Chapitre 27

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Après être resté plusieurs heures aux urgences, nous rentrions directement à la maison.
Je ne pouvais cesser de penser au dernier événements survenu dans nos vies et j'étais partagé entre deux sentiments ,la joie de devenir maman et la peur de ne plus revoir ma grand-mere qu'aux travers de barreaux.
Le témoin Gonzales n'avait pas parlé et cela me rendait malade comme un chien.
Jordan toujours aussi attentionné nous proposa de faire a dîner, mais mon père voyant que nous étions tous exténuer de cette journée, opta pour que l'on se fasse livrer des pizzas.
Ce que je trouvé être une trés bonne idée, cela me permettrais d'aller au plus vite me coucher.
Je mangeais deux parts de pizza et sans demander mon reste, je montais à l'étage prendre un bon bain pour me relaxer et me préparer pour me mettre au lit.
Une fois douché et en pyjama ,je redescendais pour leur souhaitais bonne nuit et je montais me couchée en laissant les deux hommes de ma vie devant leur film d'horreur.
La nuit fut assez paisible pour la première fois depuis des mois, aucun cauchemar n'était venu me prendre aux tripes.
Le lendemain matin, je me lever aux aurores et de très bonne humeur.
La nuit avait été réparatrice, je me sentais en pleine forme.
Le silence régné dans la maison, les hommes dormait toujours à poings fermés.
Je descendais à la cuisine prendre un bon petit déjeuné copieux.
Une fois que j'eu fini de déjeuner et de ranger mon bazar, je filais au salon mettre un peu d'ordre.
Sur la table basse du salon, était posée mon échographie, je ne pus m'empêcher de la regarder à nouveau pour me rassurer et m'assurer que je n'avais pas rêvé cet heureux événement que j'attendais avec une grande impatience et qui allait faire de moi la plus heureuse des mamans.
J'étais dans mes pensais lorsque la sonnerie du téléphone se mit à retentir.
Je me précipiter pour répondre avec la peur au ventre.
Je me faisais du souci pour ma grand-mère, elle n'était pas toute jeune et je craignais qu'elle ne supporte pas son enfermement et qu'un jour l'on reçoivent un mauvais coup de téléphone.
Finalement, je mettais mis un coup de pression pour rien, car ce n'était que le gendarme que nous avions vu la veille.
Il me demanda gentiment s'il nous etaient possible a mon père et moi de nous rendre a nouveau a la gendarmerie de marseille ou il nous attendez pour discuter selon lui d'une chose assez importante.
Il raccrocha en me laissant dans le flou le plus total.
Je n'avais pas la moindre idée de quoi ,il voulait nous parler.
Je montais sans attendre réveillé mon père qui n'était plus retourné vivre chez lui depuis l'incarcération de ma grand-mère.
Il se faisait bien trop de souci pour moi.
Mon père se leva sans rechigner.
Il se prépara en quatrième vitesse, avala un café noir en guise de petit-déjeuner, prit les clefs de sa voiture et en moins de quinze minutes, nous étions en route pour la gendarmerie.
Quand, nous arrivâmes sur place, le gendarme avait du s'absenter un moment.
Le gendarme de l'accueil , nous fis accompagné dans une pièce réservé a cet effet et nous demanda d'attendre le retour de son chef.
Mon père était un peu énervé d'avoir dû se lever si tôt pour venir et résultat attendre pendant on ne sait combien de temps.
En me rendant a la machine a café , je tomber nez-a-nez avec Gonzales et a voir sa tête, il n'avait pas l'air enchanté de me voir.
Mon père me fit remarquer qu'il avait des menottes au poignet et ça pour une surprise s'en était une.

Enfance briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant