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En me tournant vers le mur, je me rappela des sensations plaisantes lorsqu'il m'avait frollé le ventre de ces doigts fins, les divins touché de l'Inconnu me brouiller l'esprit. L'alcool affluait dans mon sang, me faisant faire des choses contre nature.

J'étais véritablement entrain de me touché, attendant avec un manque désagréable l'Inconnu. L'habituelle silence que renfermait ma chambre se brisé petit à petit en laissant entendre mes soupires d'aises et mes plaintes. J'avais besoin qu'il soit là, je manquais de sa douceur, de sa tendresse.

Je n'allais pas jusqu'en dessous de la ceinture, non, je ne faisais que frôler dans des endroits comme le torse, le coup. Ses partis où ma peau est sensible, tout ce que je souhaitais qu'il touche sans en abusé. Imaginant que ce soit ces mains au lieu des miennes. Ce n'était pas lui le malade mental, mais bien moi.

Je transpirais. J'avais besoin de lui, j'esperais qu'il arrive rapidement, qu'il se colle à mon dos comme il a l'habitude de le faire. Je ne pouvais plus attendre, j'étais devenu incontrôlable. L'alcool m'avait gagné.

J'avais touché un point un peu plus sensible sans faire attention avec mon coude, se qui me fit plissé les yeux essayant de n'émettre aucuns sons. Serrant mes cuisses entrent elles. Moi qui ne voulait pas aller Ici, à cette Endroit. Je ne pouvais plus arrêter mes gestes. Non, il fallait que je sois raisonnable !

La porte s'entre-ouvrit me faisant arrêté les tortures que je m'infligeais sur le bas du ventre, et sur mes clavicules. Je n'avais pas céder. Il semblait s'être arrêter dans son chemin. J'étais en caleçon, en caleçon ! Mais cela ne m'importer peu à cette instant, ça m'excité plus qu'autre choses qu'il me voit dans cette tenue, plus qu'intime.

Avec lenteur, et un semblant d'hésitation. L'inconnu monta sur le lit, et se posta derrière moi, sans aucun contacts. Moi qui ne voulait que ça, je me retrouvais dans une bien belle situation.


« S-S'il te plait. Lâchais-je innaudiblement. La sueur roulé sur ma peau rosés alors que j'essayais de gardé mon calme. » Il ne devait pas avoir compris car il ne s'approcha visiblement pas, ma plainte avait été si étouffé en même temps. Ce n'était pas la premier fois que je ne tenais pas en place sans lui, mais là, il était juste derrière. Fait quelques choses !


Une idée complètement irréaliste me traversa l'esprit. Mais mon cerveau étant en état de dysfonctionnement la trouvait plus que plaisante. Il me fallait un contact avec lui, n'importe lequel du moment que l'on se touche.


« J'ai les yeux fermés, je-je me retourne.
Dis-je dans un brin d'hésitation chuchotant, sous le silence de la pièce. » Lui ne répondit pas, s'avançant un peu plus vers moi, sans un quelconque contact.


J'entrepris lentement de me retourné vers lui, c'était la toute première fois, et je ne savais plus ou me mettre. Je ne déniât pas ouvrir les yeux, il ne le fallait pas. Bien que je n'étais pas sobre, j'avais toujours la peur de l'Inconnu. Je sais qu'il ne veux pas me faire du mal, mais j'avais toujours cette crainte, et si j'ouvrais les yeux j'avais peur de la suite des événements.


« T-touches-moi. »


J'étais véritablement entrain de lui demander de me touché, d'apporter un contact.
Sous ma quémande, il agrippa avec lenteur ma hanche pour me poussé doucement vers lui. Je déglutina. C'était étrange de l'avoir maintenant en face de moi, ça me faisait tout drôle. Mais j'étais heureux qu'il ait posé ses mains enfin sur moi. Il passa son bras sous ma tête, venant me collé à son torse robuste. Je me surpris à respiré fortement, ça me plaisait qu'il soit là, proche de moi.

Il commença ces caresses avec douceur, comme à son habitude, mon visage dans le creux de son coup. Son touché était indescriptible tellement il m'était plaisant, sa main se baladait dans mes cheveux tandis que l'autre avait pris possession du bas de mon dos, s'amusant à retracé ma colonne vertébrale, et dessiner des formes de ces doigts. Je tremblais de plaisir, jamais un tel touché m'avait rendu aussi euphorique.

Je repensa vaguement aux filles avec qui j'avais déjà couché, et jamais, j'avais été autant dorloté. C'était inimaginable. Un gars, un inconnu, me donnait un tel plaisir à lui seul. Aucunes d'entres elles m'avaient fait sentir un manque comme celui que me procuré l'Inconnu lorsqu'il n'était pas là à me faire frisonné sous ses mains.

Je passa avec hésitation mes mains autour de sa taille fine, mais robuste. Je caressa sans grande expérience les environs, passant directement mes longues mains au dessous de son t-shirt. C'était la toute première fois que je la décrypté. J'étais réellement entrain de vouloir un contact. Lui ne recevait jamais en fin de compte, c'était moi et uniquement moi qui subissait ces tendresses.

Je voulais que cela change.

Étrangement il n'avait pas grande réaction à mon touché, enfin, c'est ce que je pensais. Les yeux fermé je ne pouvais ni voir, ni savoir ce que cela lui procuré. En réalité j'avais tellement fixé sur son touché à lui, qu'autour de ça je ne voyais plus rien.

Soudain je ne sentis plus sa main dans mon dos. Il l'avait posé sur ma joue. J'étais surpris ne m'y attendant pas, et arrêtant mes gestes. Il s'attarda à la caressé avec lenteur pendant de longue minutes. Il descendu par la suite dans mon coup. Un frisson. Je me retenais tellement, lâchant d'inaudible soupires relevant la tête pour qu'il continue.

Je commença peu à peu à m'endormir dû à la tendresse de ces gestes, et à sa respiration calme sur le haut du crâne.

JAMAIS VU - YOONSEOK Où les histoires vivent. Découvrez maintenant