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2 jours après, 20h15, Manchester

Maman vient tout juste de me déposer chez Noah puisqu'elle devait sortir avec papa pour un rendez-vous d'affaires. Évidemment, elle ne voulait pas me laisser seule aujourd'hui, pensant encore que je suis une adolescente qui ne peut pas se gérer seule. Résultat, me voici sur le pallier des Centineo. M'enfin, ça me dérange pas tant que ça.

Je sonnai avant d'être accueilli par le grand brun.
Celui-ci, munir de son éternel sourire en coin, enroula vivement ses bras musclés autour de ma taille avant de déposer légèrement ses lippes sur les miennes.

Je me mis à bouder car il avait quitté mes lèvres beaucoup trop rapidement à mon goût. Il émit un petit ricanement ce qui me fit rire puis sourire.

« - Impatiente la naine.

- Appelles-moi encore la naine et je te jure que tu verras flou.

- Pas besoin d'être agressive bébé ricane-t-il. »

Il m'embrassa plus longuement et s'écarta de la porte afin de me laisser entrer.

Le bruit de la télé se faisait entendre. Les parents du brun étaient allongés sur le grand canapé en amoureux. Qu'ils étaient mignons.

Je leur fit rapidement la bise avant que le brun et moi-même partions vers le couloir qui mène à sa chambre.

À ma grande surprise, Noah me souleva et me balança sur son lit telle une vulgaire chaussette, j'ai crié comme une folle.

« - T'es complètement malade! ricanai-je.

- Je sais il sauta sur moi.

- Noah t'es pas en porcelaine, tu m'étouffes.

- M'en fou, je pinçai ses fesses, Mais aïe! Ça fait mal!

- Bien fait, tu le mérites je tirai la langue.

Il changea totalement de sujet:

- Je viens d'avoir une idée de son, tu vas kiffer.

- Vas-y, j'écoute.

- Okay, okay, okay. Charlie, dès que je te vois j'veux faire des acrobaties. Tu me rends fou, tu me rends flou comme pas permis. Dès que je vois tes fesses je suis à la renverse mes pensées deviennent perverses *boum splach". Après j'ai pas de suite donc bon je pleurais de rire.

- Comment te dire que tu es tactiquement, techniquement, musicalement, nul? C'était pété ton truc j'arrivais plus à respirer tellement j'étais morte de rire.

- Ça m'a prit du temps à trouver tout ça la naine. Pff tu vois même pas le vrai talent. Je suis déçu.

- Bon je t'applaudis juste pour avoir tenter de trouver des rimes.

- Ça vaut pas un bisou? dit-il en faisant la moue.

- Malheureusement, non.

- Si ça vaut un bisou il se ruait sur moi, provoquant mes éclats de rire.

- D'accord, d'accord, voilà ton bisou, mes lèvres se posaient délicatement sur les siennes, maintenant bouges, j'étouffe vraiment. »

Il roula sur le côté puis se releva.

« Tu veux des bonbons? je secouai positivement la tête Okay, je t'apporte ça »

Il sortit de sa chambre et me laissa seul dans sa grande chambre.

Je fis un peu le tour, et trouvai rien de très intéressant.

En voulant repartir sur son lit, je tombai sur un petit journal posé sur un coin de sa table de chevet.

Je me rapprochai et vu qu'il y avait inscrit dessus "INTIME".

Est-ce-que je l'ouvre?

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le chapitre le plus pété😂 mais bon j'ai un peu gole-ri en l'écrivant

Noah et Charlie, vous en pensez quoi?

à samedi ou dimanche ;)



africa | centineo/bakerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant