Chapitre 22

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Les jours passés et nous étions tous très inquiet pour ma grand-mére.
Comment vivait-elle la detention ,était-elle en bonne santé ,tant de question sans réponse.
Nous ne l'avions pas revu depuis le jour fatidique ou elle avait oter la vie a mon bourreau et j'étais totalement effrayé par ce qui aller lui arrivé dans cet endroit hostile.
Bien que soulagé que le monstre ne sois plus de ce monde, je m'en voulais, car pour moi, c'était de ma faute si elle avait agi de la sorte.
J'étais coupable d'avoir été la victime de cet horrible monstre et si je n'avais pas tout fait pour lui échapper,il y a plus de neuf ans ma grand-mére serait bien tranquillement chez elle en ce moment même.
Tout cela était insupportable pour moi.
Le jour de la visite était arrivé et mon père et moi, nous rendions à la maison d'arrêt des Beaumettes à Marseille.
Nous n'étions pas autoriser a passer en même temps,ni le même jour .
Mon père resta donc à l'extérieur à m'attendre dans la voiture.
Lorsque ma grand-mère me vit, elle eu l'air très heureux.
Mais très vite elle fit profil bas, elle ne me regardait pas dans les yeux.
Elle savait le mal qu'elle m'avait fait en agissant de la sorte.
Mais je ne pouvais pas lui en vouloir, c'était l'une des personnes qui m'aimait le plus au monde et ce geste aussi fou soit-il s'étais pour moi qu'elle l'avait fait enfin, c'est ce que je croyais.
Elle me raconta trés vite sa version de l'histoire et a ce que je comprenais dans tout ça ,c'est qu'elle avait agit d'aprés ses dires en etat de legitime defense.
Les larmes coulaient sur mes joues et je n'arrivais pas a les contrôler.
Plus, elle me parler plus mon Coeur se serrer au point de ne plus pouvoir respirer.
L'angoisse faisait son fichu travail et me rendait malade comme un chien.
Je ne me sentais vraiment pas très bien, une soudaine baisse de tension me fit tourner la tête.
Mon corps ne répondait plus ,j'etais vraiment sur le point de tourné de l'oeil.
Ma grand-mére cria au maton de venir immédiatement.
En me voyant celui-ci m'aida pour me relever et me conduisit dans une salle à l'entrée de la maison d'arrêt où il fit intervenir le médecin de la prison.
Il fit prévenir mon père qui était toujours a l'extérieur en train de m'attendre.
Une fois que le médecin m'eut ausculté, ils me laissèrent sortir.
Mon père qui était inquiet fut soulager de me voir et moi la seule chose qui me preoccupait etait l'histoire que ma grand-mére m'avait raconté.
J'avais confiance en elle à cent pour-cent et je savais, mon Coeur savait qu'elle ne me disait que la stricte vérité et il fallait coûter que coûte que son avocat fasse éclater cette putain de vérité.
Je raconté a mon père ce que ma grand-mère m'avait dit dans les moindres détails, il m'écoutait attentivement sans m'interrompre.
Il était lui aussi soucieux de ce qui allait lui arrivé et me fit la promesse qu'elle ne finirait pas ses jours en prison et qu'elle serait bientôt de retour parmi nous.

Enfance briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant