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Cela faisait quelques minutes qu'il était rentré dans la chambre, il m'avait dans ses bras et moi j'étais encore et toujours face à ce mur, n'étant pas en caleçon cette foi-ci mais dans un large pyjama, en appréciant ses câlineries qu'il m'infligeait. J'avais le sourire au lèvres, j'aimais vraiment de plus en plus ses plaisantes tortures. C'était vraiment étrange de ressentir ça, surtout envers un gars. Moi qui me pensait hétéro, je n'en étais plus certain.
Je voulais, encore une fois, avoir un dialogue, en étant sobre cette fois-ci. Bien que ce n'était qu'un inconnu, le cadet de mes soucis. Je voulais lui parler, de ce que je ressentais là, maintenant. Ce que je me posais comme questions à son propos.
Il ne me semblait pas méchant, et c'est vraiment ce qui me poussa à lui adressé la parole. Il n'avait pas osait s'aventuré, et ça même si je n'étais pas sobre et peu habillé la nuit dernière. Pour moi, une certaine confiance c'était crée. Ça m'avait vraiment montré qu'il n'était pas se que mes pensées angoissante et irréaliste admettez de lui.
« Pourquoi moi ? Chuchotais-je. Mon tons n'était pas hésitant, il était détendu. Ça avait sonnait comme un murmure, un souffle s'envolant dans le silence de la chambre. » Il réussissait à me détendre. Je me sentais bien à cette instant, aucunes craintes en son égard. C'était l'une des premières fois que je me sentais aussi bien en sa compagnie. Il semblait que ma peur qui planait autour de lui, avait pratiquement disparu.
Il me ressera un peu plus contre lui, je me sentais vulnérable, un vrai enfant.
« Tu es mon unique raison de vivre. »
Sa voix suave avait fait éco. Elle m'avait fait ne plus bougé à sa simple résonance au creux de mon oreille. Ces mots étaient sincère et véritable. Son chuchotement, qui m'avait fait sentir son souffle sur mon oreille, m'avait complètement fait perdre mes moyens. J'aimais sa voix. Elle m'avait paru douce, malgré le grain puissant qui s'entendait et qui résonnait.
Il ne pesait pas ses mots. Enfin c'est ce que je me disais. Être la raison de vivre de quelqu'un, c'est, énorme. Ça montre un amour véritable, un attachement, une affection immense envers la personne. Ce n'est pas rien.
Alors, pourquoi ? Qu'est-ce que j'avais fait pour devenir son unique raison de vivre, exactement ? Nous ne nous connaissons pas, enfin lui semble bien me connaitre.
Je ne savais plus quoi dire, il m'avait cloué le bec. Je ne bougeais plus, respirant avec peine. Son murmure m'avait été brutal et cinglant, je ne m'attendais absolument pas à une réponse de sa part.
Alors qu'il avait stoppé toute activité, son visage sembla se rapproché un peu plus de moi sur le même coussin, en arrière, et il déposa faiblement ses lèvres sur l'arrière de ma nuque. Je sentais ses lippes humident se déposé sur mon cou. Le silence de la pièce laisser désormais le bruit satisfaisant de ses lèvres attaquant avec lenteur ma peau. Ça y est je m'envolais, une sensation étrange se loger dans mon bas ventre alors qu'il continuait de submergé de baisers doux et intense à la fois ma nuque. J'en tremblais, tellement ça en était satisfaisant. L'euphorie, c'était le mot. Des frissons avaient capturé l'entièreté de mon corps et me faisais me sentir complètement faible.
« Aah » ce sons était sortis de ma bouche sans en avoir vraiment conscience, ses délectable baisés à l'arrière de mon coup me faisaient pointé le monton vers le haut. Je voulais qu'il fasse ça absolument partout tellement ils étaient addictifs. Je m'endormis rapidement sans le vouloir, me laissant bercer encore une fois par lui, m'endormant sous ses tendres baisers et ses caresses.
