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Après un grand moment silencieux et doux, la pluie étant toujours la source de l'univers tendre et bienveillant qui planait dans ma petite chambre étudiante, Yoongi ferma les yeux.
« Je n'aurais pas du forcer la main Hoseok.
- D-De quoi tu parles ? Je déglutina, tournant rapidement mon visage en sa direction, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire. » Mon cerveau m'indiquait nos mains entrelacé jusqu'à que je comprenne, que ce qu'il disait, était une métaphore.
Il rouvrit ses yeux sur le plafond blanc.
« Les premieres nuits, tu ne voulais pas, c'était compréhensible. Tu m'aidais sans le savoir, tu te laissais faire. Je suis resté, j'ai essayé. J'ai essayé de te faire m'apprécié... »
Je restais scotché à son visage de profil, au trait parfait et à la peau clair même avec le peu de luminosité. Sa voix, je pouvais la décrire encore, elle me faisait de l'effet, le même qu'au premier mot qu'il m'avait prononcé. Min Yoongi avait une voix, addictive. Un grin puissant, rauque, doux dans ses chuchotements.
J'adorais. Absolument tout de ce qu'il rejetait.
« Mais je- Essayais-je de m'exprimer dans mon chuchotement presque inaudible.
- Je ne suis pas rentrée dans ta chambre sans te connaitre. Lâcha-t-il sous un élan qui était sincère.
- Mais tu as dit tout à l'heure-
- J'ai dit ça parce que, ça me faisait me sentir mal. Ça me gênais d'en parler. »
Sa main libre venu frotté son splendide visage nerveusement.
« Les gens ici me détestent, personne ne m'approche ou n'ose m'adresser la parole. Alors quand j'ai vu que tu t'intéressais à moi, que tu t'arrêtais pour m'écouter jouer du piano. Enfin, je- J'ai pas vraiment d'autre mots pour décrire ça. Ce n'est peut-être que de petit gestes pour toi...»
« Tu doit réellement me prendre pour un fou. Soupira-t-il, apportant un silence où je ne cessais de le fixer. Tu n'avais pas l'air de t'intéressais aux rumeurs. Tu avais cette mani de passer tout tes midis dans ce couloir, sans me remarquer. Tu-
- Je t'apprécies Yoongi, plus que ce que tu crois. Un silence se fit. Je n'ai jamais pu vraiment te le montré d'ailleurs. J'avais réussit à dire ces mots dans une confiance qui m'étonnais, mais ça sans le regardais. Je sais, au début je- Mais tu sais mh, j'ai commencé à-à apprécié que tu sois proche de moi. Repris-je rapidement. »
Je le sentais me fixer, ça me mettais dans tout mes états.
« M-Moi aussi Yoongi. Je voulais pouvoir te serrer, Je me releva doucement me mettant sur le ventre et m'appuyant sur mes coudes, nos mains toujours liés. Entre chaque verbes j'instaurais un silence, regardant nos mains entrelacé. te regarder, te sentir, te toucher. »
Je releva mon visage vers lui, le regardant fixement, mes iris dans les siennes. J'essayais de lui montré que même si je n'avais pas apprécié ce geste au début, traumatisant, il faut se le dire. Je savais à présent ces intentions, sa personne. Et même sans ça, même si je ne le voyais pas en arrière de moi, même si je ne le connaissais pas, ces gestes et ces mots doux m'avait prouvé le contraire.
Tout m'avait prouvé le contraire, et j'étais tombé, inlassablement, attiré par sa personne.
Il se releva sur ses coudes. Rapprochant nos visages. La pluie tombé continuellement dehors, nous laissant dans un moment intime et proche l'un de l'autre. Beaucoup plus proche que les nuits que nous avions passé, il y avait une lueur, quelques choses que durant les dernières nuits nous n'avions pas. Pendant des mois on essayaient à se chercher sans jamais se trouver. N'ayant jamais, oh grand jamais les pensées de l'autre. Des petites phrases, des gestes doux c'est vrai,
Il n'y avait rien que ça. C'était suffisant, évidemment, mais à présent nous avions décrocher une étape. Bien que tout deux, on ne se connaissait pas réellement, dans un sens.
On se connaissait sans se connaitre. C'est ça qui était excitant. C'est ça qui nous attiré l'un de l'autre
Le drap du lit sur lequel nous étions tout deux frotta dans mon mouvement, voulant rapprocher un peu plus mon visage du sien. Lui indiquant en quelques sortes que je voulais. J'en avais envie. Je ferma les yeux, les faisant légèrement plissé. J'humidifia mes lèvres une seconde, pour qu'elles ne soient pas sèches à son contact.
Il faisait tardé le moment. Je sentais son souffle sur mes lèvres humides, m'apportant une infime fraîcheur. Min Yoongi aussi n'y croyait pas. Deux inconnus, s'embrassaient. Ça ne collait pas.
Et pourtant.
Je l'entendu déglutir avant d'entendre le drap, l'un de ces coudes quitta son appuie pour venir attrapé ma nuque. Déposant avec désir et impatience un baiser qui se transforma bien vite en un langoureux et amoureux instant, où nos langues se rencontrèrent, remplis d'ardeur mais aussi de délicatesse.
Aussi doux et lent que toutes ces nuits passés en sa compagnie. Je n'avais pas conscience de tout ça, c'était même irréel.
Il pris totalement le contrôle de la cadence, je n'étais pas expérimenté dans ce genre de domaine mais j'essayais, je lui montrais que c'était bon. Tellement bon. Nos mains c'étaient lâché, me tenant à un de ses avant bras. C'était abrupt et tendre à la fois, brut mais doux. Un parfait équilibre.
Le meilleur baiser que j'avais reçut de toute ma vie.
Le sons de la pluie qui s'écoulait dehors laisser des sons charmant sortir de nos bouches, laissant désormais le bruit satisfaisant de nos lèvres s'attaquant avec envie.
Après quelques secondes de ce doux plaisir partagé, nous avions totalement craqué il n'y avait rien d'autre à dire. Je me retourna essoufflé, les joues rosées, tremblant. J'avais terriblement honte de ce qui venait de se passer.
« Non, nononon, Lâcha-t-il entre deux souffle. Je me retourna doucement, surpris par ces mots. Pas encore bien remis de toute cette agitation, cette soirée était pour moi un énorme pas en avant il n'y avait pas à dire.
- Quoi n-non ?! Chuchotais-je fortement, affichant une mine inquiète.
- Je suis désolé, je voulais pas que ça soit si rapid- Sous un élan des plus surprenant, surtout de ma part. Je m'avança vers lui avec lenteur à la suite de ces paroles, mettant mes jambes fines de pars et d'autre son torse robuste, posant mes fesses sur son ventre. Mes mains étaient déposé sur son torse, ma gène était encore et toujours présente. Enfin je- Lâcha-t-il inaudiblement. »
Il me regardait avec de grand yeux, croyant presque rêvé. J'avança mon visage vers lui, mes mains glissèrent sur son t-shirt oversize pour se loger dans son coups, relevant son visage.
« J'ai adoré. Lui chuchotais-je. »
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J'écris pas souvent ici, c'est vrai. J'aimerais avoir vos avis sur ce qui viens de ce passer entre ces deux personnes consentantes.
( Merci encore une fois pour le nombre de vu, 8k, c'est monté tellement vite. Je suis fière de ce que j'écris grâce à vous. Merci, vraiment. )
