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Ça pour être surpris, je l'étais. Avais-je vraiment dit ces mots devant la fille qui m'appréciait ? l'Inconnu me faisait-t-il autant d'effets que ça ? En tout cas il en faisait à mon subconscient. Pour utilisé un mot aussi significatif, et aussi important. Au point d'en oublier mon orientation sexuel. Au point de partir de la soirée film en courant, comme elle me l'avait raconté. Je me contentais d'acquiescé étant mal à l'aise.
Une curieuse question trottait dans ma tête parmis les nombreuses autres. Le pourquoi je m'étais enfuit si soudainement, je me rappel avoir voulu revenir rapidement pour l'Inconnu ça oui, mais j'étais certain qu'il y avait une autre raison. Et qu'elle ne voulait définitivement pas m'en parler.
Je ris en essayant de dissimuler ma gêne « J'étais vraiment plus là ! Lâchais-je, riant faussement, Absolument personne ne m'attendait, si ce n'est mon lit chéris. » Il ne fallait pas qu'elle sache pour l'Inconnu, et encore moins une information aussi fausse que celle-ci. Non mais franchement l'avoir appelé « mon petit-ami », n'importe quoi. C'est débile.
« Il a dû se passer quelques choses juste avant pour que je parte comme ça, non ? Lâchais-je. Je tentais le tout pour le tout. Il ne fallait pas qu'elle soit au courant, et en plus de cela, je devais en apprendre sur l'autre raison. Elle continuait de me regarder sans réponse.
- Comme je t'ai dis, j'étais saoul. Je ne m'en souvient plus. Répondit-t-elle, détournant son regard. Semblant maintenant désintéressé par la conversation.» Pourquoi avais-je l'impression qu'elle se souvenait plus que moi des faits. Qu'elle essayait de cacher, avec son incroyable discrétion, ce qu'il s'était passé.
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Bon, je devais mettre au clair cette histoire d'Inconnu, et tout arrêter, même si sans lui je n'allais plus dormir border par ces caresses, j'allais me relâché d'un poids lourd. Je me devais de faire quelques choses surtout avec l'heureuse surprise de me retrouver en caleçon à mon réveil.
20h. Je regardais la porte de ma chambre, en doutant. M'avait-t-il vraiment fait quelques choses de mal en fin de compte ?
Le déclique me venu progressivement. Si mon subconscient avait pu dire clairement à Jieun que j'allais rejoindre « mon petit copain » alors forcement, je devais hier m'être trouver dans un état de manque, d'envie. De l'envie, envers un homme. Un humain du même sexe que moi. Argg, impossible.
Admettons que si, peut-être, peut-être ouais, que j'aurais pu faire empiré à moi tout seul la situation. Ses caresses étaient devenu une addiction ! C'est ça, même si je me disais dure comme fer qu'il n'était pas bien, que cette Inconnu avait un sérieux problème, qu'il me voulait du mal, et qu'il m'avait (peut-être) violé ! Non, je voulais qu'il continu de me donner autant de sa tendresse, comme les nombreuses nuits au paravant. Je ne pouvais m'en passer.
Mes doutes se transformèrent en des souvenirs, des brides de souvenirs. J'avais en quelques sortes résolu le mystère grâce à l'intervention de Jieun qui m'avait fait, sans le vouloir, me refaire la scène.
Après être partis de chez elle, j'étais arrivé à temps dans ma chambre.
Je me souviens mettre caressé, tout seul. Combien de boisson alcoolisé j'avais ingurgité pour en venir à ce stade ! Je m'étais moi même préalablement dévêtu, et mit en caleçon !
J'étais soulagé d'un côté, ce n'était pas l'Inconnu. Mais qu'est ce qu'il c'est passé par la suite à cause de ça ? Alors qu'à la normal les souvenirs de soirées arrosée reviennent au fur et à mesure du temps, et peuvent mettre pour certain des mois entiers à revenir. Moi, elle m'était apparu soudainement après mettre dit que c'était peut-être totalement de ma faute cette affaire de caleçon.
Et c'était le cas. C'était de ma faute.
L'Inconnu n'avait pas osé venir à moi. Il m'avait vu en caleçon, et c'est moi qui à forcé la chose ! Mes mains étaient sur mon visage, remplis de honte alors que j'étais allongé sur mon lit, avant que je ne me retourne pour enfoncé ma tête dans mon coussin. En plus d'avoir cru qu'il m'avait violé, c'était moi le véritable fautif ! Il ne m'avait pas touché, enfin, seulement sous ma demande. Mais sinon il ne l'aurait pas fait !
Cela prouvait qu'il n'était pas si étrange que ça, et surtout qu'il ne voulait pas en venir à ces choses Là, avec moi. Il voulait simplement se coller à quelqu'un selon ma supposition, simplement avoir un réconfort pendant la nuit, avoir quelqu'un à qui s'accrocher. Peut-être que cette étudiant n'allait pas bien enfin de compte ? Qu'il avait besoin de quelqu'un, mais alors pourquoi moi ?
Le souvenir de ces sanglots me revenait, c'était étonnement douloureux d'y repensais. Peut-être souffrait-t-il ?
