Another World.

Chapitre 23.

Nouveau chapitre plein de surprise haha. J'attends vos retour avec impatience. Bisous du fond de mon petit coeur.🖤🖤

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-ça veut dire oui ?! Oh mon dieu tu as embrassé mon frère, ria isabelle derrière qui le portail venait de se refermer.

-ça veut dire, on en parle plus.

-et plus d'une fois en plus! J'adore ce monde, dit Izzy.

-ou est mon parchemin !?

Les deux jeunes filles se retournèrent vers la voix de la reine des fées et par la même occasion, le reste du groupe.

-elle m'avait pas manquer celle-là, dit Sasha a Izzy.

-alors ou est-il ?

-ou sont les choses que vous nous avez promise ? Demanda Sasha.

-en ce qui concerne Valentin, tout est arranger avec vos petits amis, dit-elle sur un ton condescendant.

-et en ce qui concerne le collier de Sasha ? demanda Clary.

La reine jeta un rapide coup d'œil à la jeune shadowhunter.

-écoutez, je suis la seule à savoir ou est votre feuille de papier, maintenant c'est donnant-donnant.

-venez, allons discuter plus loin.

Elles s'écartèrent toute les deux du groupe et de toute oreille indiscrète. Sasha remercia le ciel de lui avoir rendue ses vêtements, car la température avait considérablement chuté.

-montrez-moi votre collier.

Sasha tendit son précieux à la reine qui le détailla pendant 5 bonne minutes puis le tendit de nouveau à Sasha.

-savez-vous, jeune chasseuse, ce qu'est un opere gemmario ?

-non mais je suppose que vous allez me le dire, répondit Sasha.

-aujourd'hui, on les appelle grossièrement bijoutier ou lapidaire. A une autre époque, un opere gemmario était un magicien. Celui-ci prenait de minuscule fragment de sa magie et la taillait dans des pierres précieuses.

-pourquoi parlez-vous de lui au passé ?

-car ils n'en existent plus car ils n'avaient plus de peuple à aider.

Sasha resta silencieuse ce qui voulait dire qu'elle attendait la suite.

-le peuple dont je vais te parler s'appelait aequalis. A l'époque, ils protégeaient la terre, maintenaient l'équilibre entre le bien et le mal. C'étaient des personnes extrêmement puissantes et empathiques, ce qui est dommage pour eux, dit simplement la fée.

-pourquoi ça ?

-car ils étaient tellement bon, tellement généreux que ça les a rongés de l'intérieur, ils voulaient toujours le meilleurs pour tout le monde. Ce peuple avait un grand pouvoir, celui de contrôler les éléments.

-vraiment, ça a existé ?

-bien sûr ! Chacun avait sa spécialité de base, mais comme je te l'ai dit, grâce aux pierres que confectionnait le magicien, certains d'entre eux ont évolués, ainsi le peuple pouvait acquérir plus de connaissance et par déduction plus de pouvoir.

-pourquoi ce peuple n'existe plus alors ? Et pourquoi le magicien ne pouvait pas donner des pierres a tout le monde.

-jeune fille, je ne suis pas là pour approfondir, je vous ai donner une piste à vous de découvrir la suite.

Sasha voulut répliquer mais la reine la devança.

-ce que je peux vous dire, c'est que votre pierre est une topaze bleue. Si mes souvenir son bon, c'est une amulette protectrice. Elle vous protège et protège les autres de vous également.

Sasha toucha son collier du bout des doigts.

-j'ai tenue parole, à vous.

Sasha retourna près de son groupe d'amis, suivit de près par la reine et sa petite armée.

-Alexander !

Celui-ci se retourna et fronça les sourcils.

-Alexander ?! depuis quand tu...

-j'ai besoin de ta veste.

-pourquoi tu...

-je t'en pose moi des questions ? Non ! Alors donne-moi ta veste !

C'est avec réticence qu'il enleva sa veste et la donna à Sasha. Elle fouilla dans les poches et pria intérieurement que le parchemin y soit. Elle n'avait pas voulu prendre le risque de perdre le parchemin dans ce monde alors, elle l'avait caché dans un endroit qu'elle pensait sur, un endroit qui existait dans les deux mondes...

-tenez, dit Sasha en sortant le parchemin de la poche du chasseur, j'ai été ravie de faire affaire avec vous.

-j'espère pouvoir compter sur vous dans le futur, dit la reine des fées.

-nous l'espérons aussi, ajouta Jace.

C'est sur ses dernière parole que les deux groupe prirent leur chemin respectif, dans le plus grand des silence du coter de nos chasseurs.