Chapitre 24

32 3 0
                                    

Avant tout il nous fallait connaître le nom du témoin et connaissant le monstre,il devait s'agir d'une de ses connaissances proches que je voyais venir a la maison.
Une de ses personnes qui venait se droguer et boire avec ma mère et le monstre ,une de ses personnes a cause de qui je devais passer des heures enfermer dans ma chambre pour ne pas qu'ils ne me vois.
Mais comme tous les enfants, j'étais de nature curieuse et je ne manquais pas une occasion pour les espionner, du coup, j'avais leur visage et leurs noms en tête enfin, il allait me falloir faire un retour en arrière pour essayer de me les remémorer.
Cela aller être dur de repenser au passer ,mais que ne ferais-je pas par amour pour ma grand-mere.
Mais un coup de pouce du destin nous y aida.
En effet le gendarme qui s'occuper de nous fut appeler par un de ses collègues et par chance ,il oublia de retirer le dossier qui était poser grand-ouvert sur son bureau.
De ma chaise ,je voyais parfaitement la photo du témoin,mais surtout, je voyais très clairement le nom qui était inscrit dessus,alphonso Gonzales dit pépé gonzo,surnom qui lui était donné dans la rue.
J'essayé de retenir l'adresse tant bien que mal.
Le gendarme revint trés vite ,mais je me demandais s'il n'avait pas fait exprés d'oublier le dossier sur son bureau car qu'en il revint ,il le referma et le rangea tranquillement dans le placard qui se trouvé derriere lui.
Une fois à l'extérieur de la gendarmerie ,je m'empressai de trouver un stylo et un bout de papier dans la boite a gant de la voiture pour y écrire l'adresse de Gonzales.
Mon père était un peu pressé, il voulait allait s'en attendre a l'adresse indiqué, mais je ne savais pas comment approcher ce témoin sans qu'il ne prenne peur.
Mon père était très remonter et près a en découdre avec ce témoin pas très fiable a premiere vu.
À vrai dire, je n'avais aucun moyen d'approche,a par peut-être celui d'y aller au culot et de lui mettre la pression.
Après tout, s'il était sur place avec le monstre,il devait bien savoir pourquoi, ils étaient là.
Mon bourreau venait de sortir de taule, en tant qu'ami de celui-ci, il devait bien savoir pourquoi il avait été condamné et incarcéré durant toute ses années.
Plus j'y penser, plus je me disais que mon père n'avait sûrement pas tort et qu'après tout peut-être que sous l'effet de la surprise, le témoin avouerai plus facilement.
Jordan m'attendait depuis plusieurs heures à la maison, il était temps pour nous d'aller le retrouvé.
Mon estomac crié famine,je n'avais guère mangé ses derniers jours ,mais l'espoir de pouvoir sortir ma chère grand-mère de cet enfer me redonna l'appétit.
Il me fallait me reposer un peu, j'étais épuisé par cette matinée passé à la gendarmerie et à voir sa tête, je pense que mon père l'était aussi.
Quelques heures de repos allé nous faire le plus grand bien avant d'aller nous jeter dans la gueule du loup et lui faire cracher le morceau au sujet de mon bourreau.
Je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre avec cette personne ,serait-il cooperatif ,avouerait-il facilement ça je ne le savais pas.

Enfance briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant