mon mariage forcé à l africaine

partie1

Allonger sur mon lit à pleurer,j'avais toutes les émotions du monde mélangées en moi, toutes ces années a etouffer ce que je ressentais cette douleur enfuis au fond de moi venait d'exploser, je ne savais plus rien de ce que je deviendrai mais je ne voulais pas les affrontées ni maintenant ni jamais que dirai-je, moi qui suis une pleurnicharde de nature ? Je n'avais pas ce mental de fer de ma mère, elle qui pouvait tout affronté c'était mon héroïne .se battre pour ces rêves disait-elle?Moi qui ai passé ma vie à me préoccuper du bien être des autres, à leur bonheur , j'en ai fini par oublier le mien.je ne sais pas à quoi ça ressemble, le bonheur.Pourquoi mon père m'avait il abandonnée? Je ne me souviens de lui que vaguement car il est partie quand j'avais 3ans la seule illustration que je me suis faite de lui et celle d'un homme au pull rayé.le plus humiliant était quand ma tante me demandait si je connaissais mon père, cette situation à toujours était pour moi une infirmité car elle laissait passé ma mère pour une pute.depuis mes 5ans ma vie n'a été que malheurs et hontes, ces bleus sur mon corps, me détruisent aussi bien l'extérieur que l'intérieur.
Ma tante avait raison, je ne suis qu'une bonne à rien , personne ne m'aime, j'aurais due mourir dans le ventre de ma mère...
Les larmes s'accentuent , l'envie de vivre n'est plus en moi. je veux mourir.
Plus rien ne me retient .

Je fais les cents pas et puis , au bout de dix minutes je prends mon courage à deux mains , m'agenouille et commence une dernière prière à Dieu pour qu'il me pardonne , j'étais arriver à la fin de mes forces. Ce sont eux qui me tueront ! En me levant, je Me dirige vers la table de nuit et prend un couteau mais des bruits de pas se dirigent vers ma chambre.
Puis quelqu'un cogne à ma porte.

...: Amina ouvre moi cette porte sinon je la défonce.

C'était David je n'osais pas répondre

Moi : ..........

David: je sais que tu es là sale pute! Tu vas voir ce que je vais te faire.

Il commencais à cogner la porte avec force , je crois qu'il voulait la défoncer.

Je serre le couteau entre mes mains je ferme les yeux , une dernière larme coule sur ma joue et ........

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[Franchise balcon]
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Bienvenue dans ma chronique.

"Mon mariage forcé à L'Africaine"