes jours.
Il me faisait mal très mal en bas là ou mon pipi sortait.
Si c'était ça le rôle des parents, moi, je n'en voulais pas.
Plus je grandissais plus les violences qu'il me faisait subir étaient importantes et les cris étouffés que je poussais chaque nuit n'avaient pas l'air d'alerter Elodie ma mère.
Je me souviens de cet autre jour ou en pleine nuit un mal de ventre terrible me réveilla.
En allumant la lumière, je découvrais mon lit inondé de sang et je me mis à ce moment la a crier de terreur, je ne savais pas ce qu'il m'arrivait, j'avais peur de mourir.
Ma mère entra dans ma chambre, elle était dans un état second et arriva ensuite celui que je redoutais par-dessus tout mon bourreau.
En me voyant désemparé elle eu quand même un geste tendre envers moi et me prit dans ses bras en me disant qu'a douze ans, c'était normal d'être réglé que cela voulait dire que je devenais une femme, mais l'horrible bonhomme qui regardait la scène eut vite fait de nous séparer.
_La petite chienne est une femme à présent, c'est bon sa dit-il sournoisement le sourire aux lèvres.
Je ne comprenais pas pourquoi il disait cela, je n'étais pas une chienne, mais seulement une petite fille qui avait grandi trop vite.
Ma mère l'écouté sans broncher, elle pleuré certes, mais aucune autre réaction de sa part pas même lorsqu'il s'approcha de moi pour essuyer brutalement avec un gant mes parties intimes ensanglantées.
Il m'enfila une culotte propre et une sorte de petite couche un peu comme celle des bébés, mais en beaucoup plus petit.
Je le laisser faire sans rien dire, j'étais tétanisé face à lui.
Une fois qu'il est eut fini, il s'approcha de ma mère et lui envoya une énorme gifle en plein visage.
Elle était tellement forte que ma mère avait la trace de sa main sur sa joue rougie.
Il sorti furieux, nous laissant seule un instant dans la chambre.
_Tu sais cloé,s'il est dur avec nous c'est parce qu'il nous aiment me dit-elle en bégayant,
Son haleine puait l'alcool s'était déguelasse.
_Non, ce n'est pas de l'amour,il ne nous aimes pas c'est un monstre elodie c'est un monstre je te dis.
_Bon, ça suffit je te met un drap et tu te couche sinon tu va encore me l'énerver.
Ma mère encore tremblante déposa un drap propre sur le drap souillé,l'homme revint dans la chambre la cherché et ils retournèrent se coucher sans se soucier de moi.   

Enfance briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant