Chapitre 20

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Hier après l'annonce de ma grand-mère sur le monstre, je suis parti faire un footing de dix kilomètres histoire de me calmer, mais je dois dire que ce matin, je suis un peu sur les rotules.
Malgré la douleur et tout ce qui se passait dans ma vie en ce moment, j'étais d'excellente humeur.
La maison était vide, mon père étant au travail et ma grand-mère en ville, Jordan me proposa de le rejoindre au lit pour un petit câlin.
Il ne travailler pas aujourd'hui et des idées coquine lui traverser l'esprit.
J'avançai vers lui en dandinant, l'air malicieux.
Jordan me regardait amoureusement dans les yeux.
On se regarda un moment dans un silence total et je ressentais l'amour qu'il éprouvait a mon égard.
Jordan se leva du lit et m'attira contre lui.
L'odeur de son parfum était enivrante et il était tellement sexy dans son jean et son tee-shirt noir qui laissait apparaître son torse si bien dessiné.
J'avais tant de chance de l'avoir a mes côtés, c'était mon homme et rien ni personne ne pourrait détruire ce lien d'amour qui nous unissait.
Jordan m'embrassa passionnément puis il me mordilla la lèvre et introduisit à nouveau sa langue dans ma bouche.
Il me souleva et m'allongea sur le lit.
Il me caressa un long moment puis posa ses mains sur mes hanches,il me pénètra en poussant de petit rale.
Il me tenait encore plus fermement les hanches pour m'assener ses coups de boutoir.
Nous étions tellement excités qu'il ne nous fallu que quelques minutes pour jouir en osmose et se rendormir comme deux gros bébés.
À notre réveil, la maison était toujours aussi vide et cela m'étonné car ma grand-mere ne s'absenter que trés rarement et surtout jamais aussi longtemps.
J'essayé de la joindre sur son téléphone portable, mais en vain.
Les heures passées et toujours aucune nouvelle d'elle, cela devenait inquiétant.
En dernier recours, j'appelais mon père sur son lieu de travail car lui non plus ne répondait pas sur son téléphone sans doute ètait-il avec un client.
Une standardiste me demanda d'attendre quelques secondes.
La mélodie d'attente était mélancolique, de quoi se tirer une balle dans la tête.
Je n'eu pas trop à attendre, mon père me répondit très vite.
Ils fut surpris et inquiet que je l'appelle.
Après lui avoir expliqué le pourquoi de ce coup de téléphone,il me dit qu'il n'a aucune idée de l'endroit ou ma grand-mère pouvait bien ce trouver.
Il me demanda d'attendre encore un peu avant d'alerter la cavalerie, ma grand-mère avait peut-être besoin de se retrouver toute seule et elle rentrerait tôt ou tard a la maison.
À la tombée de la nuit, lorsque mon père rentra de son travail, ma grand-mère n'était toujours pas rentrée.
Jordan voyant mon état d'anxieté essayait de me rassurer comme il le pouvait.
Mais rien ni faisait, j'avais peur qu'il lui soit arriver quelques chose de mal.
Vers vingt heures, on sonna a la porte.
En ouvrant, je découvrais une horde de gendarme, la panique commença à m'envahir.
Mon père se plaça devant moi et entama la discussion avec le plus agé d'entre eux.
Je l'ai regardé de plus en plus inquiète pour ma grand-mère.
Les autres gendarmes fouillaient la maison de fond en comble a la recherche de je ne sais quoi.
Leur discussion terminée ,mon père vint nous rejoindre au salon et la, il m'annonça une chose qui me laissa sur le cul,ma grand-mère venait d'être interpellé par la gendarmerie pour homicide volontaire sur la personne de Jessie pirez.
Mon bourreau n'était plus et c'est ma grand-mère qui l'avait fait passer a trépas.

Enfance briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant